Greg Cooper (Terminé)

Le physique qui me différencie

La simplicité… Une chose que j’aime bien représenter physiquement. À vrai dire, il n’y a rien de compliqué dans ma vie actuellement… Du haut de mes 24 ans et de mes 6 pieds (183 cm), je me considère dans les ‘’normes sociales’’,  excepté mon poids… Aux dernières nouvelles, je pesais 180 Lbs (81 kilo). Mon poids étant assez bien réparti, je n'ai pas l'air d'une échalote, ni d'une patate au four! Mes bras quelques peu musclés ainsi que mes jambes sont le résultat d'aucun entrainement à part de la marche et du levage de commande assez lourdes lors des livraisons à mon magasin. Ce qui me différencie des autres homme, c’est la couleur de mes longs cheveux. Un mauve lilas avec des reflets violet la plus part du temps attacher derrière ma tête lors des grands vents. Gay? Peut-être, peut-être pas! Mais on s’en fou, non?. J,ai choisi cette couleur car avec le bleu clair de mes yeux, je trouvais que cela allait très bien! Regarde les gens. Mon regard, celui que plusieurs détournent en voyant mon visage. Était-ce mes lèvres? Pourtant elles étaient minces et discrètes. Ma dentition était des plus standards: blanche et droite. Je sais! Mon manque de pilosité faciale... J'avais quelques poils de barbes ici et la, mais je rasais toujours ces derniers. Pourquoi me dévisageaient-ils? Je ne le sais pas. Pourtant, mon regard n’est ni meurtrier, ni dépressif… même plutôt passif. Ma couleur de peau? Non plus… Bon, j’avoue qu’elle ne semble pas avoir été exposer au soleil depuis des siècles, mais cela ne fait pas de moi un monstre…? Je n’aime simplement pas sortir pour rien de chez moi… Les gens désespèrent.

Je ne crois pas, non plus que ces regards bizarres soit causé par mon habillement… Je porte toujours, ou presque, une chemise bien repassée ou un simple chandail de teinte sombre, accompagnée d’un pantalon style jean de couleur noir ou original (bleu jean), bien que parfois mes pantalons rouge, bleu ou mauve se retrouvent dans mon habit du jour. Lorsque je décide de sortir de chez moi, j’enfile mon manteau noir, d’un tissu assez léger et de mon compagnons habituel : mon foulard! Bien que je n’aime pas vraiment les couleurs trop claires, je porte toujours mon foulard blanc au cou. Dehors, en boite ou bien simplement chez moi, il me suit partout!

Le psychologique qui m'habite
Je ne suis pas un homme ayant des peurs. À vrai dire, je n'ose pas avouer mes peurs. Ma plus grande peur est celle des foules... De là viens mon côté solitaire et discret. Lorsque des grandes foules, Je ne cherche qu'a sortir de cette situation et je deviens extrêmement nerveux… Ce n’est pas pour rien que je ne sors pas souvent en boite. J’opte plutôt pour des petits bars peu fréquentés, les foules se font plus rares… On ne sait jamais quel créature peut nous entourée. Vampires, lycans... Ils sont partout! Je n'ai rien contre eux... ou presque. Seulement des craintes causés par les histoires d'horreur qu'on entend depuis que le monde est monde.

Je me considère légèrement timide envers les inconnus, mais aussi envers ceux que je connais. La panique me prend souvent lors de situations inattendus, mais aussi en ce qui concerne d’être entouré d’une foule de gens dont je ne connais pas personnellement. Pour ce qui est de la gestion de cette crainte au niveau professionnel, avec l'expérience, j'ai su trouver des solutions discretes pour etre en mesure de service mes fidèles clients! Ainsi, lorsque je sens cette boule d'anxiété qui monte en moi, j'agrippe mon paquet de cigarettes et sort fumer une clope. Cela parait peut-être standard, mais pour moi, sortir devant mon magasin, assis sur un banc de la rue et simplement observer la circulation de la rue de mon entreprise me rend apte à retourner au boulot. Lorsque je n'ai pas le temps ou bien l'occasion de faire ce petit rituel, j'ai toujours, en ma possession des crayons et bouts de papiers pour gribouiller ici et la. Étant dit, cela ne fait pas de moi une mauvaise personne, ni une personne ‘’bête’’, mais plutôt une personne qui prend beaucoup ‘’trop’’ de précautions envers les gens.

Étant solitaire, je préfère me tenir distant des gens, tel mentionné plus haut. Lorsque je décide de sortir de chez moi et aller prendre une verre, j’opte pour la table se trouvant le plus proche de la sortie, mais aussi la plus éloigner du centre. Cela me rassure et ainsi je peux observer ce qui se passe sans être au centre de l’attention. Malgré ce que les gens pourraient croire, j’ai mon petit groupe d’amis en qui je fais confiance, bien que parfois ce sont ceux qui nous font le plus souffrir lorsqu’ils décident de se tourner dos à nous. Plusieurs pensent que ma solitude découle de mauvaises expériences et ils ont raison… Passons… Lors de mes sorties extérieurs, j’enfile toujours le capuchon de mon manteau et essai de me faire discret. Je n’ai aucunement confiance en moi, même si je m’améliore de jour en jour… Il ne faut pas avoir peur de venir me parler, au contraire! Je peux être une très bonne oreille, mais il est claire que si vous m’approcher rapidement et me semblez menaçant, je prendrai la fuite… direction : un coin naturel. Les parcs, les forêts ou bien simplement les sentiers pédestres sont mes lieux de ressourcements. Je peux facilement y reste des heures!

Bien que les gens me trouvent attirants, mystérieux, il reste que ce n,est pas seulement les femmes que j’observe. À vrai dire, j’aime bien les hommes ‘’masculin’’. Le genre d’homme qui ont de la barbe tel un bûcheron et qui sont virils! Mais le plus important pour moi, ce n’est pas ce qui se trouve dans leur pantalons, mais bien ce qui se trouve à l’intérieur. Je suis aucunement la bonne personne pour juger un être lors du premier regard. Cette orientation n’a rien avoir avec une mauvaise expérience du passé ou autre. Simplement que je vais aimer la personnalité avant le physique. Pourquoi jugerais-je les autres quand ce qui me fait peur de sortir sont les foules qui, je le sais très bien, peuvent me juger...

Le passé qui m'a construit
La famille… Ceux dont je n’ai plus contact depuis longtemps… Je ne sais même pas si ceux qui composent ma famille sont encore en vie ou décédés. Pour être honnête, j’aime mieux rester dans l’ignorance et ainsi oublier ces derniers…

Mon passé? Vraiment? Pourquoi ne pas vous concentrer sur le présent?!
Bon… Si cela peut vous faire plaisir…
Je suis né en Angleterre, dans la ville de Ludlow. Dès mon jeune âge, j’ai été bousculé par la mort de mon grand-père que je considérais comme mon propre père. Mes parents étant violents et détestables, j’ai décidé de me renfermer sur moi-même et de garder mes émotions à l’intérieur. Mon enfance a été la période la plus difficile de ma vie, incluant mon adolescence. Le secondaire est une période que je ne veux aucunement parlé… L’intimidation des jeunes causé par mon apparence au style quelque peu gothique et bien sure mon rejet des autres élèves causé par mon orientation sexuelle… J’aurais tellement voulu avoir quelqu’un à qui parler pour ne pas garder tout ce mal à l’intérieur de moi. Vous savez, entrer de l’école et raconter sa journée à nos parents ou bien téléphoner à nos plus proches amis pour leur raconter nos petits problèmes, mais aussi  les anecdotes. Malheureusement, je n’avais personne pour me tendre une oreille… Mes parents se foutaient clairement de moi et à l’époque, je n’avais pas vraiment d’amis à qui parler… C’est ainsi que j’ai décidé de tout cacher à ma famille, même mon orientation sexuelle mais  celle-ci ne fut pas longtemps inconnus de la part de mes parents. Ces monstres découvrit rapidement la vérité et depuis ce temps, les membres de ma famille ont commencé a me rejeter un par un et vouloir me cacher du reste de la famille par peur que ceux-ci me rejettent à leur tour… Ce n’était pas pour mon bien qu’ils faisaient cela, mais bien pour leur propre réputation…

Ainsi, à l'âge de 18 ans, j'ai choisi de déménager à Londres. Je voulais vivre ma vie comme je le voulais, personne pour me dire quoi faire ou qui être. J'ai travaillé souvent dans les restaurants, malgré ma phobies des foules. Je me tenais aux caisses, la paix, quoi! Par la suite, j'ai voulu ouvrir mon premier commerce, de quoi? J'en avais aucune idée... C'est seulement en ouvrant mon garde-robes que j'eu un flash. Célibataire, le nombre de jouets sexuels que j'avais était probablement plus ample que la plus part des gens ''normaux''. C'est ainsi que j'ai commencé les processus d'ouverture d'un commerce. Un rendez-vous avec ma banque pour une marge de crédit de quelque millier de dollars, des recherches de plusieurs mois pour un local à louer dans un coin spécifique: le centre-ville et pendant ces recherches, une acquisition d'un brève cours en gestion commerciale pour ne pas faire faillite! Ainsi l'ouverture d'un magnifique Sex Shop se fut 2 ans après ce flash qui à bouleverser mon choix de carrière.  NON! Je ne suis pas un accro du sexe... Je dirais plutôt qu'en ouvrant cette boutique, j'avais comme but de rendre service aux gens comme moi, sans personne pour vivre des expériences et faire des découvertes corporelles.