Renn Osuke [Terminé]

RennOsuke

Identification

Nom: Osuke
Prénom: ~~Baykuren~~ Renn
Surnom: Chaton
Âge: 28 ans
Sexe: Homme (Transgenre)
Orientation sexuelle: Pansexuel
Pays d'origine: Japon
Race: Humain
Groupe: Libre
Emploi: Photographe
Supérieur immédiat: moi?

Derrière l'écran

Prénom: Marion
Surnom:
Âge: 27
Découverte: Lizzie
Fréquence de connexion: 5/7j minimum
Autres personnages: June Archer et Nikita Zouïev
Autres trucs sur vous: je vous aime <3
Commentaires: Razz

Le physique qui me différencie
On remarque aisément Renn, et c’est volontaire. Il fait très attention à son apparence malgré ses quelques complexes... ou plus certainement à cause d’eux.

Pourtant il est plutôt mignon dans son genre et il plaît fascilement au premier abord. Il n’est pas spécialement grand, mais pas trop petit non-plus avec son mètre soixante-douze. La silhouette longiligne et gracile, son buste se dessine en un V subtile où sa musculature légère se laisse deviner. En fait, il a le corps d’un adolescent. C’est l’impression qu’il laisse; celle d’une personne pas tout à fait développée, pas finie. Si bien qu’il lui faut souvent sortir sa carte d’identité pour prouver qu’il est majeur. Pour ne rien arranger, avec son sang japonais et sa peau fine et claire, sa pilosité reste peu développée.

Il reste ainsi un peu androgyne. Surtout de visage. Il a les traits très délicats; un nez et des lèvres minces, assorties à de grandes prunelle sombres. Des yeux de biche, comme des perles noires, qui brillent d’espièglerie et dont il joue volontiers pour charmer son monde. Puisqu’il ne peut rien faire pour effacer toute trace d’androgynie chez lui, il préfère en effet assumer et en user. C’est pour ça et par esprit de contradiction qu’il a teint ses cheveux; à l’origine noir corbeau, depuis plusieurs années ils arborent une magnifique teinte rose. Couper courts, ils sont particulièrement soyeux et rebiquent constamment ce qui met joliment en valeur ses oreilles percées.

Pour accessoirisé dans le même ton original, la monture des lunettes de vue du jeune homme est d’un rouge pétant. On ne peut pas rater ses dernières, d’autant qu’il est sans arrêt en train de les tripoter et de les faire tourner entre ses longs doigts. Si bien qu’on peut deviner son état d’esprit selon ce qu’il en fait, mais qu’elles sont rarement sur son nez. Ça va qu’il n’est qu’un peu myope. Il fait de même avec le petit bracelet qu’il porte toujours au poignet, jouant souvent avec. En acier, celui-ci représente un squelette de poisson.

D’un point de vu vestimentaire, Renn fait en revanche assez classique. Il a une affection particulière pour les chemises qui soulignent ses épaules, et porte le plus souvent des jeans pour être à son aise. Mais, à la vérité il n’a pas à s’habiller de manière particulière pour qu’on le regarde. Ses petites excentricités suffisent pour ça… et en même temps détournent l’attention de son corps, pour qu’on ne le détaille pas non-plus de trop près.

C’est un petit tour de prestidigitateur dont il use pour qu’on ne remarque pas, ou qu’on oublie qu’il est né avec deux chromosomes X. Les hormones de substitutions ont pourtant eut de très bons résultats sur lui, et ses attitudes, sa démarche comme sa façon de parler de sa douce voix d’alto, ne laissent pas deviner sa transformation. Il y a juste, qu’il n’est pas opéré… Et ça c’est un détail assez flagrant dans certaines situations. La faute entre autre à sa résistance aux analgésiques.

Le psychologique qui m'habite
L’apparence de Renn, laisse aisément présager de sa manière d’être en général. Coloré, parfois un peu gamin et toujours malicieux, on l’apprécie souvent pour sa bonne humeur et son humour. Ce pétillant jeune homme, un peu allumeur sur les bords se départi rarement de son sourire, mais on peut lui reprocher d’en devenir parfois agaçant. Assez effronté, il aime en effet un peu trop taquiner et envoyer des piques pour un oui ou pour un non, et à tout le monde, sans se soucier que la personne en face de lui puisse le croquer. Pourtant pour sa part, Renn peut s’avérer un peu susceptible. Ce n’est pas non plus son seul défaut car il sait se montrer également plutôt têtu et indiscipliné.

Ainsi même si on ne le connaît pas beaucoup, on devine assez vite que le jeune homme à son petit tempérament, ce qui se confirme en débattant avec lui. Renn défend ses opinons avec beaucoup d’énergie et ce malgré un sens de la contradiction évident et un utopisme qu’il reconnaît lui-même. Pour exemple il défend l’égalité entre les races et est critique quand aux méthodes de la brigade de l’ombre. Il est bien conscient que cet organisme est nécessaire, et cependant considère qu’à l’heure actuelle il pose plus de problèmes qu’il n’en règle en exacerbant les tensions. C’est sans doute un peu naïf parfois, mais Renn considère les vampires et les lycans de la même manière que les humains, en négligeant que les uns puissent être les prédateurs des autres dans certains cas. On peut noter d’ailleurs qu’il est particulièrement à l’aise avec les lycans.

Et pourtant, Renn est quelqu’un d’extrêmement méfiant dans un sens, au point de se montrer intransigeant parfois. Il n’en laisse rien paraître mais il est bien souvent sur la défensive et sous ses airs de joyeux drille, il est beaucoup moins assuré qu’il ne le laisse entendre au premier abord. Notamment il est très complexé par son corps et s’il drague volontiers, en réalité il est beaucoup moins osé dans l’intimité. Se mettre à nu est difficile pour lui à plusieurs égards. Parce qu’il n’a pas toujours été accepté à cause de son changement de sexe, il ne se confie ainsi pas facilement. Il est un fier et préfère cacher ses faiblesses et ses manques affectifs, quitte à être un peu dur avec lui-même, plutôt que de quémander de l’attention et de l’aide au risque d’être déçu.

Il ressent le besoin de se protéger, car au fond c’est quelqu’un de tendre, qui montre même de temps à autre une certaine pointe d’innocence. Qu’il le veuille ou non il a besoin des autres, et à défaut de savoir compter sur autrui, en revanche il dispense son affection à tord et à travers. Avec les rares personnes dont il est finalement proche, du coup il est montre aussi étonnamment protecteur et pas toujours de façon très rationnelle. Sa douceur se révèle également dans ses photos artistiques, chacun de ces clichés tentant de saisir une émotion aussi épurée que possible, mettant en lumière sa façon de percevoir le monde… étonnamment rêveuse.

Le passé qui m'a construit
<<Une terrible erreur.>>

Ça m’a toujours fait rire, même si je ne donne pas tout à fait tord à mon grand-père quand il disait ça de ma naissance. On n’a juste jamais été d’accord sur la nature de l’erreur en question.

Ma mère, Ameko, avait tout juste 17 ans quand elle est tombée enceinte. Son père à taper un scandale, surtout quand il a comprit que ma conception était le fruit d’une aventure qui avait duré plusieurs mois entre sa fille unique et un de ses amis. Mon géniteur était un homme d’affaire marié qui n’a pas jugé bon de se mêler de mon existence, et qui s’est effacé de la partie aussi vite qu’il a pu. De faite, c’est mon grand-père, Genki, qui m’a élevé avec ma mère, ce malgré le déshonneur que ma venue au monde représentait pour lui. C’était un homme attaché à la tradition, et dès mon arrivée j’étais tout sauf traditionnel. Mais ma mère et moi étions tout ce qu’il lui restait. Et puis en dépit ce qu’il disait, au début il s’est laissé attendrir par la naissance de sa petite fille.

C’est là que, moi, je vois l’erreur. Une mauvaise blague de la nature qui a voulu que je naisse avec les chromosomes XX, un corps de fille et le prénom qui allait avec ; Baykuren. Je ne me suis jamais senti fille et dès que j’ai commencé à saisir les concepts de sexes féminin et masculin, j’ai penché pour ce dernier. Je posais beaucoup de questions tout petit, mais qui prête attention aux propos d’un très jeune enfant ? Pourtant il y avait quelques signes.

J’ai le souvenir précis d’un incident en particulier. Je devais avoir 5 ou 6 ans et je réclamais à corps et à cri à l’époque d’avoir les cheveux courts, coupant même ceux des poupées qu’on m’offrait pour illustrer. Mon grand-père n’était pas cet avis ; j’avais de très beaux cheveux noirs et soyeux qu’il ne se lassait pas de coiffer chaque matin. Aussi il demeurait sourd à ma requête ; un caprice selon lui. Mais un jour ma mère à ramener Kaoru, le fils d’une voisine, de l’école en même temps que moi. J’ai joué avec lui dans ma chambre en attendant que sa mère vienne le chercher. Or quand il a vu l’état des poupées, il n’a pas tardé à me proposer de s’occuper de mes cheveux à l’aide d’un ciseau rond. On a bien rigolé et une fois terminé, il a passé sa main dans ma broussaille inégale.

<<Maintenant c’est comme caresser un chaton.>>

Mon grand-père n’a pas vraiment apprécié de son coté, surtout que ma nouvelle coupe n’avait rien de présentable. Mais moi j’étais heureux d’avoir eut ce que je voulais et de m’être fait un ami. A partir de là, Kaoru et moi sommes devenus inséparables. A faire parce les 400 coups en sa compagnie, je me sentais moi-même parce qu’il ne m’a jamais fait sentir que j’étais une fille. Et à la longue il est devenu mon meilleur ami.

Le fait que je sois un garçon a été un peu plus difficile à comprendre pour ma mère, mais elle l’a accepté. Pour elle, que je sois sa fille ou son fils ne changeait pas grand-chose au final ; tout ce qui comptait pour elle c’était que que j’aille bien. Alors elle m’a soutenue dans mon désir d’assumer mon identité profonde en tenant tête à mon grand-père, qui lui n’y voyait qu’une déviance à corriger. Il a tout fait pour ça ; d’abord avec des cadeaux et des sorties que l’on réserve généralement aux petites filles, puis en tentant de m’effrayer. Il me disait que je finirai seul et que je serai considéré comme un monstre. Il me racontait aussi l’histoire de Masanari Yasahiro, un des membres de notre lignée qui d’après ses dires, s’était fait rejeté de sa famille parce qu’il avait refusé de se plier aux traditions par amour pour un autre homme. Ce dernier argument m’a en réalité plus inspiré qu’il ne m’a fait peur, et au grande désarroi de mon grand-père, j’érigeais Masanari en héros.

En fin de compte, grâce à ma mère à 12 ans j’ai pu être mis sous inhibiteur de puberté. Ça a été une très belle année pour moi. J’ai pu commencer à me revendiquer comme un garçon dans le cadre scolaire et à user d’un prénom masculin ; Renn. Évidemment j’avais le droit à quelques moqueries et la situation avec mon grand-père s’est dégradée, mais tant que j’avais ma mère et mon meilleur ami de mon coté, je me sentais prêt à tout affronter. J’aurai voulu que ça dure. Que ça reste simple.

C’est les gyrophares qui ont attirés mon attention ce matin-là, et je me suis précipité en remarquant devant chez qui était arrêtée la police. J’ai voulu courir jusqu’à l’intérieur ; je voulais les aider… Mais les policiers m’ont stoppé et m’ont ramené chez moi. Sans même m’expliquer. Ce jour-là ma mère m’a gardé à la maison. J’étais assommé et anxieux. J’ai tourné en rond jusqu’au soir, jusqu’à ce qu’on m’informe de la mort de Mme Niikura. Elle avait été tuée chez elle et on avait pas de nouvelles de son fils. J’avais pourtant croisé Kaoru la veille au soir… Mais mon meilleur ami avait disparu sans laisser de traces.

Ça m’a foutu un coup, surtout que ne sachant pas ce qu’il lui était arrivé, j’imaginais tout et n’importe quoi. Au bout de plusieurs semaines à ce régime-là, j’ai fini par me rendre physiquement malade. J’ai dû être opéré de l’appendicite. Rien de grave en soit, si ça c’était bien déroulé une fois sur la table. Je me suis réveillé pendant l’intervention et personne ne l’a remarqué, parce que c’était une opération de routine, et que j’étais intubé et trop grogui pour prévenir les médecins. Je n’ai pas vraiment eu mal, et j’aurai pu tout oublier en salle de réveil sous l’effet des médicaments... Sauf que je me souviens parfaitement être resté allongé, exposé et impuissant pendant un moment qui m’a semblé une éternité, tandis que le chirurgien fouillait dans mes entrailles.

On dit qu’un malheur n’arrive jamais seul. Je me considère pas comme quelqu’un de malheureux mais depuis ce jour, je ne m’étonne plus que les catastrophes s’enchaînent parfois de manière absurde. On a découvert comme ça que je suis résistant aux anesthésiants. Ce n’est pas problématique en soit quand on est au courant ; il y a d’autres moyen de m’endormir en cas de besoin. Dans le cas par exemple de l’intervention de changement de sexe que j’envisageais alors. Cependant après mon opération de l’appendicite, cette intervention que je désirai tant a commencé à me faire peur.

Je me suis isolé par la suite. J’ai du m’endurcir un peu parce que je venais de comprendre que tout ne se passe pas comme on veut et que souvent on se retrouve à ne pouvoir compter que sur soi-même. Il me restait néanmoins ma mère. Elle m’a offert mon premier appareil photo à ce moment là. Je lui avais confié que parfois je voulais arrêter le temps pour capturer ce qui compte avant que ça ne disparaisse. Le papier glacé est tout ce qu’elle a trouvé et elle avait vu juste. La photographie m’a permis de saisir un peu de la beauté du monde que je voulais garder. Et ensuite ça m’a obligé de regarder autour de moi au lieu de me refermer et de buguer sur ce corps que j’habitais et dont je doutais qu’il soit jamais ce que j’espérai.

En trois ans je ne me suis quasiment consacré qu’à la photographie en dehors de mes études. Derrière l’objectif c’était moi qui décidait comment voir les choses et ça me suffisait pour aller bien. Alors quand à 16 ans mon grand-père m’a foutu à la porte, et ma mère avec parce qu’elle ne m’aurait jamais laissé tombé, cette fois j’ai bien encaissé. J’avais beau avoir toujours admiré beaucoup mon grand-père pour sa force de caractère, apparemment Genki ne se ferait jamais au fait que je n’étais pas sa petite fille. Le début de ma prise d’hormones de substitution, ça été trop pour lui. J’ai eu de la peine bien sûr, cela dit les plus malheureux dans l’histoire c’étaient ma mère et lui. Alors je n’en ai rien montré.

Au moins je continuais mon chemin et nous avions des ressources avec ma mère, de façon que nous n’étions pas complètement démunis. En plus, si j’avais apparemment perdu un parent, j’ai aussi retrouvé quelqu’un sous la forme d’une lettre, accompagnée d’un petit bracelet. Kaoru est réapparu aussi brusquement qu’il s’était envolé. Enfin j’eus les explications qui m’avait manqués, et même plus encore durant les années qui suivirent alors que notre correspondance se poursuivait. Je crois qu’on s’est tout raconté, notamment les trucs les plus moches. Ainsi il a été le seul à savoir pour mon agression dans les vestiaires de l’université à 19 ans. Si il n’est pas venu c’est seulement parce que son père adoptif l’a apparemment convaincu que ce n’était pas une bonne idée pour son contrôle. Ce n’était pas plus mal ; en restant à l’écrit, nous pouvions tout nous dire et nous avions sans doute encore besoin de ça.

En tout cas moi suite à mon agression, j’en avais besoin. J’avais fini par me faire à mon corps avant cet incident mais la bande d’imbéciles qui m’est tombé dessus à balayé mes efforts comme un château de carte. Depuis lors, je supporte mal qu’on voit à la partie féminine de mon anatomie et encore moins qu’on ne la touche. J’ai souhaité à nouveau l’opération pour changer de sexe, mais je n’ai pas été capable de surmonter ma peur.

J’ai abandonné l’Université quelques mois plus tard. J’ai heureusement vite trouvé du boulot dans un labo photo, où j’ai fini de me former pour ainsi dire. Il ne m’a pas fallu longtemps pour me dégoter des contrats pour illustrer quelques magazines de bas étages. De fil en aiguilles, comme je m’avérais plutôt doué, j’ai eu des opportunités de plus en plus intéressantes et j’ai fini par voyager ici et là avec mon appareil. A travers lui, j’ai puissé une nouvelle fois un peu de courage. Ça me rassurait ; je venais, volais un peu de poésie puis repartait sans laisser le temps à qui que ce soit de me connaître et de percer mes failles.

Maintenant ce n’est plus tout à fait la même chose ; je me suis calmé et je commence à être fatigué de n’avoir nul part où me poser. Alors quand on à remarqué mon boulot et qu’on m’a proposé d’être exposé à Londres, j’ai accepté. Bien sûr une expo ne me nourrira pas mais je sais trouver des contrats et je ne peux refuser cette occasion de me faire connaître. Sans compté qu’à Londres, j’ai apprit qu’il y a deux personnes que j’aimerai vraiment voir. J’ai été assez seul comme ça et je me sens moins fragile à présent.

Fiche faite par Bryan Grey (Law) pour le forum Londres et Ténèbres.

Yop yop!

Re-bienvenue parmi nous XD

Personnage fort intéressant, cela dit tu n'as pas précisée de prise hormonale (à moins que j'ais loupé un truc, j'suis fatigué un peu). Est-il encore sous les inhibiteur de puberté? Si oui, il devra passer par la prise hormonale avant l'opération finale! Et les hormones modifient le corps, qui devient beaucoup plus carré, la pilosité et la voix change, et tout et tout, et ce à l'intérieur de la même année. Du coup s'il commence son traitement hormonal, il va beaucoup changer!

C'est juste pour apporter cette information à bon port, au cas où~

Cela dit j'attend ta réponse à cette question avant de valider, mais le reste est complet, personnage que j'ai hâte de voir évoluer en jeu Wink

Si, si, c'est précisé et il l'a fait tôt ^^ c'est juste discrètement glissé.

J'espère que c'est pas trop incohérent avec son physique. Sinon si tu as des infos complémentaires pour moi, je suis à l'écoute o////o

Merchi

Yop, pas de soucis Wink

Les infos sont fournies, et si tu as des questions tu sais où me trouver Wink

Sur ce, je valide sans hésiter! Bon jeu Wink

Tu es validé!

Bienvenue parmi nous! Le pire moment est fini. Courage, on a presque terminé!

Maintenant, c'est l'heure de la paperasse et le bout ennuyant :
✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici;
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Et n'oublie pas: Amuses-toi bien parmi nous!

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