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A genoux, prosternez-vous, soyez ravi, SS est enfin ici.

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Invité
Invité
Anonymous
#27435
A genoux, prosternez-vous, soyez ravi, SS est enfin ici.
Message Ven 9 Juin - 11:38


Dernière édition par Shun Steel le Ven 24 Aoû - 10:21, édité 14 fois
ShunSteel



Identification

Nom: Steel
Prénom: Shun
Surnom: S.S (réservé aux proches), « Gestapo » (réservés au prisonniers vampires).
Âge: 130 ans
Sexe: Masculin
Orientation sexuelle: Asexuel
Pays d'origine: Allemagne
Race: Lycanthrope
Groupe: Libre
Emploi: Businessman - Directeur de Lycanthrope Coporation
Supérieur immédiat: Lui-même


Derrière l'écran

Prénom: Shut !
Surnom: Aucun
Âge: 20 ans
Découverte: Sur internet
Fréquence de connexion: Souvent
Autres personnages: A venir
Autres trucs sur vous: J'adore les lycans
Commentaires: Where darkness lies, secrets hides.

Le physique qui me différencie
D'aucuns soutiendrait que ma forme humaine est charmante et attirante, mais c'est là l'erreur de croire que l'habit fait le moine. Ainsi, sous mon costard cravate et chaussure de ville, se cache un corps bien bâti et musclé, taillé pour l'efficacité. Pas de graisse sur ma peau tannée par l'âge et l'usure, mais qui par endroits, et marqués par les traces du passé.

Ma taille, atteignant les un mètres quatre-vingt-cinq, fait de moi un homme plutôt grand, tout en restant dans la moyenne, ce qui me permet de rester incognito dans les villes. Mon poids, s'il dépasse ma taille avec ses quatre-vingt-sept kilos n'est rien d'autre que du muscle, alors ne pensez pas pouvoir me reprocher mon régime alimentaire. Abdominaux saillant, triceps nerveux, je suis en terme correct, ce que l'on nomme un athlète, duquel je réponds plutôt de statue romaine.

Mon visage est l'incarnation de la virilité, avec forme carré et taillé à la serpe, cheveux poivre et sel brossés en arrière, et mon air d'homme d'affaires accentuant le côté masculin. Attirant comme les sirènes sur les rochers, mes yeux envoûtent par leurs manques de synchronicité, d'un bleu Arctique pour le côté droit, au rouge sanglant pour le gauche.
Mes épaules large et droite, ont une posture militaire obtenue autant par les traitements d'un père soldat que d'un rude traitement à moi-même.

Sur cette peau, cependant, se promènent les cicatrices lugubres d'un passé que je voudrais oublier, allant de la brûlure circulaire autour de mon cou, comme un collier qui aurait était serrée trop longtemps, chair boursouflée et ayant mal cicatrisé. Sur mes poignets, le même traitement s'en trouve présent, chair légèrement rosée par la maltraitance de ces dernières années. Sur mon pectoral droit, une cicatrice tout autre et volontaire, un tatouage à l'encre noire, présentant deux S en forme d'éclair, que bon nombre de personne confonds avec une partie sombre de l'histoire, alors qu'ils n'en représentent juste mes initiales. Si mon physique arbore la trentaine, méfiez-vous des apparences, mon véritable âge en sera tout autant une surprise que la bête sauvage qui se cache sous ces vêtements de businessman...

Ainsi ma forme lycan que les Hommes se plaise à appeler loup-garou, c'est probablement la plus incontrôlée des trois formes, mais également la plus sauvage. Sous cette métamorphose, mon corps gagne en taille, deux mètres, vingt-six pour-cent, deux kilos. Si en terme de puissance, elle se prouve être utile, il n'en reste pas moins que cette taille en reste dans les endroits étroits un handicap certain, mais en terrain ouvert deviens arme de destruction puissante. Si ma fourrure s'en trouve noire comme une nuit sans lune ni étoile, ces reflets argentés en font honneur à notre astre relié. Ne vous y trompez guère, cette forme en sera aussi rare que mes colères, mais face à elle, faite vos prières.
Forme lycan:


Souvent indomptable, et pour cause de ma nature, ma troisième carrure n'en reste pas moins imposante, ayant hérité des gènes puissant de mon père et de sa grande taille. Ainsi, c'est de la race des canis lupus, dont ne me rapproche le plus, mon pelage onyx, parsemé de grains d'hématite du museau à la croupe. Mes yeux sans en changeaient de couleur, prennent un air plus expressif et prédateur, et mes crocs blanc en sont un contraste saisissant du reste de ma robe ébène et métallique.

Avec une taille de quatre-vingt-quinze centimètre, j'en forme l'un des plus gros spécimens, et le poids en est tout autant impressionnant, avec quatre-vingt-douze kilos de muscle et de griffes. Et si de nombreux chasseurs ayant croisés ma route ont voulut m'abattre me prenant responsable de la mort de leurs bêtes de troupeaux, sachez que ma morsure saura vous convaincre de ne pas m'attaquer, si mes 150 kg/cm²  de pression créée par ma mâchoire n'en sont rien pour vous impressionner. Et si vous pensez pouvoir dompté la bête que je représente, vous pouvez retournez d'où vous venez, car si un maître un jour j'aurais, j'en serais le seul à en décider.
Forme loup:


Le psychologique qui m'habite
Si vous vous inquiétez de savoir qui je suis, et bien, c’est probable que je sois déjà votre ennemi. Pitié ou remords sont deux mots qui me sont inconnus, et leurs frères regrets et clémence en sont tout aussi transparent. Mon seul but est la suprématie de ma race, mon seul intérêt est mon entreprise. Gare à toi, qui te mets en travers de mon chemin, car aucun scrupule ne barrera le mien. Si je dédis ma vie à ce que j’estime être mon œuvre, cela ne signifie pas que je ne pense pas à l’avenir. Car, aussi loin que mon existence m’a menée, j’ai toujours voulu, un jour, vivre en paix.

Mes peurs, qui me tenaillent la nuit dans mon lit, n’en sont que de pâles reflets, et mes craintes du feu ou de l’eau, n’en sont que d’humbles fantômes face à mes vraies peurs, celles qui m’accompagnent chaque fois qu’une blouse blanche passe mes côtés. Ma révulsion pour le médical est aussi puissante que mon besoin de l’utiliser, aussi avec force de foi et de courage, je passe chaque fois outre mon dégoût.

Ni lâche ni présomptueux, je n’en reste pas moins sûr de mes capacités. Ne cherche pas à me décourager, tu auras davantage de chance de me motiver. Je ne recule devant rien, pas même plus fort que moi, car si l’orgueil est un pêché, l’arrogance est un moteur qui pousse les limites. Peu m’importe tes motivations, si tu viens à mes côtés, je saurais te récompenser pour tes loyaux services, mais trahis-moi et le seul spectre que tu connaîtras sera celui de la mort qui planera au-dessus de toi. Si tu tentes la corruption, passes ton chemin, ma volonté n’a d’égal que ma haine des vampires, viles créatures qui je n’aurais de cesse de traquer jusqu’au dernier. Si la religion n’est pas ma ligne guide, loin de là s’en faut, je prie le grand Dieu qui nous créâmes par simple provocation, après tout, nous autres créatures, vivons sur Terre.

Rarement, ma colère sera dévoilée, mais si un jour son courroux vient à frapper, préparez-vous à en subir les conséquences. Tout comme mon calme et ma nonchalance sont des armes nécessaires à la joute verbales de mes actes et de mon travail, méfiez-vous de ma tendance à frapper dans le dos, car si la trahison m’insupporte, la mienne travaille uniquement pour le bien de mes sujets, ne t’avise donc pas, de m’en reprocher l’utilisation, vipère, toi qui seras le premier en t’en servir. Si je sais me montrer à l’écoute, c’est uniquement pour le bien de mes projets, ne pense pas que tu pourras me manipuler. Et si la race humaine pense pouvoir par sa science éradiquer ce que la nature à fait l’effort de créer, alors, je me dois de tout mon cœur et de toute mon âme d’en éradiquer jusqu’au dernier.  

Ne prétends pas me plaindre, je n’en supporte pas les gémissements de ta voix, et ne pense pas me dire que tu pleurerais si tu étais moi, ta pathétique existence me rendant déjà nauséeux. Détermination et combat seront deux mots qui guideront mes pas, peu m’importe, ou leurs voix me guidera. Si je calcule chaque pas, comme dans un jeu d’échec pipé, ne pense pas que c’est toi qui as la main, car c’est la mienne qui te fait trembler.
Mon cœur ne s’ouvre qu’au plus proche de mes idées.

Passion n’est pas un mot qui m’habite, je n’y suis pas insensible, et j’attendrais qu’elle vienne me chercher pour en voir ces effets. Qui sais, les domaines du cœur, n’ont jamais était miens. J'ai toujours eut l’œil pour voir les êtres talentueux avec du potentiel, mais ne t'y trompe pas, ne pense pas pouvoir mentir sur tes réelles capacités. Si je disais que je ne possédais aucun défaut, cela serait présomptueux, mais je dirais que je possède plutôt de parfaites imperfections. En ces mots, je n'ai pas tord, du moins pour moi, car je trouve qu'avoir un cœur qui s'attache à des êtres est autant une malédiction qu’une bénédiction, offrant autant d'alliés pour se défendre, que de point de pression pour faire tomber. La patience est une vertu, et si je la possède ne pensais pas pouvoir en abuser, car je sais faire la différence entre patience du chasseur, et celle du prédateur...


Le passé qui m'a construit

Chronologie:

Oui, je pourrais commencer cette histoire par « Il était une fois », mais entre vous et moi, c'est incroyablement clicher et mon vécu n'est pas un conte de fées.
Aussi, tout commença dans un petit village appelé Niedersteinbach, aux frontières de l'Alsace du Nord actuelle, qui était en 1870 sous le contrôle de l'Allemagne. Naît une chaude nuit d'été 1900 à minuit une, dans un corps de ferme, je fusse nommé Adam Lepommier, bien que mon père eût seul à en décider. Deux parents Lycanthropes ne pouvaient que donner un enfant du même sang, c'était donc sans surprise que j'en sois un, cependant ne vous y trompez pas, je n'ai rien à voir avec nos amis les chiens, que j’abhorre par leur fidélité maladive. Bien que nous soyons nais sous le joug allemand, comme bon nombre d'alsaciens, mon père et ma mère se firent un point d'honneur à conserver la langue française, tout en apprenant l'allemand, ce qui fut source dans les débuts, de confusion pour moi.

Mes jeunes années furent ponctuées de famines, sécheresses et blizzards ayant raison la plupart du temps, des maigres récoltes que nous faisions. Notre village, peuplé de trois cents âmes et quelques, était à l'agonie, et seul la chasse permettait de survivre, pour peu qu'un lapin, un cerf ou une biche viennent à passer. Mon père, soldat dans l'âme, c’était battu contre la Prusse et voyait en moi, comme à tout père à cette époque, le futur de la famille ainsi que l'héritier, tout en y rajoutant sa touche personnelle : le futur soldat obéissant. Mais voyait, soldat obéissant, je n'étais pas, et, du haut de mes quatre années, faire la guerre avait pour moi peu d’intérêt, duquel je préférais déjà l'art des lettres et du parler, bien plus ardue à maîtriser, car demandant un contrôle parfait. Amour comme on l'entend aujourd'hui, n'était pas présent chez moi, à la place comme toute famille à cette époque le devoir était plus que d'aimer, et si nourris, logis, blanchis, j'étais, ne vous attendez pas à des câlins ou des embrassades.

Père, durcis par l'âge, me fit vite comprendre qui commandait, et si je me pliais sans protester aux punitions, restant au garde-à-vous durant des heures les longues nuits d'hiver, ou bien faisant le parcourt du combattant sous un soleil de plomb en été sans eau, je trouvais encore bien difficile de tuer un lapin ou cerf, voyant en eux de pathétiques créatures dont je prenais pitié. J’apprenais à mes dépens que la pitié tout comme le pardon, n'as pas de place dans ce monde. Ma douceur caractérielle s'en fut entachée, le trois janvier 1910. Ce matin-là, alors que je m’exerçais encore à l'une des punitions de mon père, j'appris par mon voisin que le corps de ma mère, qui s'en était allée chercher du pain en ville avait était retrouver il y a quelques minutes, dans une rivière petite, allant ce noyer plus loin dans le Rhin et se trouvant en bordure du village. Il ne m'en fallut pas plus pour courir et rejoindre le médecin du village, pressentant que je trouverais mon père là-bas, lui qui était aux champs quelque temps auparavant.

Ce fut en effet le cas, bien qu'au début, il m'interdit le passage, me demandant d'obéir comme toujours. Et comme toujours, je n'en fis pas cas, et désobéissant, je m'introduisis par la fenêtre, et il m'en fallut tout aussi peu pour regretter mon geste, devant le cadavre mutilé de ce qui se devait d'être ma mère, boursouflée par les eaux, lèvres et ongles bleus, gorge ouverte, et yeux grands ouvert fixant le vide. Je ne m'entendis pas hurler, pas plus que je ne sentis mon père me saisir par le col de mon haut et me traîner hors de la salle du médecin, et me jetant dehors en criant, et alors que les premiers sanglots que je retenais franchissaient le mur de ma gorge, je demandais : « Qui ? » , « Vampires. » Fut sa seule réponse. Jamais je n'aurais cru être capable de haïr qui que ce soit simplement pour son appartenance à une race. Pourtant, ce jour-là, ma raison fut consumée par la rage et la colère, et quand mon père entraperçut cette dernière, et le feu brûlant dans mes yeux, remplaçant cette tristesse par vengeance, je lus dans son regard qu'il me comprenait, et pour la première fois, nous fûmes d'accord sur quelque chose.

Les mois qui suivirent furent pour moi source de changement chasse devant exutoire à ma haine grandissante, m'imaginant à la place de lapin et cerf, vampires courant sous le vent de ma rage. Peu m'en fallut pour abandonner mes études de lettres et aidés mon père aux champs, devenant ce que je détester le plus et pourtant m'aiderais le plus : un soldat.
Le trois juin 1914, lorsque les cloches sonnèrent à l’unisson, annonçant le début d'une guerre ne portant de cette dernière que le nom, mon père m'annonça devant ma confusion, que c'était le signe que l'une d'entre elle aller commencer. En temps qu'alsacien sous le drapeau allemand, il se devait de se battre pour l'Allemagne, et c'est ainsi qu'après des adieux sobres, il partit volontairement s’engager à nouveau, comme si je n'étais pas là. Je compris ce jour-là, qu'il me faisait confiance pour que je me débrouille seul. Jamais je ne m'étais senti aussi seul au monde que ce jour-là.

Durant trois mois, je dus trouver le moyen de me sustenter sans pouvoir m'occuper seul des champs, et j'abandonner la ferme familiale non sans peine, pour aller vivre dans un logis d'une maison à étage qu'un de mes voisins avait accepter de me prêter moyennent un maigre loyer que je tirais de mes économies. La chasse était mon seul moyen de vivre.
Le vingt-huit avril 1915, je reçus une lettre portant les insignes militaires, et même si, même sans regarder cette dernière, je savais ce qu'elle contenait, je me devais dans un vain espoir, d'en lire le contenue. Ainsi, mon père était mort durant le gazage d'Ypres en Belgique, après que le vent est changeait de direction, dispersant dans toutes les directions cette cruelle arme. Je n'osais imaginer la douleur que ça avait du être. Je ne vis jamais son cercueil, pas même son ombre. À vrai dire, je ne suis même pas sûr qu'ils aient retrouvés son corps. Ce jour-là, malgré toute ma volonté, je ne pus empêcher les larmes de couler. J'étais désormais seul et le sentiment de vide qui accompagnait la douleur dans mon cœur, me fit comprendre que le monde aussi cruel soit-il m'avait appris une leçon : moins l'on s'attache aux gens, et moins la souffrance sera présente. Ce sera ma façon de vivre durant mes prochaines années.

J'en oubliai que cette nuit-là était celle de la pleine lune.
Mon père m'avait toujours dit que la première transformation, ainsi que celle qui suive sont les plus douloureuses choses qui puisse arriver. Ces paroles furent un mensonge, bien qu'en toute honnêteté, je ne saurais jamais si c'était une bonne, ou une mauvaise chose.
Je ne ressentis aucune douleur en me transformant, pas plus que je n'en ressentirais pour les fois suivantes, mais pour être franc, j'aurais vendu mon âme au diable pour en ressentir un peu. Le vide que je ressentais, et que je ressentirais toute ma vie face à la douleur ou plutôt son manque, je le comprendrais plus tard, sera autant un handicap qu'une bénédiction, bien que je n'en sache pas encore la raison. Lorsque je retrouvai ma forme humaine, je dus admettre que la confusion qui s'en accompagna en fut vite dissiper, le sang sur mon corps et qui se trouvait partout, autour de moi, ainsi que les corps non loin, me faisant comprendre une partie du scénario qui s'était joué. L'horreur et la terreur, c'était alors saisit de moi, en comprenant ce que je venais de faire, et je savais aussi que j'étais désormais probablement sur la liste de chasse du village. Je me pressais de rentrer sans me faire voir au village, avant de me laver autant que je le pouvais, de faire mes affaires et de disparaître. Je ne reviendrais jamais dans cet endroit, maudissant à jamais ce moment.

1915-1935:

C’est en 1939, alors que l'ennui, c'était installer comme une chape de béton dans ma vie, le son des cloches qui planaient au-dessus de nous depuis plusieurs jours déjà, sonnèrent enfin le glas de la paix, comme un spectre qui n'avait jamais disparut. Pour la première fois depuis de longues années, un lourd frisson me parcourut. Il était temps que je fasse ma part du marché également, après tout, tel père, tel fils... La guerre ne fut pas longue, mais les douleurs qui en suivirent, elles, le furent. Et si elle n'était pas du tout comme je me l'imaginé, les cauchemars qui hanteraient mes nuits seraient davantage lier à ce qui allait suivre qu'aux champs de bataille, plus massacre organisé que véritable guerre, où l'ennemi domine sous tout les fronts comme un monstre.
J’étais un conducteur de char d’assaut, le LORAINE L 37 antichars, mais la formation qui était sensée nous apprendre à la maîtriser avait était aussi succincte que rapide, les formateurs et surtout les généraux et maréchaux prit de cours par le « Blitzkrieg » allemand, étant pris de court. Tirer avec pareil engins était une torture autant par la chaleur horrible qui y régner, quarante-deux degrés Celsius, que part le son qui résonne dans la structure à chaque tir de canon, qui voyait souvent son ogive déviée sur les blindages de chars ennemis. C’est durant un affrontement dans les Ardennes, que notre char appelé « Dolly », se fit complètement détruire par un Panzer IV, où nous fûmes complètement dépassés. Par deux fois, le canon ennemi nous transperça comme du beurre, et avant que nous soyons complètement explosés nous décidâmes de sortir et de nous rendre. Les Allemands pour une raison que j’ignore acceptèrent de nous faire prisonniers – je me serais passé de cette pitié, si j’avais su ce qui m’attendais – mais nous fîmes partie des centaines de milliers d’autres récupérés sur les champs de bataille.

Ils nous parquèrent dans un train comme des animaux – non pas qu’on aller s’en plaindre, on était déjà heureux d’être en vie – et nous fûmes pendant trois jours transportés à l’intérieur de ce dernier sans être une seule fois sortis. Les plus faibles mourraient, les plus forts se sentaient humiliés, à s’asseoir dans leurs propres pisses et déjections, à dormir debout ou assis pour certain, ce battant parfois pour le peu de place qu’il y avait couché.
Lorsque nous fûmes enfin arrivés, nous passâmes presque sept semaines serrées comme des sardines dans un camp de transition, avant d'être envoyé dans un camp qui hantera l'histoire : Auschwitz. À ce moment-là, jamais je n'aurais imaginé ce qui m’attendait, mais de par ma nature, je savais que rien de bon ne pourrait sortir de ma captivité forcée. Ah, si seulement je savais à quel point j’avais raison…

En effet, il ne s'en fallut pas beaucoup pour qu'aussitôt ma première transformation faite, les Allemands et surtout le médecin du camp ne se réjouissent de pareille découverte, véritable rat de laboratoire que j'étais devenu. Bien entendu, j’étais trop précieux pour être tué, mais ils ne se gênèrent pas pour tester toutes les théories sur ma race, de l'argent à l'eau bénite, et à l'aconit tue-loup. Plusieurs fois je me surpris moi-même à souhaiter que tout cela cesse, sachant pertinemment que c’est un vœu pieu. Aucune douleur ne me traversait, et ce, même lorsque l’argent, ennemi mortel de toute race surnaturelle, s’en faisait contact avec mon épiderme. Une chose que je ne savais pas pointé du doigt, mais que je savais depuis longtemps anormal, lorsque j’entendais parfois, les gémissements de douleur de mes camarades, réclamant à manger, sous la peine de leurs estomacs, criant famine. Après un mois d’agonie sans douleur, ou seul mon esprit en subissait les tortures, le médecin appelé « Franckhäzeur » conclut que j’étais porteur d’une étrange maladie, qu’il nomma, faute de référence « Nicht-schmerzhaftes Syndrom » ou « Syndrome sans douleur ».

Ce fut le premier mars 1941, que se produisit le premier événement notoire. Heinrich Himmler, chef SS, est venu visitait le camp, et je fus présentait comme l’un des spécimens les plus rare, une nouvelle espèce que l’on croyait légende. Peu s’en fallut, pour que ce dernier tende l’oreille, voyant déjà tout le potentiel de guerre dans cette puissance lycanthrope. J’ignorais si les détenues connaissaient mon existence, tant elle était tenue secrète, enfermé jour et nuit dans une cellule avec une seule toilette et très peu de nourriture. La nuit, j’étais enchaîné avec du fer et de l’argent, qui feraient porter les cicatrices pour le reste de mon existence, dormant parfois, à même le sol, étant pris d’excès de fièvre, que j’avais appris à détecter grâce à la curieuse pression que je sentais dans mon crâne.

Le grand chef SS était une personne bien étrange, mais je me devais là, de tenter ma chance. Je lui adressai donc la parole essayant de le convaincre que je pourrais servir ces rangs. Il fut tout aussitôt attentif, cherchant de ces yeux le mensonge vil, ou la vérité pure. Il ne fallut pas beaucoup pour le convaincre, l’idée d’avoir un lycan dans ces troupes, étant trop alléchantes. Ainsi, le pacte tacite fut signé, je me devais de lui obéir quels que soient les ordres, en échange, il me ferait sortir du camp et je servirais dans un projet dont lui seul en connaissait les tenants et aboutissant. Pour être franc, j'aurais tout donné pour sortir de cet endroit. Je ne sens peut-être pas la douleur, mais mon isolation, et les cauchemars nocturnes avaient eut raison de mes remparts mentaux. J’en avais même subits des électrochocs, qui plusieurs fois conduire à des crises de convulsions, qui ne furent en rien, belles à regarder.

Le quatre mars 1941, je fus sortie du camp en pleine nuit, pour rejoindre Berlin en secret. Le Führer lui-même ignorait que j'existais, et c'était là, le point de pression parfait, bien qu’en toute honnêteté, il me serait difficile de faire chanter qui que ce soit. Durant les mois qui suivirent, je fus, et devins le chien obéissant du grand chef SS. Je me sentais aussi humilié qu'amèrement joyeux, étant sorti de l’enfer que je maudissais plus que tout.
Il m’intégra, dans une branche de la Gestapo, qui ne sera ni connu de l’Histoire, ni même du grand Hitler, car il n’y avait ni compte rendus écrit, ni téléphonique ou messages transcrit. « La brigade fantôme » était le nom qui fut attribué à notre groupe, constitué de trois hommes et deux lycans, moi et une autre, que j’eus la surprise de rencontrer, et qui s’appelais Chloé, bien que j’ignorai ce qui la faisais obéir à notre supérieur. Notre but était simple, nous avions des missions qui nous étaient assignées, et nous devions les mener à bien.

Les premières furent en Allemagne, ou nous devions détruire un groupe de résistant constitué uniquement de femme qui était nommé « Les treize roses ». Le problème fut vite réglé, notre présence contenant force et puissance qui ne pouvait être ignorait. Les deux missions qui suivirent furent en Pologne, où nous dûmes abattre des résistants qui faisaient gloire à Staline. Après cela, nous fûmes assigné à une mission spéciale en France.
C’est en 1942, que nous quittâmes cette infâme patrie qu’était le Reich, pour nous dirigeait vers Vichy, gouverné par Pétain, collaborateur aussi connu que le chef de la résistance, Jean-Pierre du Moulin. Nous devions décimer des groupes de maquisards, réfugiés dans la Montagne Noire – forteresse de bois et de forêts – mais aussi de trouver des informations sur le chef si méprisé des boches le grand Général de Gaulle.

Alors que l’Allemagne rentrait en guerre en URSS et en Afrique, nous étions nous, coincé dans ce régime obscur, ou dénonciation était aussi monnaie courante que ce que nous appellerions plus tard les « Justes ». Ce fut peu de le dire cependant, car la ferme protection entre les habitants fut plus grande que prévus. Cependant, Chloé et moi, nous n’étions pas du même bord que ses frisés, qui nous suivaient partout, plus en temps que surveillant, que réels membres de l’équipe, étant là pour s’assurer que les chiens de Reich fasse leurs travails sans fuir ou désobéir, aussi nous essayâmes plusieurs fois de faire parler sans utiliser menaces de mort ou fusillades, malheureusement, sans grand succès.
J’ignore combien de temps nous restâmes en France, mais nous dûmes en quittait les beaux paysages et l’air frais, pour aller dans l’étouffante chaleur et terrible guerre de Lybie. Le Führer craignait qu’un espion se soit glissé dans les rangs allemand, car l’avancé dans le sable ocre se faisait bien trop lentement. Il en tourna au bout de quelques mois, que ce n’était rien d’autre que l’incompétence générale du commandement qui était en faute, car aucun espion ne fut jamais trouvé. Ce n’est que quelques semaines plus tard, que Rommel en fut assigné le commandement de l’armée ici.

Ce fut en France, à Paris que nous fûmes ensuite, cette fois pour arrêter un groupe, déjà repéré. Ce fut cependant, un véritable carnage, car un vampire s’en était glissé parmi eux. Nos deux gardiens en moururent presque sur le coup, quant à Chloé, elle fut séparée de moi suite à la débande du groupe de résistant apeuré par le monstre qui s’était révélé. Le combat entre lui et moi fut acharné, et bien que j’en sois vainqueur, il s’en était fallu de peu. Je le décapitai avec mon couteau de combat, avant de canarder le corps d’un coup de mitraille, que je laissai ensuite le soin au soleil d’en faire disparaître les traces. Notre escadron, désormais décimé, l’idée de devenir fugitif me saisis. Cependant je ne pouvais laisser Chloé à son sort, quand bien même je m’étais juré de ne me plus m’attacher. J’aurais dû savoir désormais, que rien de bon ne sort des attaches sentimentales, mais j’étais alors tenu par la solidarité avec ma race.

Nous repartîmes le lendemain vers Berlin, ou nous fîmes le rapport à Himmler, qui sembla alléché par la découverte des vampires. Il demanda tout ce que nous savions à leurs sujets, sans que nous puissions refuser, la sellette qu’il tenait étant celle d’Auschwitz, camp de la mort dont je ne voudrais jamais en revoir les miradors. Ce fut en 1942, vers la fin de l’année, que quelque chose d’incroyable se produisis. Alors que nous étions stationné à Leningrad, au front russe, cherchant à savoir comment les bolcheviques pouvaient encore nous résistait, nous reçûmes un message, de la part du chef SS, qui nous demandais de revenir immédiatement, des personnes c’étant évadées d’Auschwitz. Il voulait que nous trouvions qui les avaient aidés, car il fut impossible d’en sortir sans l’aide de garde, ou tout du moins, du personnel du camp.

Les évadés ne furent pas difficiles à retrouver, épuisaient par la maltraitance et la malnutrition. Mais nous n’eûmes pas le cœur à les livrées à une mort certaine, nous décidâmes d’un commun accord d’en apporter que quelques-uns. Les trois sacrifiés que nous rapportâmes avaient dans leurs regards le vide émotionnel de ceux qui savent qu’ils vont mourir, tout en étant trop fatigués pour en avoir désormais cure. Nous devions les faire parler, pour savoir comment ils s’étaient échappés, mais là aussi, le cœur n’y fut pas, déjà épuisait par la barbarie nazie, et leurs méthodes d’un autre temps. Nous fîmes la décision qui allait changeait la donne, nous décidâmes de fuir et de nous sortir du bourbier de la Brigade Fantôme. Nous libérâmes les prisonniers et fuîmes avec eux, ces derniers nous indiquant en remerciement, qu’un train de déporté aller arriver, et que nous pourrions espérer nous échapper de par ce côté.

L’espoir était enfin à notre porter, mais jamais rien ne dure à la guerre, pas même la joie d’être enfin libre. Le train qui aller repartir du camp pour aller en France, ou les rafles se faisait à tour de bras, une avarie moteur nous stoppa net dans notre course à la liberté retrouvée. Prient de panique, et craignant d’être découvert, nous prîmes la décision de fuir et de partir dans les bois qui longeaient le chemin de fer, priant si Dieu existe, de nous laisser en vie.

Nous marchâmes un long moment, avant de tomber sur un petit village qui avait un téléphone. Là, nous fûmes capables de contacter un groupe de résistant en secret, et nous leur expliquâmes que nous étions des infiltrés dans le camp allemand et que nous étions de leur côté. Nous avions des informations extrêmement importante, mais nous avions était découvert et que nous cherchions refuge. Dans toute cette histoire, le seul mensonge fut ces derniers mots. Bien que la méfiance était de mise, les informations étaient clairement alléchantes, et nous nous donnâmes rendez-vous à Paris, le nom de code fut « Loup noir ». Pas une seule fois, nous eûmes de scrupule, Chloé et moi, à servir les résistants, nous n’étions de base, pas même censés aidés les Allemands.
Se fit en total clandestin et par train que nous rejoignîmes la France, puis Paris, enchaînant les cachettes et moyen de se nourrir des plus inventifs. Le trajet fut mouvementé et terrible, et la fatigue sapait nos forces.

Ce fut en 1943, en tout début d’année, que nous les retrouvâmes au point de rendez-vous, où ils nous fouillèrent à la recherche d’arme avant de nous emmener, aveugler par un bandeau, dans un endroit secret. Là, nous leur partageâmes toutes les informations que nous possédions, répondant à autant de questions que nous le pouvions. Convaincus et heureux d’avoir des alliés qui avaient réussi l’exploit de s’introduire chez l’ennemi, ils nous accueillirent parmi eux pendant plusieurs mois, vérifiant les informations et nous demandant de participer à des coups. Plusieurs fois nous leur évitâmes de se faire capturer par la Gestapo et les services secrets français, habités de leurs méthodes que nous avions auparavant employées.

C’est en juin de la même année que les résistants nous conduisirent chez leur chef Jean-Pierre du Moulin – un personnage tout aussi sympathique que dangereux – ou nous lui exposâmes la situation. Malheureusement, la réunion secrète qui était tenue dans la « maison du docteur Dugoujon » fut interrompue, La Gestapo fit la prise du siècle, avec le chef de la résistance et leurs anciens collègues dont il n’en connaît pas même l’existence, nous.
Nous fûmes conduits dans la terrible prison de Montluc, ou nous allions subir quelques-uns des plus grands supplices de notre vie. Je ne pouvais sentir la douleur, nos geôliers ainsi que nos interrogateurs s’en rendirent vite compte. Alors, ils durent trouver autre chose pour me faire parler sur ce que je savais. La solution fut rapidement emmenée.

Pendant qu’ils torturaient Chloé, je devais regarder. Et ils savaient comment faire mal, oh, comme ils savaient. Jamais autant dans ma vie, je ne regrettai pas de m’être attaché à elle. Ils avaient une méthode, qui hante encore mes cauchemars la nuit. Ils l’appellent « Zählen von der Nägel », « Le décompte des clous ». Ils prennent des clous, et les plantes dans la chair à coups de marteau. Et pendant ce temps, ils demandent à la victime de compter à l’envers. Il ne me fallut pas longtemps pour parler. Au vingt-troisième jour, je commençai à parler, au deuxième mois, je crachai toutes les informations que je possédais. Et quand enfin, nous eûmes un répit dans notre tourmente, chaque fois que je fermais mes paupières, j’entendais la voix de Chloé faire le décompte : « Mille moins sept », et elle répondait « Neuf cent quatre-vingt-treize… ».

Et quand trois heures plus tard un garde me trouva à me cogner la tête contre le mur avec tant de force que le sang coula, j’en avais adopté le geste, pour essayer de me sortir de la tête cette vision d’horreur, de ces bras d’où pointait les protubérances métalliques, le sang ruisselant, ces jambes ayant subi le même sort, et ces épaules, son dos, sa poitrine, « Seigneur, ayez pitié de nos âmes », m’étais-je pris à prier, alors qu’ils m’enchaînaient loin du mur à un poteau au milieu de la pièce, pour éviter que je ne recommence à frapper, ils placèrent un oreiller de paille contre le poteau, ce fut la seule preuve de pitié qu’ils me montrèrent. Non pas que j’en avais quelque chose à faire à la base…

J’apprendrais plus tard, que les maquisards de la Montagne Noire, que nous avions traquez en premier lieu, puis tenter de protéger, avez était tués, jusqu’au dernier. Si l’histoire n’avait pas était aussi ironique dans sa manière de faire, j’en aurais ris, pour ce qui était de l’instant, j’en préférais garder le silence, trop épuisé et pour éviter d’en dire davantage.
Ce fut en octobre 1943 que nous fûmes embarqués pour un aller simple en enfer. Nous avions, Chloé et moi, échappés de peu à la potence, pour une raison que je ne comprendrais jamais. J’aurais préféré la mort, au sort qui nous attendait. Auschwitz apparut devant nous, prête à nous faire souffrir, et prêt à nous rendre fou. Gigantesque camp transformé en terrain d’exécution n’ayant rien à envier au couloir de la mort d’Alcatraz. Nous fûmes envoyé là-bas en temps que main d’œuvre, les Allemands ayant toujours plus besoin d’ouvrier pour faire fonctionner la gigantesque machine qu’est le Reich. Il fallait dire quand le camp, les gens ne faisais pas long feu, s’ils ne partaient pas en fumée avant.

Nous fûmes assignés à l’une des tâches les plus ingrates qui soit : trier les vêtements des Juifs qui étaient envoyés nus, dans les douches, qui étaient en fait les chambres à gaz. Pendant un temps indéterminé, ce fut notre travail, avec tellement peu de nourriture que notre nature mit à mal par temps de souffrance commença à se rebeller. La nuit, nous faisions de l’alternance, afin de surveiller l’autre. Si elle dormait, je restais éveillé, et si je m’assoupissais, elle me gardait. Ainsi, chacun de nous peut réveiller l’autre lorsque les cauchemars venaient frapper à la porte de nos esprits. Nous n'en parlions jamais, et attendions que l'autre se recouche, ce qui ne prenait jamais longtemps, nos corps abusés, réclamant plus de sommeil qu'il nous était donné.

Le jour de six heures du matin à midi, nous étions au tri, puis nous avions demi-heure de pause avant de reprendre jusqu'au soir parfois jusqu'à vingt heures du soir. Parfois, si nous n’allions pas assez vite à la tâche, nous étions punis le lendemain en allant au charnier. Grand Dieu, le charnier… Ma phobie du feu s’en est tirée de là. On y brûlait le corps des morts du camp, les fours crématoires tournant à plein régime jour et nuit, ne parvenait pas à suivre le rythme de la mort, qui n’offre ni pitié ni pardon. Je ne sais honnêtement pas combien de temps nous somme restez dans cette position. À ce point-là, nous étions tout les deux tellement fatigués que seul le mécanisme d'un geste répété indéfiniment nous gardait fonctionnel. Comme des auto-matons condamnés à répéter les mêmes mouvements jusqu'au décès.

Nous étions davantage des morts-vivants, que de vrai êtres vivants, lorsqu’un troisième lycans nous rejoignit dans notre malheur. Il s’appelait Alexeï Karkarovish, et si, il était sans aucun doute le seul à encore avoir le sourire, et à rigoler et tenter de remonter le moral des troupes, il y avait dans son regard, la démence qui attendait patiemment le moment où elle serait relâchée. Il avait en lui cette chose qui attendait, ténèbres rampants, et hideux, et pour être franc, je ne voulais pas être là lorsque la bête en serait relâchée. Je ne peux pas vous dire combien de temps nous somme rester dans cet endroit. Nous étions tous épuisés, et j’étais ravagé par la pneumonie qui m’arrachait les poumons, bien qu’encore une fois, la douleur qui aurait en être accompagné, n’en fut pas présente. Il se produisit enfin ce que nous attendions tous, sans pour autant, que sur l’instant, nous en soyons très expressifs.

Nous étions au charnier, en train de jeter les corps, lorsque la libération arriva. Le brasier géant brûlait, l'odeur était atroce, brûlant jusqu'à vos poumons, la nausée était permanente, même quand il n'y avait rien à vomir. La vue des flammes ressemblait à une bonne vision de l'enfer où nous étions depuis bien trop longtemps. Une clameur sauvage était montée, dans le lointain. Nous ne nous étions pas arrêtés pour autant, au risque sinon, de nous faire jeter vivant dans la fosse. Alexeï fut le premier à s'arrêter lorsque nous entendîmes une explosion, celle d'une grenade que nous aurions reconnu entre mille, suivie de coup de mitrailleuses, qui loin d’être commun dans le camp, n’était pas pour autant absent.

Le reste est flou, et je n'en garde sincèrement que très peu de souvenir. Je ne sais même pas quelles émotions y associer. Des soldats sont arrivaient, par centaines, ils étaient. Nous les regardions renter, comme s’ils étaient des extra-terrestres venus tout droit d’une autre planète. Ils avaient tous l'air hagard et choqués, comme s'ils n'en revenaient pas de ce qu'ils voyaient. Pendant quelques minutes, ils s’étaient contentaient de regarder, s’agitaient comme des fourmis en plein travail, parlant à leurs radios, hurlants des commandements essayant de s’organiser devant une découverte qu’ils ne semblaient pas attendre. Il se passa plusieurs semaines, dans le camp, désormais sous le joug des Américains, avant que certains d’entre nous, assez fort pour bouger, soit déménagés. D’abord, ils durent nous nourrir. Nous avions si peu de chair sur les os qu'ils n'osaient pas dire non. Mais l'abus subit eut raison des estomacs qui, habitué à si peu de nourriture, explosaient sous la soudaine présence de tant de nutriments. Les pauvres bougres cessèrent presque immédiatement la livraison incontrôlée pour essayer de donner de manière équilibrée.

Puis ils décidèrent de lancer la chasse aux sorcières, qui avaient commencée sans eux, ou les prisonniers, cherchant la vengeance, tenant encore debout et mettaient les gens en rangs, leur demandaient s'ils trouvaient le visage de leurs bourreaux, certains dans la panique ayant tentés de fuir le châtiment ennemi en se cachant parmi leurs victimes. Les Américains fermèrent les yeux sur cette pratique. Malheurs à ceux qui étaient trouvaient, car désormais, une vendetta géante avait sorti les prisonniers de leur léthargie. Vengeances personnelles étaient le mot d'ordre, et les Américains avec la tendance à fermer les yeux quand cela arrivait, comme s’ils ne pouvaient à se résoudre à priver des Hommes de leurs joies retrouvées. Alexeï lui, en perdit l'esprit. La démence dans son regard, devint monstre rampant. Il s'était saisi plutôt d'un hachoir dans les cuisines, et avait prit le premier bourreau qu'il avait reconnu et l'avait massacré. Il en devint presque le maître omniscient des prisonniers, arrachant et découpant, démembrant... Les exécuteurs devenant les exécutés, et plusieurs fois les Américains durent détourner le regard de la folie pure qui ravageaient les corps et esprits. Il riait comme un dingue, et personne n'osa l'arrêter, comme si même cette folie-là était justifiée. À vrai dire, tout acte par les prisonniers était justifié aux yeux de nos sauveurs, tant l'horreur qui hantait nos regards les frappait. Quand j'y repense, je me demande si c'était une bonne chose.

Quant au reste, rien qui ne vaut d'être dit, puisqu'il s'agit de répéter inlassablement les mêmes actions. Trouver les bourreaux et les exécutés, contrôler la nourriture donnée aux prisonniers, et surtout leur trouver un asile. Il me fallut plusieurs mois pour me rétablir physiquement de ma pneumonie et de l'abus subit, mais psychologiquement comme beaucoup d'autre, je portais les traces et les marques de l’horreur qui nous avions vécus, incapables d’aller de l’avant, tant nous étions encore bloqué dans cette partie-là de notre histoire. Alexeï avait dû être enfermé pendant plusieurs jours avant que sa folie meurtrière ne se calmât, après quoi par simple soutient autant pour la race que l'amitié forgée dans la douleur, je décidai avec Chloé, de l’aider, même si, pour être franc, celui qui avait besoin d’aide, n’était pas seulement lui. Pendant plus d’un mois, je souffris d’anxiété de séparation, j’étais incapable de me séparer de mes deux amis, les perdre de vu me faisant paniqué à l’idée que peut-être, ils étaient mort. Les psychologues étaient désemparés quant au fait de gérer la crise, et ils avaient tellement de travail – étant alors là, au balbutiement du métier – qu’ils finirent par nous laisser faire. Mais mon inséparabilité, n’était pas seulement due au fait que j’avais peur de perdre des amis, mais aussi de perdre mes points de repère. Et l’un d’entre eux, était quelque chose qu’une fois rétablit, je partageai avec Chloé et Alexeï.

Se secret, c’était un train qui était caché dans un hangar au milieu de la forêt sous la canopée, les avions américains ne purent le trouver. Équipé de quatre wagons et d’une locomotive, dont trois d’entre eux étaient chargés d’or, d’argent et de bijoux des Juifs, que Himmler avait caché, en cas de chute du Reich – l’homme ne semblait pas avoir beaucoup de confiance en Hitler malgré son service pour ce dernier – et aujourd’hui je leur donnais une idée. Aller voler ce dernier avant les Américains, et ainsi, devenir riche. Après tout ce que nous avions vécus, nous pouvions au moins en espérer d’en avoir une revanche. Fuyant les Américains, qui s’ils étaient sympathiques, n’en restaient pas moins vouloir dominer notre patrie la France, qui souhaitait se partager entre les vainqueurs de la guerre, qui, nous le savions maintenant, n’allais pas tarder à débarquer à Berlin.

C’est de nuit, que sous ma commande, nous sortîmes du camp, largement moins surveillé que par les Allemands, et que nous nous dirigeâmes vers la forêt, où, là-bas, nous pûmes atteindre le hangar. Nous sortîmes le train de ce dernier, et, étant déjà chargé de charbon, nous n’eûmes qu’à le mettre en branle. Nous partîmes en direction du premier village qui se trouvait sur la voie, cette dernière toujours cachée par les bois et un tunnel incroyablement long, n’étant pas surveillé par les avions de l’alliance. Dans une bourgade de cent âmes à peine, je parvins à contacter en France, une veille connaissance de la résistance qui ne s'était pas fait attrapé. Je lui expliquai la situation, et, lui promettant une part du trésor s’il faisait ce que je lui demandais, il accepta volontiers de nous aider. Le trajet dans le train dura une semaine, nous nous arrêtions a des villages pour acheter de la nourriture et de l'eau, faire nos besoins primaires, mais continuions notre trajet autant que faire ce peu, craignant que les Américains ne nous est remarqué fuir. Il n’en fut rien, et il en tourna plus tard, que les registres du camp était si dérangés et qu’il y avait tellement de prisonniers, que notre absence n’en fut jamais visible.

Nous arrivâmes à Paris en pleine nuit, et, sous la lumière des lampes torches, nous retrouvâmes mon ami qui nous avait donné rendez-vous. Il nous annonça qu’il avait un ami américain nommé Léon, qui était prêt à nous fournir un avion de cargaison, moyennant une part de notre trouvaille. Nous ne pouvions pas refuser, nous avions besoin de cette personne autant que de l’avion, pour notre petit projet, monté durant notre long chemin jusqu’à la capitale. Nous repartîmes après avoir reçu les coordonnées de notre deuxième rendez-vous, et la part promise à notre ami résistant, qui s’en trouva tout sourire. C’est donc deux jours plus tard, que nous finîmes par en trouver se Marie-Bertrand, prêt d’un aéroport sous le contrôle français, un avion prêt à décoller. Il nous chargea la cargaison avec l’aide d’un nombre ahurissant d’hommes, dont personne n’osa questionner l’origine, puis, lui aussi, reçut sa part, avant de s’envoler avec nous, vers les Amérique.

C’est trois jours plus tard, que la conclusion de ce périple finis par se faire. En effet, une fois arrivé de l’autre côté du monde, nous avions contacté le FBI, service secret américain, et nous leur expliquâmes la situation, en partant du fait que nous étions des résistants Français et russe, qui c’était glissé dans les rangs allemands et qui avait cherchés à récupéré des informations pour les alliés. Il n’en fallut pas beaucoup pour les convaincre, d’autant que vérifier notre récit s’en révélait impossible, puisque sans papier d’identité ou même de moyen de vérification sur nos dires – la guerre ayant détruit bien plus que des villes et des vies, elle détruisit aussi des administrations complète – nous fûmes accueillit un peu en héros, nous réclamant cependant toutes les informations que nous possédions. Nous leur donnâmes absolument tout, en échange de nouvelles identités et de la protection de témoin du grand pays, qu’étaient les Etats-Unis.

Ainsi, en revenant en France, dans un pays libéré du joug allemand, mais en portant à jamais les traces, je ne pus m’empêcher cependant, d’en ressentir un pincement, comme une amertume sans raison, dont je ne parviendrais jamais à réellement me détacher.
Sous le nom et prénom désormais de Shun Steel, mon retour dans ma patrie mère, s’en fut à la fois mouvementé et calme, dans cette étrange ambiance de fête et de deuil, ou alors que certains dansaient, d’autres s’en voyaient punis de leurs collaborations avec le Reich, visage peint de la croix gammée, cheveux rasés, et corps pendus par les pieds sur des potences improvisés, vengeance tout aussi peu organisée, dans ce pays à l’agonie, qui commence à peine le travail de panser ces plaies.

Une ironie assez étrange, de toute cette histoire, est celle de mon compte en banque, qui durant mon départ avait été modifié pour être vidé et remplir à nouveau sur mon nouveau nom, et je me rendis compte qu'en mon absence, il avait fructifié. Incrédibilité fut autant présente que fou rire. Cependant pour mon plan que j’avais en tête, cet argent, à même que celui voler aux nazis, en serait utile, Alexeï et Chloé, prêt à m’aider. Dans cette ruine décadente qu’était la France, construire une entreprise en était en effet une bonne idée, le travail ne viendrait pas à manquer durant les années qui suivent.

Mais attention, pas n’importe laquelle. Je m’étais rendu compte durant mon périple, que mon peuple n’était pas aussi absent et rare qu’il ne semblait, tout en ayant la même remarque pour les sangsues que je ne supportais pas. J’en décidai de construire des entreprises qui n’engageraient que mes confrères, ou du moins un maximum de ces derniers.
Et cela fonctionna, caché derrière l’image de cette entreprise sans histoire, s’en bâtit une autre à l’abri des regards. De maçonneries à plaquiste, électricien, tout ce qui pourraient servir de construction pour gagner un maximum d’argent se mit sous ma main. Comme un véritable requin en affaire, j’en coulai plus d’un, mes concurrents m’abandonnant bientôt le terrain de jeu. Durant huit années, mon affaire se mit à fleurir, construisant entreprise sur entreprise, comme un monstre sans pitié. Avalant, argents et montant en bourse, construisant et participant à la bourse qui lentement remontait la pente. Mais jamais rien ne dure éternellement, et j’en fus bientôt appelé pour faire ma part du marché dans une nouvelle guerre, comme si le tribu payé dans la précédent n’était pas suffisant.
C’est en 1954, qu’après mes classes l’Algérie me réclama, comme à toute guerre qui réclame sa livre de chair. Baptême du feu, plus que formation, s’en fut, plongeait dans un conflit civil aux allures putride de joute politique.

Plusieurs fois durant mon service, une frayeur me saisit, de la balle qui rase ma tête de la part d'un tireur embusqué, a la mine artisanale qui explose, mal réglée. Les cocktails Molotov, arme de choix de nos adversaires firent des ravages, et plusieurs fois des soldats rentrèrent à la base brûlés comme des poulets sur le grill. Les interrogatoires quand on parvenait à attraper un des fumiers d'en face se faisais à l'ancienne, au mépris de toute convention ou respect de la vie humaine. En ces faits, ce n’était guère différent de la Gestapo, ce qui n’en fut pas de problème pour moi d’interroger nous ennemis, tant j’y étais habitué. Mes camarades par pure plaisanterie, s’en décidèrent à m’en donner le nom. Et si les jeunes en rigolaient, les anciens, visage secret mais éclairé, sur cette sombre partie de l'histoire, comme se doutant que du côté du torturé et du supplicié, j'en fus instigateur un moment ou à un autre, de quelque douloureuse mise à mort.

Cette nuit-là nous fûmes assignés à une mission. Un vampire nous attaqua sur la route - embusqué et désespérer le combat fut acharner et féroce, deux grenades et un coup de mitraille, suivit d'un égorgement par la lame de couteau fut nécessaire. Nous continuâmes notre route sans dire un mot après l'affrontement, et quand, bien après midi, nous passâmes par le même chemin, aucun de nous ne fit de commentaire sur l'absence de corps ou de sang. Désabusé par déjà quelques mois de guerre, qui ressemblais davantage à une joute entre gouvernements, ou vies dansent sur le fil comme un funambule. "Drôle de guerre" disaient certains soldats. S'ils savaient ce qu'était une "drôle de guerre", ils ravaleraient leurs salives sans dire un mot...

C’est dans un soleil de plomb permanent, des ordres absurdes et des moments ou l’on servait parfois de chair à canon, que j’en finis mon service, sans un regret. Ce fut l’année la plus insultante de ma carrière de soldat, avoir survécu au camp de la mort pour servir là-bas fut insultant pour moi. Lorsque je quittai l’Algérie, mon service terminé, j'en fus heureux. J'avais trop vu la guerre, pour accepter d'en voir une si stupide et avec si peu de conviction politique ou d'envie des soldats. S'en était déprimant. Revenir en France fut pour moi, comme un retour en terre promise. Lorsque je rentrai, ce fut comme si rien n’avait bougé et durant plusieurs dizaines d’années, je poursuivis mon inexorable ascension de mon affaire, sous le nom de « Steel Entreprise », spécialisé dans la sidérurgie, BTP et tout autre rayons d’action dans les bâtiments. J’en construisis même des logements sociaux, et plusieurs grands immeubles et nouveaux modèles d’HLM. Enfin, vint l'idée d'un centre commercial, que je construisis dans un premier temps à Paris sous le nouveau nom de « Steel Corporation ». De 1980 à 2000, des centres commerciaux remplacèrent les petites entreprises et commerce établis de part le monde. Berlin, Paris, Chicago, Washington, New-York, Moscou et enfin Londres virent un nouvel arrivant dans le marché, et c'était moi. Jeune, beau, charmant, mes atouts en furent tout autant d’avantages pour gagner des places sur le commerce.

J’étais connu dans l’ombre comme le serait un mafieux, n’ayant rien à envier aux grandes mafias de part le monde, et si, ennemis, je me faisais, alliés était aussi de la partie. Désormais, mon nom était connu des Lycanthropes, et très peu ignoraient qui j'étais, même si en termes de physique, j’en faisais silence radio, essayant autant que faire ce peu de ne pas me montrer au grand jour. Je n'étais guère différent des grands dealers de drogue de part le monde ou bien des mafias. Enfin, en 2015, le boum médiatique des créatures surnaturelles arriva. Ce fut un véritable phénomène, et j'y vis là l’aubaine de ma vie. Changeant les plans de construction de mon nouveau centre commercial à Londres, je décidai de transformer le nom en « Lycanthrope Corporation », tandis que dans un même temps, je décidai de créer tout un centre ouvert à tous mais aussi et surtout fait pour les lycans. Une nouvelle ère venait de s'ouvrir à moi, et désormais en 2030 je m'y installai.

Dossier confidentiel:
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Fiche faite par Bryan Grey (Law) pour le forum Londres et Ténèbres.
Invité
Invité
Anonymous
#27508
Re: A genoux, prosternez-vous, soyez ravi, SS est enfin ici.
Message Sam 10 Juin - 17:09
Yo !
Bienvenue a toi et bonne chance pour la validation de ta fiche ~
Au plaisir de RP avec toi c:
Invité
Invité
Anonymous
#27516
Re: A genoux, prosternez-vous, soyez ravi, SS est enfin ici.
Message Dim 11 Juin - 8:28
Bienvenue (futur beau-papa ?), j’espère que tu plairas parmi nous !

J'aime beaucoup ta plume, très jolie fiche !
Je sais même pas qualifié ton histoire, elle juste magnifique

Hate de te croisé dans les rues de Londres, Beau-gosse !
Evelyne De Valencia
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Evelyne De Valencia
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Niveau de puissance : Vampire Respectée

Feuille de personnage
Race: Vampire
Âge réel: 235 ans
Emploi: Assassin
#27649
Re: A genoux, prosternez-vous, soyez ravi, SS est enfin ici.
Message Mer 14 Juin - 18:44
Tu as une très belle plume! Tous les éléments sont présents et j'ai dévoré ta fiche!

Voici une petite présentation de ma personne, je suis une vampire âgé de 233 ans et Assassin connue sous le nom de Phantom depuis plus de 200 ans. Je travail présentement pour les Ancestraux, un groupe de vampire dirigé par Dracula. Si le cadre de notre rencontre est amicale, je suis d'excellente compagnie!

Je te rajoute ta couleur à l'instant!


Tu es validé!



Bienvenue parmi nous! Le pire moment est fini. Courage, on a presque terminé!

Maintenant, c'est l'heure de la paperasse et le bout ennuyant :
✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici;
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A genoux, prosternez-vous, soyez ravi, SS est enfin ici.
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