| #37849 Longues sont les nuits où je me perds à deviner qui je suis. Dim 26 Aoû - 15:25
Dernière édition par Itsuko Ito le Lun 10 Déc - 11:43, édité 2 fois
ItsukoIto Identification Nom: Ito Prénom: Itsuko Surnom: / Race: Humaine Sexe: Féminin Âge physique: 20 ans Date de naissance: 20 mars 2012 Orientation sexuelle: Hétérosexuelle Pays d'origine: Angleterre Groupe: Humains Emploi: Mannequin Supérieur immédiat: La directrice de son agence?
| | Derrière l'écran Prénom: / Surnom: Fyfy Âge: 18 ans Découverte: DC ! Fréquence de connexion: Tous les jours Autres personnages: Ouaip eheh ~ Autres trucs sur vous: / Commentaires: Keur sur ce fofo et ses membres.
|
Le physique qui me différencieAux premiers abords je semble un peu éteinte, comme si la beauté du monde et des choses qui m’entouraient ne m’atteignait pas. Ces prunelles argentées, aux reflets améthystes, encadrées d’une rangée de longs cils couleur ébène, si vides et si inexpressives m’ont valut beaucoup de reproches. Sans doute aussi que mon teint pâle et mes cheveux noirs, qui ruissellent dans mon dos comme de l’encre fraîchement renversée, n’aident pas à me donner une image autre que celle d’une âme en peine, errant sans but. Ma chevelure de jais atteint le creux de mes reins mais il m’arrive souvent de les relever en un chignon ou une queue de cheval assez haute. Il faut dire que posséder des cheveux de cette longueur n’est pas toujours très pratique.
Je n’ai que peu d’appétit et ne suis alors pas bien épaisse, peut être dois-je peser 54 kilos ? Ce dont je suis sûre c’est de mesurer 1m72. J’ai de longues jambes, mais je ne les aime pas beaucoup. Je préfère lorsque mes jeans les dissimulent, même si en réalité, il semble que les robes ou les jupes m’aillent plutôt bien. Mes doigts sont fins, dénués de bijoux et de toute autre fantaisie tel que du vernis coloré, tout comme le reste de ma personne. Je ne porte rarement de collier, de bracelet, aussi beaux soient-ils. Je n’ai pas de style vestimentaire particulier, je porte de tout sans rechigner même s’il semble que les vêtements féminins ou relativement moulant me vont à merveille. En effet ils mettent en valeur mes formes de femme, telle que ma poitrine plutôt généreuse et mon fessier rebondi. Mes atouts sont appréciés dans mon métier, tout autant qu'il m'est indispensable de garder mon poids plume.
Je ne possède aucun tatouage, aucun piercing, pas même aux oreilles mais peut être remédierais-je à cela dans le futur. Un motif encré dans ma peau me semble une bonne idée, pour autant faut-il savoir ce que l’on désire inscrire dans sa chair à jamais. Selon mon entourage je ne suis pas « à l’aise avec l’idée de prendre des décisions » du moins c’est ce que mon minois toujours neutre de réaction et ma frange retombant devant mes yeux indiquent à mes potentiels interlocuteurs. Pourtant, mes sourires aussi rares soient-ils sont étincelants, ma dentition parfaite et immaculée en aveuglerait plus d’un. Dissimulé par mes lèvres roses, assez charnues, chacun d’entre eux est précieux et ne peut se voir délivrer qu’en certaines occasions. Voilà pourquoi j’ai l’air de priver le monde de ces derniers.- Côté boulot:
Aussi paradoxal que cela puisse être, c’est mon regard qui a fasciné le chasseur de tête qui m’a repéré. Une « beauté glaciale » disait-il, c’était visiblement ce qu’il semblait chercher. Je ne suis pas le genre de mannequin capricieuse à courir après l’argent et les vêtements de luxe, je me tiens plutôt éloigné de toute superficialité. Pourtant, je me fais maquiller, coiffer et habiller de la tête au pied pour les photos et les défilés. Je correspond à leurs critères, je n’ai qu’à marcher, poser et battre des cils. On ne me demande rien de plus, pas même de sourire, simplement de conserver ma ligne et d’être là où l’on attend que je me trouve. Malgré l’univers très virulent du mannequinat, c’est un boulot qui me satisfait. Je n’ai pas toujours beaucoup de temps libre mais c’est du temps en moins passé à cogiter et à faire des nœuds avec mon cerveau. Je me contente de regarder l’objectif, de mettre un pied devant l’autre et de revêtir des créations coûteuses qui valent plus que mon propre appartement. Visiblement l’apparence a du bon.. puisque l’on peut être payé pour ressembler à ce que l’on est naturellement.
Le psychologique qui m'habite Je n’ai tout d’abord, jamais été à l’aise à l’idée de parler de ma personne. Que ce soit objectivement ou de manière à me mettre en avant, j’en suis tout bonnement incapable. J’ai la sensation que communiquer est bien plus difficile qu’il n’y paraît et que ce n’est pas mon domaine de prédilection. Le meilleur exemple serait sans doute le suivant : Je suis une personne plutôt modeste mais malgré tout, rien qu’en le disant j’ai la sensation qu’il s’agit là d’un manque de modestie de ma part. Je suis plutôt discrète et peu bavarde, je suis loin d’être excentrique ou de me faire remarquer, je dirais que j’ai plutôt tendance à fuir les situations où je suis trop exposée. Un peu paradoxal, lorsque l’on travaille toute la journée devant des appareils photos, des miroirs et des gens présents uniquement pour nous dévisager de la tête aux pieds. Mais en dehors de mon boulot, je n’aime pas spécialement être le centre de l’attention. J’ai toujours un peu peur de ne pas coller à ce que les gens attendent de moi. Décevoir les autres ou ne pas parvenir à mettre le doigt sur ce que je pourrais leur apporter ou la manière dont je pourrais leur venir en aide pour les voir me sourire est quelque chose qui m’empêche naturellement de créer des liens.
Il me semble que je suis assez solitaire et plutôt effacée, j’ai longtemps appris à me faire petite et aujourd’hui encore, je conserve cette habitude. Je ne laisse jamais rien paraître et pourtant je ne manque pas de sensibilité. Je suis assez empathique, simplement d’extérieur je ne semble pas être atteinte par quoi que ce soit. Je suis une oreille attentive, j’ai une facilité à écouter les gens plus qu’à les conseiller convenablement. Je manque un peu de tact et lorsque je dis enfin ce que je pense, les gens n’aiment pas toujours se confronter à la vérité et s’en retrouve offusqués. Peut être que mon silence est finalement plus apprécié ?
Si le relationnel est un problème sérieux pour moi et que je préfère me tenir éloigner des autres, je suis d’avantages perdue lorsque quelqu’un tente de m’approcher. Que l’on m’accorde une attention sincère me touche particulièrement, cela éveille chez moi une sorte de.. reconnaissance. Une marque d’affection et je pense être perdue. Je ne préfère pas imaginer quel état de panique cela me procurerait que de bénéficier de l’intérêt, de l’amitié ou bien même de l’amour de quelqu’un. Je suis assez méfiante malgré tout et j’analyse longuement les intentions des gens à mon égard. Je ne prendrais pas le risque de croire quelqu’un sur parole et de me voir tromper.
Heureusement, j’ai toujours eu les pieds sur terre, bien qu’il m’arrive d’être souvent dans la lune, je réfléchis avant d’agir, pèse toujours le pour et le contre et suis plutôt lucide. L’abandon et la solitude sont sans doute les deux choses qui m’effraient le plus -en plus de mon aquaphobie- et à ce sujet je suis plutôt pessimiste. J’ai du mal à croire que les gens puissent être 100 % honnête lorsqu’ils déclarent qu’ils garderont toujours contact, qu’ils veilleront constamment les uns sur les autres ou encore qu’ils s’aimeront éternellement. Une part d’eux même doit bien se douter que ce n’est pas possible. Que l’on recherche toujours ce que l’on ne possède pas, même lorsque l’on pense être pleinement satisfait.
Le mannequinat est un bon moyen de ne pas penser à toute humanité. Un domaine froid et impitoyable, selon moi. Mais malgré tout, ça me va comme ça. C’est un job qui m’empêche d’être seule et cela me suit jusqu’à ma demeure. Je me dois d’être présente sur les réseaux sociaux, d’ailleurs ce n’est même pas moi qui gère mes pages, c’est l’agence à laquelle j’appartiens qui décide des photos à poster. Pour me couper de tout ça, il me reste les films ou encore les livres. J’aime les thrillers, le frisson, l’épouvante, l’horreur, la mort éveille en moi une sorte de fascination. Pas malsaine, du moins je l’espère, mais cela pique ma curiosité. J’ai une affection toute particulière pour les tueurs et tueuses en série. J’aime me mettre à leur place et tenter de comprendre le pourquoi du comment. D’ailleurs j’ai tendance à faire cela avec tout individu confondu. Je ne fais pas de différence entre les humains et les non humains. A mes yeux, chacun à sa place sur cette planète, bien assez grande pour accueillir tout le monde. Et puis les créatures surnaturelles éveillent mon intérêt. Je n’en ai jamais côtoyé mais cela ne m’effraie pas, au contraire.
J’ai encore du mal à savoir qui je suis à l’heure actuelle et qui j’ai pleinement le droit d’être, mes habitudes d’adolescentes perdurent et je crois que j’ai encore beaucoup à apprendre... Le passé qui m'a construit- Enfance:
Au départ, nous étions deux. Deux nourrissons identiques en tous points. Nous faisions le bonheur de nos parents, ils nous l’ont assuré des dizaines de fois au moins. Même s’ils ne l’avaient pas fait, leur sourire le faisaient pour eux. Nous habitions Londres car notre famille avait quitté le Japon des années auparavant. Je me souviens que nous étions une famille parfaitement heureuse à cette époque et quoi de mieux que la naïveté d’un enfant pour croire que les choses peuvent durer ? Pourtant elles auraient pu être pire.
Nous ne sommes pas restées deux très longtemps et pour cause, sa santé était plus fragile que la mienne. Elle pleurait d’avantages, épuisant notre mère jusqu’à ce que cette dernière remette en question ses capacités à élever deux enfants à la fois. A contre cœur, elle se sépara de celle qui était alors née la première, en la laissant chez sa propre mère, à la campagne. Peut être le bon air était censé avoir un effet positif sur son enfant ? A de nombreuses reprises, elle tenta de revenir la chercher, mais chaque fois, elle se remettait à pleurer, impossible de la calmer et notre mère craquait de nouveau. L’on ne se revit pas avant nos 8 ans, heureusement alors que pour les enfants les liens se tissent rapidement. Après des années de séparation, nous n’aurions pu être que de simples étrangères, l’une pour l’autre. Mais ce ne fut pas le cas et lorsqu’elle revint vivre en ville avec nous, nous avons pu tenter de rattraper le temps perdu.
Toujours souriante, pleine d’énergie, toujours émerveillée à la moindre découverte. Nous étions presque totalement opposée. Nos parents m’avaient eu à leur côté tout ce temps, qu’ils voyaient comme du temps perdu en sa compagnie. Malgré mon jeune âge, je ne leur en voulais pas de ne plus me prêter d’attention, ils n’avaient pas eu la chance de profiter d’elle. Il n’y avait aucune rancœur, aucune jalousie, avec le temps j’appréciais même particulièrement d’être seule. Mais étant naturellement renfermée, je n’allais pas vers eux plus que de raison et j’ai la sensation que j’ai moi même crée une certaine distance entre eux et moi. Peut être qu’inconsciemment, je les poussais vers elle ? Peut être aussi que j’avais l’impression qu’ils allaient moins m’aimer en découvrant une personne qui me ressemblait comme deux gouttes d’eau mais qui parvenait à les faire rayonner comme je ne le pourrais sans doute jamais ?
Avec les années je me suis simplement effacée un peu plus.
- Adolescence:
A l’âge de 12 ans, on nous envoya en camp de vacance, je me souviendrais toujours que cette perspective d’être seules sans nos parents nous ravissait l’une et l’autre. Cet été là nous nous rendions tous les jours à la rivière, on y était nombreux et on pouvait y jouer du matin au soir sans discontinuer. Un après midi, nous étions tous dans l’eau et aucun d’entre nous ne pouvait prédire ce qu’il allait se passer. Au cours de la baignade, le temps changea radicalement, alors que le soleil se camouflait derrière les nuages, la pluie commença à tomber. Ignorants les risques, nous continuions à chahuter sous l’averse qui peu à peu, menaçait de faire déborder la rivière. Il fut trop tard lorsque nous remarquions que quelque chose n’allait pas. En dernier recours, nous nous étions accroché à un rocher. Si je m’y tenais fermement, ce ne fut pas son cas car elle manqua d’être emporté par le courant naissant et même si elle s’empara de ma main tendue, ses doigts glissèrent et elle ne tarda pas à la lâcher, disparaissant dans les flots.
Pétrifiée, je resserrais ma prise et lorsque les secours parvinrent à ma hauteur je ne pu décrocher un mot. Le regard de mes parents fut sans doute le plus douloureux à affronter. Je me demandais s’ils me pensaient coupable, d’avoir volontairement lâché sa main afin de la regarder sombrer dans les profondeurs. Peut être auraient-ils préféré que je sois celle que l’eau leur arrache ? Cet évènement les transforma totalement, le deuil ne leur semblait pas possible. Elle était tout ce que je n’étais pas et j’étais surtout à leur yeux, celle qui leur rappelait plus que tout au monde, ce qu’ils avaient perdu. Chaque jour je leur faisais face et chacun d’entre eux la revoyaient en moi. En ces traits que nous partagions. Il était alors facilement compréhensible que j’étais malgré moi une source certaine de douleur.
J’avais du mal à comprendre qui j’étais, qui je pouvais me permettre d’être. J’ai toujours désiré rendre les choses moins dures pour eux, cependant il m’était difficile de comprendre comment m’y prendre. Leur dire que je ne parvenais pas à trouver ma place, à me sentir heureuse au sein de notre foyer me semblait injuste. Leur avouer que je souffrais tout autant qu'eux si ce n’est plus, de sa disparition, ne me semblait pas une bonne idée non plus. Ma seule option était de m’effacer de nouveau, comme je l’avais déjà fait auparavant. Il m’était simple de me faire toute petite, de ne passer du temps avec eux que pour les repas. Je grandissais et je leur rappelais qu’elle aurait dû grandir elle aussi, qu’elle aurait dû s’embellir avec le temps, faire d’eux des parents fiers puis dans le futur, des grands parents comblés.
Je ne faisais pas de vague. Je n’avais pas de mauvaises fréquentations -d’ailleurs je n’étais pas réellement très sociable- j’avais de bons résultats scolaires et je n’étais franchement pas concernée par la crise d’adolescence rebelle. Je ne demandais rien, attendais peu et recevais avec reconnaissance lorsqu’ils me donnaient un peu d’attention, un geste, une parole, un brin d’affection, tout était à prendre.
- Âge adulte:
Je crois que jusqu’à mes 18 ans, je ne me rendais pas vraiment compte ô combien la situation était pour moi toxique. Je sortais du lycée, après l’obtention de mon baccalauréat et c’est ce chasseur de tête qui me trouva. Il me parla longuement de cette agence pour laquelle il travaillait, de la couleur de mes iris et me proposa de le recontacter si j’étais intéressée par sa proposition. Qui n’y aurait pas réfléchis une seconde ? Il me parlait d’être le centre de l’attention de photographes, de créateurs, de couturiers. Moi qui n’avait pas vu le regard de mes parents briller en ce posant sur moi, j’observais la lueur -certes intéressée- de cet inconnu et me demandais si ce n’était pas une solution qui s’imposait naturellement à moi. Quitter la demeure familiale ne fut pas le plus dur à vrai dire. Les entendre me confier qu’ils avaient besoin de voyager, de prendre un nouveau départ, fut nettement plus douloureux.
L’année où je rejoignis l’agence de mannequinat, ils décidèrent de quitter l’Angleterre pour rejoindre le Japon. Ce pays avaient accueillit leurs ancêtres et c’est là bas qu’ils espéraient trouver la paix dont ils avaient grandement besoin. Je ne m’opposais en aucun cas à leur déménagement, je savais que c’était ce qu’il y avait de mieux. Je connaissais Londres, j’y avais toujours vécu, je n’étais pas sans repère.
La première année fut la plus dure. L’univers du mannequinat était impitoyable et je compris bien vite qu’il ne fallait pas être trop sensible si l’on voulait survivre. Les contraintes étaient nombreuses mais je m’en sortais. J’avais vite intégré le fait que l’on était une sorte de pion dont les uns et les autres disposaient. Mais ça m’allait comme ça, je n’avais jamais eu la prétention de penser que l’on voulait de moi pour autre chose que mon image. Et heureusement d’ailleurs, nombreuses étaient celles qui se pensaient indispensables et uniques et qui, confrontées à la réalité, se voyaient offusquées de découvrir qu’elles étaient substituables. Ce n’est pas la matière grise contenue dans une boîte crânienne ni même une personnalité admirable qui permet l’obtention de couverture de magazine ou la participation à des défilés. Les photographes se moquent bien d’avoir à faire à un être humain bon ou mauvais. Un investissement rapporte, ou non.
- Aujourd'hui:
Mon salaire est plus que correct, j’ai un appartement bien situé et je me fais une petite place dans le milieu. Je vis seule, pas l’ombre d’un homme ni même d’un animal pour me tenir compagnie. Je n’aspire qu’à travailler, j’ai peu de temps pour autre chose et un peu peur de peiner à tisser des liens.
Fiche faite par Bryan Grey (Law) pour le forum Londres et Ténèbres. |
Administration PNJ Messages : 268 Points : 16680 Niveau de puissance : Infini
| #37902 Re: Longues sont les nuits où je me perds à deviner qui je suis. Jeu 30 Aoû - 3:26 Bonjour Jeune Fille. Bienvenue à Londres. Ta quête des Pokémon vampiriques et lycanthropes est sur le point de commencer! Un tout nouveau monde de rêves, d'aventures et de Pokémon t'attend ! Dingue ! Tu es validée ! Bienvenue parmi nous ! Le pire moment est passé. Courage, c'est presque terminé ! Maintenant, c'est l'heure de la paperasse : ✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici; ✦ Il faut recenser son avatar ➤ ici; ✦ Recenser son nom, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici✦ Recenser le double-compte, si c'est le cas ➤ ici✦ S'il y a un emploi, il faut le recenser ➤ ici✦ Créer votre carnet de connaissances et de relations et le maintenir à jour ➤ ici✦ Créer votre carnet d'évolution des RP et le maintenir à jour ➤ ici✦ N'oublie pas d'inscrire le lien de ta fiche dans votreton profil et de générer et compléter ta feuille de personnage ! Et n'oublie pas: Amuses-toi bien parmi nous! |