Messages : 24 Points : 2029 Feuille de personnageRace: HumainÂge réel: 25 ansEmploi: Infirmière | #45036 Elianora, pour vos bons soins Mer 17 Juil - 19:02
Dernière édition par Elianora Ainsworth le Mar 23 Juil - 12:05, édité 2 fois (Raison : histoire terminée + mise en page)
Elianora Ainsworth"Love is just a word to me"
Date de naissance: 24 décembre 2008 Âge d'apparence: 25 ans Sexe: Femme Orientation sexuelle: Hétéro Race: Humaine Groupe: Humaine libre Supérieur immédiat: ICI Emploi: Infirmière Pays d'origine: Nouvelle-Zélande Choix de jeu: [x] Avec destin | [ ] Sans destin
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Physique Ayant enfin fini de grandir, moi, Elianora-Aretemoe, je mesure 1 mètre 75 ce qui paraît normal lorsqu'on voit les membres de ma famille. De ce qui en reste en tout cas.
Il paraît que j'ai l'ai un brin famélique. Oui, possible puisqu'il est facile de me porter. Pourquoi ? Car je pèse dans les 60 kilos toute mouillée. Encore faut-il que vous me surpreniez ou que je me laisse faire de plein gré. Dans le cas contraire, je fais tout pour ne pas me laisser faire.
Pour ma part, je pense être physiquement commune aux autres femmes. Je n'ai rien qui puisse attirer le regard ou la convoitise. Enfin... c'est ce que je crois.
Je suis dans l'incapacité de vous décrire mes mouvements, tant ils sont naturels pour moi.
Mes jambes sont élancées et chastes. Mes hanches n'ont subi aucune souffrance d'enfantement ou autre agression corporelle. Je veux dire par-là, que mon bassin est étroit, fermé et souple. Mon nombril tient en ses bords une petite pierre précieuse. L'améthyste.
Mon buste s'ornemente d'une poitrine profonde, délicate et ferme. Mon cou ne rentre pas dans mes épaules. Je possède un menton carré fin. Concernant ma mâchoire, il n'y a rien à dire car elle est ordinaire. Des lèvres raisonnables charnues que je couvre de rose puis un nez effilé compose mon visage. Le tout agrémenté d'une paire de yeux améthystes légèrement en amandes avec de longs cils sous de fins sourcils. Le tout, surplombé par un front dégagé. Mes oreilles ne sont pas décollées et proportionnelles au visage. Celles-ci sont cachés par une longue chevelure ondulée et châtain dont j'en fais un chignon réalisé par une tresse. Détachés, ils m'arrivent sous le fessier.
Je n'ai jamais mesuré mes bras, mais ces derniers sont capables de soigner, de consoler, et de faire toutes les tâches quotidiennes que la vie impose.
Au sujet des stigmates corporels, j'ai une brûlure sur le dessus de la main gauche. Cicatrice que je cache régulièrement sous une paire de gants.
J'ai également un tatouage de mes terres natales au bas des reins. Une tortue. Que dire de plus sur mes mains ? Des doigts oblongs et fins rehaussés par des ongles longs et arrondis d'un demi centimètre de longueur. Psychologique La vie est dure, et je me dois de la dompter au mieux possible.
J'ai pour habitude d'être calme, alors de là à dire que je suis réservée, je ne sais pas. Il est de ces rares instants où j'apprécie qu'on ne dise pas « amen » à ce que je demande ou dis.
Ce qui veut dire, sous-entendre, que je suis loin d'être une jeune femme naïve. Surtout que je cherche toujours la vérité, même si je ne le montre pas. Je ne crois que ce que je vois par mes propres yeux.
Perfectionniste, je ne démords pas tant que je ne parviens pas à un résultat optimal. Que voulez-vous ? Il faut bien un peu de contraste, sinon la vie serait des plus tristes à vivre.
Un être vivant n'est bien que si son corps et son mental vivent harmonieusement. Alors pourquoi m'emporterai-je facilement ? Je parle doucement et calmement à tout un chacun. Colérique ? Laissez-moi rire. Non. Souhaitez-vous tenter ?
Ce qui me fait peur ? Vous me faites rire.* toussotement de gêne*. J'ai peur du noir. Eh oui, il me faut une lueur de bougie pour me sentir apaisée. Je suis claustrophobe. Enfermez-moi, et là vous verrez une crise de panique.
Il sera plausible de m'apercevoir craquer pour des petites meringues à la violette ou des pétales de roses cristallisées. Je prends soin des fleurs autant des patients. J'oubliais dans tout ça. Je possède une arme. Un des derniers « vestiges » de la famille. Une Flamberge. J'espère ne jamais avoir à la sortir parce que... je ne sais pas me battre en dehors d'un bon coup de pied et coup de poing bien placés.
Riez si vous le souhaitez, néanmoins je ne connais ni les lycans ni les vampires, alors je ne sais as comment je pourrai réagir.
Mon amitié ? Je la donne un peu plus facilement que l'amour. Pour moi l'amour n'est qu'un mot. Par contre les gestes, les actes prouvent ou non l'attachement à l'autre. Pour moi en tout cas. A moins qu'un jour "on " arrive à me prouver l'inverse. Histoire
Chapitre 1 – Une petite histoire bien familiale
- Spoiler:
« Il était une fois, dans un pays lointain, un jeune homme qui vivait dans une somptueuse demeure. Bien que la vie... - Maman ! S'il te plaît... STOP ! Je veux connaître mon histoire ! Pas celle d'un conte ! - C'est ce que je suis entrain de faire Eli' ! Ecoutes bien. Tu comprendras mieux. - Bien maman. - Bien que la vie l'ait comblé de tous ses biens faits, il ne fut pas apprécié de tous les anglais. Plus précisément les londoniens. Pourtant, au début de sa vie, il n'avait pas grand chose pour s'attirer les foudres du peuple. Puis vint le moment de sa vie où son sang ne fit qu'un tour et sa nature fit fi des jours passés. - Pourquoi ? Il était malade ? - Non ma douce enfant. Il faut que tu saches qu'il n'y a pas que des humains sur Terre en dehors des animaux et des plantes. Le Monde n'est pas rose. Le Monde est malade. - Je le soignerai moi ce Monde ! - J'espère que tu ne tomberas pas sur l'un d'eux un jour. - Pourquoi ? - Comment dire... Nous croyions en Dieu. Jusqu'à temps que l'on nous prouve que son pendant contraire existait aussi. Les villageois ont brûlé un membre de la famille qui a pactisé avec le démon. Histoire de survivre vu que le Mâlin avait tué celles et ceux qui n'avaient pas quitté la maison. - Si Dieu existe, pourquoi n'a-t-il pas empêché le massacre de notre famille ? - Parce qu'ils l'avaient mérité. Autant dire qu'Il avait sauvé le fils aîné. Histoire que les Ainsworth n'oublient pas la valeur de la vie. »
Ce jour-là, c'était lors de mes 8 ans. Je ne comprenais pas tout à part deux choses. Je m'étais mis en tête que je serai une femme baignant dans la médecine et que je quitterai mes terres natales à la recherche de nos origines primales.
Chapitre 2 – Moi Elianora-Aretemoe « Et au loin, un écho comme une braise sous la cendre, un murmure à mi-mots que mon cœur veut comprendre. Une ancienne ritournelle, loin du froid de décembre. »
Amahau Osborne, conférencier archéologique maori animiste s'est épris d'amour et de passion pour une jeune anglaise. Iris Ainsworth, simple pédiatre catholique.
La vie n'était pas si simple pour eux même si celle qui allait devenir ma maman vivait en ces terres depuis l'âge de 10 ans. Elle y avait appris toutes les coutumes maori et pris leur accent. L'Angleterre ne lui a jamais manqué à Iris. A ce que je sache en tout cas.
Papa et maman vécurent heureux les dix premières années. Après trois ans de désespoir, soit 13 ans après leur rencontre, avec une aide médicalisée et surveillée en tout point, Amahau et Iris en apprirent la réussite. Par une nuit tiède de pleine lune, après quelques heures de débats plus ou moins douloureux pour la future maman, je pointais le bout de mon nez. Ils durent me mettre une tape sur le fessier pour que je pousse mon premier cri. Ma mère avait perdu connaissance à cet instant. Elle fut donc réanimée avec succès.
L'apprentissage, l'éducation parentale n'était pas exempt d'embûches mais j'étais trop petite pour m'en souvenir.
Je n'étais pas très bavarde durant mes 3 années de maternelle, même en récréation il paraît. Quant à mes années de primaire, j'osais demander lorsque je ne comprenais pas. Je ne refusais aucune activité. Et dès que j'avais compris par moi-même, je ne pouvais pas m'empêcher d'aller vers le ou la camarade qui n'y arrivait pas. Parfois je me faisais réprimander par le professeur d'école. Mais il y a une chose que j'aimais par dessus tout. La danse traditionnelle. C'est papa qui m'y avait inscrite. Aaaaah ces cours ! Grâce à eux, j'ai appris ce qu'est la volupté et la grâce dans tous les gestes. Même si j'ai eu quelques minutes de retard à certains cours, je n'en ai jamais manqué un seul. Et ce, jusqu'à mes études d'Infirmière.
Quant aux années collège, je n'ai pas grand chose de particulier à raconter. Toujours élève modèle, un peu trop sans doute, à aider les uns les autres, à avoir un blâme pour manque de respect envers les professeurs. Juste parce que je les devançais en épaulant autrui.
C'est durant les années lycée que ma vie commençait doucement à être chamboulée. Moi qui étais dans un petit cocon familial malgré ma curiosité sur la vie. Je n'aurai pas dû être autant protégée.
Chapitre 3 – Les ennuis commencent
« La vie semble s'évanouir, dérivant plus loin chaque jour. Je me perds en moi-même, rien ni personne n'a d'importance.J'ai perdu la volonté de vivre, je n'ai plus rien à donner. Il n'y a rien de plus pour moi. Seule la mort peut me libérer. »
Dans ma 18ème année, alors que je rentrais de mon examen, rien n'aurait pu prévoir cela. Bien qu'il faisait un peu plus froid que d'habitude, je rentrais sereine. Amahau était à la Capitale et Iris était en pleine auscultation. Je m'arrêtais au fleuriste pour un petit bouquet de fleurs afin de l'offrir à mes parents. Juste pour marquer mon amour familial pour eux puis leur 30 ème anniversaire de rencontre. Je bousculais un inconnu costaud apparemment fort pressé. Sur le moment je n'y portais aucune attention mais il demandait le chemin de notre maison au gérant de la boutique. Je ne connaissais pas l'adresse par cœur , le principal étant que je savais m'y rendre.
Arrivée à la maison, avant de réviser, je préparais la table, histoire de gagner un peu de temps. Mon père et ma mère arriveraient au début du crépuscule.
Le nez plongé dans les livres, musique au son pas trop fort, j'entendis un bruit. Ne me rendant pas compte de l'heure, je levais simplement la tête en criant un joyeux : « Bonjour papa ! Bonjour maman ! ». Seulement voilà... plus aucun bruit. Puis vint l'heure de mon cours de danse. J'y allais en courant, de peur d'arriver en retard. Si j'avais su... je n'y serai jamais allée.
A mon retour, je retrouvais une faible et vacillante lumière à l'intérieur de notre demeure. Des cris. Je m'empressais pour... retrouver ma mère étendue sur le sol, une large flaque de sang. Erreur. Je n'aurais pas dû me précipiter vers elle. On m'attrapa par les cheveux d'une main et maintenue par les poignets de l'autre. Je me débattais. En vain. Un second homme avançait une chaise pour que le premier m'y installe de force. Ils me ligotèrent et bâillonnèrent.
Mon père rentrait enfin. Il fut poussé contre le mur du salon, ensuite questionné avec force sur le lieu où il avait caché une vieille relique maori sur la divinité Tawhirimatea, dieu de la foudre et du tonnerre. Il niait tout jusqu'au moment où il était jeté à terre face à ma mère et moi. J'essayais de parler mais n'y parvenant pas, mes larmes parlaient pour moi. Nos bourreaux le mirent à genoux, clouèrent ses mains au sol. Amahau restant toujours muet, les assassins me versèrent de l'huile chaude sur la main gauche.
C'était à cet instant où je perdais connaissance pour me réveiller plus tard dans un autre lieu que je ne reconnaissais pas immédiatement. « Korua ! » Mon grand-père était venu à la rescousse avec quelques uns des environs. Le reste des explications m'avaient été donnés par mon papy. Il était averti par le fleuriste qui n'avait pas apprécié le ton utilisé par l'inconnu que j'avais bousculé plus tôt. A leur arrivée, la maison commençait à brûler, les corps de son fils et de sa belle-fille étaient sans vie. Les habitants m'avaient extraite à temps car j'étais proche de l'entrée.
Chapitre 4 – Relèves-toi, la vie continue « Ne montres pas ta peur, parce qu'elle peut s'évanouir... Dans ta main, la naissance d'un nouveau jour... »
Mon Korua refusait de parler du massacre familial. La seule chose qu'il n'arrêtait pas de dire c'est que la famille Ainsworth était maudite et que j'étais la dernière survivante. Il me forçait de voir un de ses amis prêtre pour exorciser les cauchemars. Le seul bénéfice de tout ça, durant ces 7 années, c'est que j'ai appris à vivre avec malgré quelques visions fort déstabilisantes. Depuis, je dors avec une bougie allumée ou une sorte de petite veilleuse. Je ne me sépare jamais de mon pendentif en pounamu. Jade verte représentant une koru. C'est une feuille de fougère ouverte symbolisant une nouvelle vie, un nouveau départ.
Depuis l'attentat envers ma famille, mon papy ne me laissait jamais sortir seule. Que ce soit pour les études d'infirmière, les cours de danse, les courses... JAMAIS !
J'avais assez d'argent pour mes payer les études sans aucune autre intervention. Des cours longs, prenant, laborieux, mais ça me plaisait. Et j'ai réussi ! Trois ans après le BAC, plus 3 ans pour obtenir le diplôme d'Infirmière. Ce qui fait que j'exerce seulement réellement depuis 1 an à peine.
Chapitre 5 – Un nouveau départ. Bonjour Londres "Viens, il existe un nouveau monde, où la lune est toujours blonde et les étoiles restent allumées..."
Je ne sais pas pourquoi mais voici 3 mois que mon korua me somme de quitter la Nouvelle-Zélande, de vivre auprès des miens. Je ne comprends pas ! J'ai toujours vécu auprès des maori, moi qui croyais que j'en faisais partie. Mon grand-père a beau acquiescer à mon questionnement, il est de plus en plus pressant. Pourquoi ? Il n'y a eu aucun mort sous mes soins. J'ai même un assez bon pécule pour démarrer une nouvelle vie. Néanmoins, j'ai peur. Je n'ai aucune attache anglaise. Aucun contact. Je sais juste que le St Thomas Hospital est au courant de mon arrivée.
Me voilà à l'aéroport. C'est si gros que cela un avion ? C'est en tremblant que je monte, priant Ranginui que tout se passe bien. Dans quelques heures ce sera : « Bonjour Londres ».
Derrière l'écran Surnom: Lyly Âge: 3*10 Autres personnages: pas en ces lieux fréquence de connexion: le plus souvent possible Comment avez-vous découvert le forum?: je le connaissais déjà Commentaires: pas le moins du monde
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Evelyne De Valencia Membre Ancestral Messages : 2317 Points : 7824 Niveau de puissance : Vampire Respectée Feuille de personnageRace: VampireÂge réel: 235 ansEmploi: Assassin | #45050 Re: Elianora, pour vos bons soins Jeu 18 Juil - 21:32 Bienvenue à toi! Un début de fiche intéressant! Je crois savoir qui tu es, mais je laisse la surprise aux autres joueurs Si tu as des questions, n'hésite pas! Tu sais ou nous trouver |
Messages : 24 Points : 2029 Feuille de personnageRace: HumainÂge réel: 25 ansEmploi: Infirmière | #45068 Re: Elianora, pour vos bons soins Mar 23 Juil - 12:07 Bonjour bonjour Eve' ! Merci pour l'accueil . Ma fiche est enfin terminée. Je suis prête pour les éventuelles corrections à faire |
Administration PNJ Messages : 268 Points : 16679 Niveau de puissance : Infini
| #45074 Re: Elianora, pour vos bons soins Mer 24 Juil - 3:50 Tu es validée ! Bienvenue parmi nous ! Le pire moment est passé. Courage, c'est presque terminé ! Maintenant, c'est l'heure de la paperasse : ✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici✦ Il faut recenser ton avatar ➤ ici; ✦ Recenser ton nom, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici✦ Recenser le double-compte, si c'en est un ➤ ici✦ Recenser ton emploi (même si tu n'en as pas) ➤ ici✦ Penser à indiquer ton niveau de popularité / discrétion au sein de Londres ➤ ici✦ Une section sera crée à ton nom pour y faire ton carnet de relation et suivi de RP à faire personnellement ➤ ici✦ Tu peux également poster une demande (Rp, lien, logement, etc) ➤ ici✦ N'oublie pas d'inscrire le lien de ta fiche dans ton profil et de générer et compléter ta feuille de personnage ! Et n'oublie pas le plus important : Amuses-toi bien parmi nous ! Et si tu as la moindre question, n'hésite pas à t'adresser à l'équipe du staff, il y aura toujours quelqu'un pour te répondre. Que ce soit par MP ou dans la section FAQ. |
| #0 Re: Elianora, pour vos bons soins |