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Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]

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Invité
Invité
Anonymous
#7318
Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
Message Mer 10 Aoû - 18:09


Dernière édition par Andrew Meldwin le Jeu 11 Aoû - 0:21, édité 2 fois
Andrew Meldwin


Mon Identité

Nom: Meldwin
Prénom: Andrew
Surnom: Andy'
Âge: 18 ans
Sexe: Masculin
Orientation Sexuelle: «A priori» hétéro, même s'il a déjà été troublé face à un autre homme. Indécis, disons.
Pays d'origine: Angleterre
Lieu de naissance: Londres
Ma Race

Race: Vampire
Groupe: Libre
Type de naissance: Morsure
Intentions: Survivre, comprendre. Guérir ? Si c'était si simple...
Supérieur immédiat: Ses parents ?
Emploi: Étudiant
Autres*: Transformé il y a à peine une semaine. Yeah, he's young


Vous-même

Nom*: Disons Andrew, pour l'instant =)
Surnom: ^
Âge: 19 ans
Découverte du forum: Topsite !
Fréquence de connexion: Quotidienne, en temps normal
Autres personnages: Aucun
Autre trucs sur vous*: Tête en l'air. Beaucoup. Si j'ai l'air à l'ouest par moments, soyez pas surpris !
Commentaires*: Mah, que dire. De ce que j'en ai vu, le forum me plait pas mal, j'en trouve trop peu à mon goût sur ce thème-ci, donc hé, autant en profiter !
De l'extérieur

Description physique: Par le passé, deux beaux yeux blancs qui captivent. Rare, la teinte immaculée de ce regard argent plaisait, et l'intensité qui y régnait ne faisait qu'ajouter à ce charme. On aimait son teint pâle aussi, presque laiteux. Aujourd'hui, le rouge aux yeux. Un rouge qui vit, qui change. Ce n'est pas moins beau, à vrai dire. Un rouge qui peut être tant celui de la Passion que celui de la Colère, un rouge Sang, celui qui désigne les bêtes de la nuit. Une peau plus pure encore de blancheur, le contact froid se devine bien avant de se sentir. Les deux signes qui aident à deviner sa nouvelle nature. Cette pâleur et ce regard. De fins sourcils pour le surligner ce regard, et plus haut encore, une coupe plutôt lisse, des cheveux qui tombent en diverses mèches jusque sur les yeux, si bien qu'un seul est souvent visible, le second dissimulé sous la lourde tignasse. Pour éviter ça... Le coup de peigne s'impose.

Sous cette masse capillaire, deux oreilles dissimulées, un peu pointues. Un visage harmonieux, des traits arrondis, un petit nez mutin. Ce sourire éternel qui cache de belles dents toutes blanches, de minces lèvres discrètes. Expressif, une face qui se transforme en profondeur selon l'émotion, pour s'en faire un reflet fidèle au possible. Jeune, sans l'ombre d'une ride, le visage lisse, plutôt agréable à regarder. De prime abord, il a l'air tout lisse tout sage, ce jeune, mais c'est sans compter sur cette présence qu'il dégage, cette confiance en soi qui irradie. Dans ses yeux, dans sa gestuelle, dans sa voix. Sûr de lui, oui, et il s'assure bien à ce que tout le monde soit au courant.

Ca se vérifie sur son faciès, mais aussi sur son corps. Le mètre soixante-dix de haut, plutôt bien formé, une silhouette athlétique entretenue par diverses activités sportives. Le torse plat, affirmé, la stature droite de tous les jours. Une solide paire de bras, le muscle fin mais effectivement présent. De grandes mains habiles, celles qui frappent, qui déchirent, qui caressent. Au choix. Elles savent faire ces trois choses et bien d'autres. Pour confirmer cet aspect élancé, deux grandes jambes, celles qui font de lui un si bon coureur.

Agile de ses mouvements, doué d'une force qu'on ne soupçonne pas, il sait faire preuve d'une grâce assez surprenante.Quant à ce qui habille ce corps ? Eh bien, ça varie. Ah et, ce qui habille son regard, avant Pas en permanence, mais souvent, une paire de lunettes lorsqu'il faut lire. Niveau vestimentaire, Chemises sobres mais élégantes de temps à autre, pour finalement troquer avec le Jean/T-shirt plus banal la journée d'après. Selon l'humeur, la convenance et la situation. En intérieur, un jogging simple, un haut ample, pieds nus. Par temps de grand froid, de lourds manteaux longs, plutôt classieux, prompts à protéger des températures inhospitalières. Parfois, des associations de couleur plus extravagantes, un goût prononcé pour le rouge, le bleu et le vert. Le style peut lourdement différer, s'avérer tant travaillé que négligé, mais jamais il ne sera mis en avant au détriment du confort. Ca reste sa priorité sur ce terrain-ci.

Bien sûr, son actuelle situation rend l'habillement plus compliqué, et joue sur cet aspect réjoui qu'il a l'habitude d'arborer. Mais même là, il reste ce phare qui brille à la couleur de ses sentiments. De fait, on la sent, cette insécurité, cette colère qui lui torture le crâne. Le regard durci, méfiant puis humide de la menace des larmes dans le même temps. Quelques tics qui sont apparus en plus de ceux de base, pour couronner le tout. Souvent, il caresse ce pendentif que lui ont offert ses parents en un geste nerveux. Quand la faim vient, notamment. Quelques tremblements en situation de stress, des spasmes incontrôlées, ses ongles qui grattent un peu partout... Et d'autres à venir, sûrement.

Ce n'est après tout que le début.



De l'intérieur

Description psychologique: Aaah, que dire. Andrew est beaucoup de choses. Et sûrement qu'avec ce à quoi sa vie ressemble en ce moment, il va en devenir d'autres encore.

C'est pas un mauvais bougre, si on doit commencer quelque part. Pas un ange, loin de là, mais il sait rendre un service, lâcher un sourire amical, réconforter un proche dans le besoin... être l'oreille confidente, la paire de bras qui se referment en une étreinte rassurante, il a déjà fait. Ca ajoute un aspect sensible à son tempérament charmeur.

Pas méchant, mais franc. Trop. Extraverti au possible, il dit ce qu'il pense, et il ne pense pas que des choses que tous aiment entendre. Mieux vaut s'armer de patience quand il a décidé d'être d'humeur taquine... Parce qu'il y va fort, s'il le faut. Il a l'énergie pour. Énergique, définitivement. S'il a une idée en tête, il va au bout, et il n'y aura que les plus grandes épreuves pour réellement l'épuiser. Ajoutez à ça sa nature curieuse, et je vous laisse imaginer l'énergumène...

A côté de ça, l'entretien de ce cynisme qui lui est propre. Les remarques acerbes, les pensées contraires à l'opinion public, il les clame et les enchaîne sans sourciller, avec ce visage qui dit « quoi, y a un souci ? ». Eh bien, s'il y en a un c'est bien dommage. On ne le fait pas taire sans solide discours ou solide droite dans le visage, et il a du répondant pour l'un comme pour l'autre. Mais il pousse rarement trop loin. Uniquement face à ceux qui méritent. Selon ses propres critères, bien entendu.

Ses critères qu'il entend bien faire prévaloir. Orgueilleux, le jeune. C'est cette coquille qu'il s'est développée pour mieux se protéger. Une en deux couches. Une couche d'arrogance gentillette soutenue par un comportement plutôt piquant, une seconde de fierté mal placée. Au moins est(-elle communicative, alors ça aide. On aime les gens confiants. Succès scolaire, social et sportif, il a de quoi se le permettre. C'est en tout cas sa façon de relativiser ce trait de caractère. Facile comme excuse, vous dites ?

Facile, mais ça le fait rire. Il aime rire. La vie c'est rire, il vous dira. Mais parfois, il arrête de rire. Il devient sérieux. Certains sujets sur lesquels il ne laisse place qu'à une détermination froide.Très soudé à sa famille, il a souvent demandé de l'aide plus jeune, aujourd'hui, il entend bien renvoyer l'ascenseur. Il y a ce sérieux, et ces sautes d'humeur. La plupart du temps, vous aurez droit à un Andrew léger, taquin et goguenard. D'autres fois non. Il en faut beaucoup pour le pousser, mais ses émotions sont entières.  Il enrage d'une rage à percer les cieux, aime d'un amour à tout détruire, haït d'une haine au moins égale, se mure dans des torrents de tristesse. Il sait réprimer tout ça, ou à minima le cacher. Mais ça reste là, au fond, qu'il le montre ou non.

Quant à savoir s'il le montre, cela dépendra de l'émotion, et des personnes autour. Il a ce besoin de ce défouler, alors des fois, ça part tout seul. D'autres, il garde pour soi. Il a d'autres façons de canaliser, d'autres occupations.

Plusieurs à citer, d'ailleurs. Dessin, évidement. Il a toujours au moins un carnet et un crayon sur lui. Jeux-vidéos. On y coupe pas à son âge. Il a vite eu fait de prendre goût à ses cours de kickboxing, aussi. Sportif de façon générale, ça, ça lui a vraiment plu. Son côté impulsif qui peut s'exprimer sans qu'on vienne le lui reprocher, ça a été un plus énorme. Il aime lire, aussi, un peu de tout, du roman au manga, en passant par la nouvelle. Il le doit de sa mère, ce goût pour la lecture.

Sa mère... Sa famille. Tout ça, tout ce qu'il est, l’entièreté de ces lignes plus haut... C'est si fragile maintenant... Avec sa situation, il peut devenir tout et son contraire. Beaucoup dépend de comment il va s'en sortir. Les autres races ? Il n'y connait rien... Il se sait Vampire, ose à peine le penser en disant le mot, et se fait assez peur tout seul sans avoir à penser à ses semblables. Eux aussi, il en a peur. Il a peur de tout, depuis l'incident. Peur. Peur, Faim, Colère, Peine. Les quatre maître-mots depuis sept jours. Coupé de sa famille, de ses proches et de ce qu'a été sa vie pendant dix-huit longues années. Il ne veut plus avoir à manger. Il le faudra, pourtant. Mais... Il a peur de recommencer. Il a tué des amis, ce jour-ci. Et il continue de se maudire pour ça, et ça continuera. Cette faim qui lui tord les intestins, lui fait vriller la tête... Il ne veut pas qu'elle lui fasse faire plus de mal. Plus jamais. Ce ne sera pas si simple, hein... ? Il aimerai revenir en arrière, mais il ne peut pas, alors retour à ce présent sans lendemain. Autant le dire de suite : Andrew va changer. Pour le meilleur, pour le pire, c'est encore à voir.







La vie qui m'habite depuis toujours

N.B : J'ai de base un style pas mal décousu, mais j'en ai rajouté une couche encore au-dessus en m'amusant à jouer avec les différentes personnes, sur ce coup. L'aspect vaguement chaotique est voulu, mais si ça nuit vraiment à la lecture, faites savoir o/

Passé:



Un jour, tu es cet étudiant prometteur, sociable, un peu extravagant sur les bords, apprécié de ses pairs.
Le lendemain, tu es cette ruine. Ce petit bonhomme perdu, l'estomac qui se tord, la faim aux yeux, à la bouche.

Ne suis-je pas détestable?




***

Ca commence à Londres. Une naissance, deux parents, un frère, une enfance. Simple, sans réel drame ou miracle. Un mois, quelques folies, quelques caprices à exhaucer. Celui d'après, la ceinture qui se serre. Une famille avec ses liens forts. Parfois, une forte affection, parfois, une forte colère. De façon permanente, un forte inquiétude l'un pour l'autre. Ils sont soudés, les Meldwin, ça pour sûr.

La famille... mon père, Curtis. Il n'a vraiment pas aimé quand j'ai commencé à manger dans ma chambre, seul, plutôt qu'avec eux. A force de voir Charles faire pareil... Il a le coup de gueule facile, l'ancêtre. Assez pour s'être arrogée le titre de « spécialiste de la gueulerie ». Mais ça reste un bon père. Celui vers qui je me suis tourné à chaque souci, étant jeune. Celui qu m'a appris à finalement chercher à les résoudre tout seul avant de demander de l'aide, aussi. Il a su trouver le bon ton paternaliste pour me forcer à écouter, les bons mots durs mais réalistes pour me faire ouvrir un peu les yeux, et quelque fois lorsqu'il la fallu, la bonne force à mettre dans son revers pour me faire redescendre sur terre. C'est que j'suis capable de devenir un sacré emmerdeur, quand je m'y mets.

Ma mère, Emma. Gentille, trop gentille. Avec trop de monde. « Bonne poire » que j'ai commencé à l'appeler avec le temps. Valait mieux pas le faire devant papa, par contre... J'vous ai parlé des revers bien dosés, huh ?
Trop gentille. Oh, la combine était rodée. J'ai bien vu le frangin faire, et j'ai vite eu fait de l'imiter. Tenter de faire passer un caprice avec le paternel, essuyer un refus. Insister. Insister jusqu'à attendre que maman finisse par prendre parti pour nous. « ça lui fera plaisir ». « sois pas radin, vieux briscard » « Il mérite bien un petit quelque chose vu ses notes dernièrement ». Ca changeait selon la situation. Mais elle avait toujours cette petite phrase en notre faveur. On en profite, ouais, carrément. Et on s'assure d'être les seuls à pouvoir abuser de ça. Les arnaqueurs qui frappent aux portes, les gens qui demandent de l'argent à tout bout de champ... C'était à nous de les envoyer chier. On la laissait faire, on tombait sur la paille en deux semaines. Trop gentille. Beaucoup trop.

Puis je parle de lui depuis tout à l'heure. « On ». Le frangin, Charles. Plus vieux de cinq ans. Une grande perche pas bien portée sur les études. Voire, « une sacrée tête de con », pour poursuivre sur la liste des surnoms affectueux. Un tas de flemme comme j'en ai rarement vu. A sa décharge, s'il est ni très assidu ni très énergique, il a quand même cet instinct... C'est pas celui qui va vous résoudre je ne sais quelle équation ou autre, loin de là. C'est celui qui va lire dans votre regard, et voir ce qu'il s'y dit. Qui va assembler les faits, compléter le puzzle, comprendre. C'est celui qui m'a fait chanter des semaines quand il m'a grillé haleine puante d'alcool, qui s'est bien marré à jouer sur les sous-entendus compromettants devant les parents, sans jamais dévoiler. Tout ça pour être découvert deux mois après... Ca valait bien le coup.
C'est ça, la famille. Les trois personnes qui comptent vraiment pour m-... Oh. Attends. Mais non, j't'ai pas oublié mon grand ! Il reste Cajou, bien sûr. petite bestiole poilue et vorace. T'aimes ça la viande, hein mon gros ? Je l'adore, ce clébard. Combien d'assiettes passées sous la table quand personne regardait pour les dîners crudités... Et pourtant j'ai un appétit assez rare pour ma corpulence. Anormal, on dit. Mais la poiscaille, beuh... Heureusement qu'il est là. Brave bête.

Pour compléter la photo dans le jardin, ma jolie petite face souriante. Vous verriez les photos plus jeune, c'était pas encore ça. Fuir l'objectif, yeux baissés, mine intimidée. Et ça pas seulement face à un appareil photo, mais face à la vie en général. Peur primale, celle de l'inconnu. Je m'en rappelle pas très clairement, mais semblerait que ça a été un joli n'importe-quoi, ma première journée à l'école. « Je veux pas ». Parait que j'ai marmonné ça tout le chemin. Venu sur place, ces yeux baissés, encore. On m'a ignoré, on a été curieux. On m'a emmerdé aussi. C'est cruel un enfant, vous savez ? D'une cruauté innocente, mais cruel quand même.

J'ai pu compter sur le frangin comme sur le père pour m'aider, de temps à autre. Eux aussi, en fait. Ces gosses. Ils avaient peur de l'inconnu. Et quoi de plus inconnu que ce marmot isolé dans le coin de la classe, à écrire et dessiner sans jamais se mélanger ni lever un regard vers qui que ce soit ? Je l'ai compris plus tard, ça. Je vous l'ai dit, hein ? Le père. Ca s'est enchaîné, les leçons de morale, parfois calmes, assis l'un à côté de l'autre, parfois hurlées, mon col froissé entre ses grosses paluches d'ouvrier. Ca a finit par enregistrer, avec le temps.

Alors les yeux se sont levés, la bouche s'est décousue. Peut-être trop. Les années passent, les hormones s'en mêlent, et la timidité extrême s'envole pour son exact opposé. Au collège, le silence s'est transformé en un flot de mots ininterrompu. Les yeux autrefois fuyards se sont mis à fixer droit devant, à percer, presque défier selon qui se trouve en face. J'ai eu droit à mon lot de saloperies aussi, avec un tel comportement. Mais c'est bien moins frustrant que de subir tête baissée. Que de retenir ce qu'on pense, ne même pas oser le murmurer. Maintenant... Eh ben. Je le dit bien face, et tant pis si ça gêne.

« T'es qu'un tas de merde incapable de se sentir puissant autrement qu'à coup de beignes dans la bouche de ceux qui tendent l'autre joue, Connor. »

C'est parti tout seul à l'époque. La première d'une longue série. Ca lui faisait plaisir de taper sur le nouveau, alors écoute, moi je me suis senti de jouer les héros, et... Enfin. C'est plus compliqué que ça. C'est aussi pour voir sa tronche. Voir sa tronche quand quelqu'un préfère lui enfoncer le front dans l'arête du nez plutôt que de tendre l'autre joue. Il l'a pas vu venir, le binoclard l'air sage qui lui claque ses quatre vérités au visage devant toute la classe. Alors il l'a fait, cette tronche. Et je vous jure, j'ai pas pu m'empêcher de sourire. Un sourire satisfait, un brin moqueur. Alors oui, il a pas fallu beaucoup plus pour que ça parte, lui comme moi avons finit à l'infirmerie après ça, sermons des profs en supplément. Mais ce visage, cet air choqué... Ouais. Ca a définitivement valu le coup.

Ca a continué plusieurs années. Et je me suis inscrit à un cour de kickboxing, histoire de pouvoir soutenir cette attitude jusqu'au bout de l'affaire si ça part trop loin. « Le comportement d'Andrew ne va que pour se dégrader au fil du temps », qu'ils ont dit à mes parents. Huh, débiles. Alors quoi, le bon comportement, c'est subir bien sagement dans son coin, fermer sa gueule et suivre au tableau ? Non. Vos cours m'ennuient, de toute façon. Au fil du temps, y être de moins en moins attentif, préférer flâner, papoter, dessiner, lire... mais pas vos cours. Ca changeait rien. A la fin, le jour de l'examen noté, j'arrivais à m'en sortir, plutôt haut la main, en plus. J'irais pas faire d'efforts pour vous arracher quelques compliments sur le bulletin de note, les vieux.

Plutôt que ça, traîner avec des potes le week-end, lâcher du lest. Cigarette, j'ai pas aimé. Drogue, j'ai... Disons que j'ai vite compris. « Tombe pas là-dedans, t'en sortiras jamais ». Alcool, par contre... Ouais, vous me direz, la phrase s'applique aussi à ça. SAUF, que ce coup-ci j'ai aimé. Ca joue, ça, aussi.

Je me suis laissé aller, alors. C'est à cette époque que Charles a commencé à me mener à la baguette, avec son chantage à deux balles... Seize ans, il m'a pincé, pas de chance. Ca a duré un certain temps, et à force, j'ai commencé à me calmer. A me dire « Les Études. Prends ça au moins une fois au sérieux. »

Vous avez remarqué que j'ai souvent dit dessiner jusqu'ici, non ? Ouais. C'était ma porte de sortie du temps où mon regard voulait pas se décoller de ma table. Envoyer bouler cette réalité trop contraignante, trop... Réelle, en fait. C'est resté en vieillissant, cet intérêt pour le dessin. Je crois qu'on m'a jamais vu plus concentré qu'avec un crayon dans les mains et une feuille dessous. Hm, manette dans les mains et un écran devant, peut-être. Admettons.

Avec ça en tête, ça s'est vite décidé de mon côté. Animateur 2D/3D. Ca sonne bien, hein ? Et surtout, ça demande un minimum d'effort. Alors tenez-vous bien : Oui, j'ai fait des efforts. Dès le premier jour, en fait. Une nouvelle école, un nouveau départ. Encore. Un vrai caméléon, hein ?

***

Tu l'as vite remarqué. Il beau s'être calmé entre temps, même ici, arrivé à ses dix-sept années – bientôt dix-huit -, il reste incapable de ne pas vite se faire sa petite réputation. « Elles sont jolies par ici, dis-moi... ». La première pensée d'Andrew lorsqu'il s'y est engouffré. Ca commence bien.

Tu ne veux pas t'ennuyer, n'est-ce pas ? Arrivé cet âge... Tu ne compte plus, à vrai dire. Années, décennies, siècles. Il faut bien que tu mettes cette immortalité à profit, non ? Que tu t'amuses un peu. C'est ton droit le plus légitime, tu es de la race supérieure, après tout. Tu domines.

La morale, ce n'est qu'une barrière, une que tu as appris à faire sauter. Et tu commences à t'ennuyer. Pas bon. Pas bon du tout. Tu as réfléchi, longuement. Ca a torturé tes nuits, ça t'a même rendu plus violent. Et c'est tombé. C'était diablement simple mais.... A y penser, un large sourire sur ton visage. « C'est simple, oui, mais ça ne manque pas de saveur. »

Tu as cherché. L'idée venue, tu t'es servi de ton apparence pour intégrer cette école. Il fallait qu'il soit jeune. Et un artiste... Oui, ça n'en serait que plus divertissant. Tu aimes l'art, après tout. C'est là ce en quoi tu bénis ta malédiction : Tu as tout vu, ou presque. C'est ce presque que tu vises à combler.

Tu veux voir quelque chose de nouveau. Tu as torturé, tu as tué, mais tu n'as encore jamais été pousser la chose sur du plus long-terme... Et lui ? Oui, lui. Il l'a vu. Ce regard qui fixe, cette mince lueur présente dans les deux abysses qui lui tiennent d'yeux. Cette sombre teinte de blanc, qui lorsqu'elle est perçue ne peut que fasciner. Tu as vu ça, et après, tu as entendu sa voix. Ses mots. Oui... Lui. Lui et personne d'autre.

À vrai dire, il n'a pas eu de chance, ça s'est majoritairement joué au hasard. Tu t'es décidé, tu ne vas pas faire marche-arrière, ça non, pas ton genre. Tu t'es renseigné sur lui, tu es devenu son ombre. Andrew, Andrew Meldwin. Tu aimes son franc-parler. Ses goûts. Toi aussi tu ne supportais pas les crudités, de ton vivant. Ca remonte à si loin...

Tu as fait plus que l'observer. Tu as sympathisé avec. Tu sais comment faire, tu le fais depuis trop longtemps. Duper l'Homme, c'est ta nature. Tu chasses comme ça, loin des méthodes barbares de certains qui préfèrent agresser dans la rue. Sans saveur, sans intérêt. Bien que ce soit intéressant du point de vue spectateur, si tu devais être franc. Le rôle d'acteur dans cette scène sanglante ne te sied ceci dit que trop peu.

« Adam ». Ca a été ton nom, à ses yeux. Ses yeux qui ne voulaient pas se détacher de toi. Tu as cette espèce de beauté androgyne qui ne laisse que peu de monde indifférent. Plus d'une fois, tu as éveillé le doute dans la libido d'un mâle pourtant sûr de son orientation. Peut-être que comme le vin, tu te bonifies avec l'âge ? Qui sait. Ce que toi tu sais, c'est que tu ne le laissais pas indifférent. Et c'était réciproque, de façon plus tordue, certes. Il avait l'air... Troublé. Nouveau pour lui, à n'en pas douter. Ca te faisait sourire. « Oh mon pauvre, si tu savais comme ce n'est que le début... »

Tu as attendu. Patient, méticuleux, comme à ton habitude. Tu n'es après tout pas de ceux qui ont le souci du temps qui passe.Tu t'es rapproché de lui. Connaissance, Ami, Proche, très proche. Le théâtre, c'est aussi une forme d'art. Et ça n'en était pas vraiment. Tu l'apprécies, ce jeune homme. Mais tu ne te contentes plus de ça depuis maintenant bien longtemps. Les relations humaines... Fade. Trop fade.

Ce que tu veux, toi, c'est du spectacle. Du Poignant.

Tu veux être à la fois metteur en scène et spectateur de cette pièce improvisée. Pour scène, Londres, pour acteurs, Andrew et son entourage. Pour thème : L'Humanité lorsqu'elle est poussée dans ses derniers retranchements.

Tu espères que ça durera, cela dit. Tu as pris soin de le sonder, au fil des mois. Ton constat : Assez de force de caractère pour s'avérer être un jouet intéressant, pas assez pour se donner la mort. Ne serait-ce pas navrant qu'il mettes fin à la comédie sans même en avertir le Maestro ? Non... Et s'il le faut, tu t'assureras que ça dure, à agir dans son dos. Mais d'abord, l'Exposition.

***

Le Flou. Des souvenirs trop vagues. J'ai du mal à remettre... Je ... Oui... Mon anniversaire. J'ai fêté ça en famille la veille, aujourd'hui, quelque chose de plus débridé, entre amis. Il y a tout le monde. Il y a  Adam. Ce type qui... J'sais pas, il me trouble. Et c'est bien le premier. Ca a l'air d'être pareil pour tout le monde à bien regarder, mais on a tissé de sacrés liens.

J'y pense, mais ça reste tout aussi flou. L'inconscience. Je me rappelles à peine de la fête. Des flashs. Foule, alcool à flot, ambiance débridée. Éclaté. Les deux. Je me suis éclaté, je suis éclaté. Soudain, le blackout. Plus rien, rideau rouge, dénouement. Heh, je me mets à parler lexique théâtrale moi aussi, à force de traîner avec lui...

Ca me fait sourire, d'y penser. Et pourtant, le sourire a vite fait de se figer. Je sens quelque chose. Ca vient de loin, très loin. Très profond, plutôt. Des entrailles. J'le sens. Ca gratte, ça hurle, ça implore. Mon estomac.

J'ai faim.

J'ai faim comme j'ai jamais eu faim. Une fin bonne à me réveiller en sursaut, un hurlement à l'appui. Réveillé, mais le noir complet, encore. Du tissu sur les yeux, des liens aux membres, assis. J'ai faim putain, faim faim faim FAIM. J'ai mal. Mon cou. J'ai mal, mais c'est rien à côté de ce qui gronde au fond. Ca ça fait mal, ça fait vraiment putain de mal. Et c'est pas d'un hamburger dont j'ai envie, là. Nan, nan, ça... ça sent le sang. Ca s'infiltre dans mes narines, l'odeur vient me titiller les naseaux, agréable, tentatrice... J'hurle encore. J'perds la boule, j'en veux, maintenant, toute suite, donne moi vite du sang, du sang vite, j'veux du sang, magne-toi, ALLEZ. Tressautements, tremblements, un hurlement qui retenti depuis l'estomac, puis de la gorge. Ca s'agit sur la chaise, ça force sur les liens. LACHE, LACHE, J'AI FAIM. Tout, n'importe quoi, n'importe qui, peu importe. Plus d'Andrew, non. Plus de « je ». Il n'est que Faim, maintenant. Il se perd, il force, il en a besoin. Vital, primordial, il lui faut un peu de ce rouge. Non. Il lui en faut beaucoup. Et il le sent, c'est tout prés, ça l'attend. Nouveau hurlement, plus fort, guttural. Le genre qui n'a pas à sortir de la gorge d'un homme aussi frêle. Les liens sautent. Du métal. Ils sautent, et il ne prend même pas le temps d'enlever le bandage aux yeux. Il le sent, c'est là, autour de lui. Il y court, s'y penche, tatônne un peu avant de tomber dessus. De la chair. Une peau nue, un liquide poisseux à sa surface. L'odeur ferreuse. Ca part d'un coup. Ses crocs qui s'engouffrent dans cette viande déjà préparée. Un cri de douleur, il ignore, il force pour que ça se taise. Et il boit. Un sentiment de plénitude qui s'installe. Ca, suivi d'un mot qui se répète. D'abord un murmure, puis une voix,un cri. Un rugissement.

« Plus ». J'en veux plus.

Alors il ne s'est pas privé. Il a mangé à sa faim, et même plus après qu'il ai été rassasié. Ca a crié sur son passage, ça lui a demandé d'arrêter. Mais il n'en a rien fait. Il a continué, il a frappé pour que ça ne bouge plus, ne parle plus. D'un coup, plus de cri, plus d'agitation. Plus de nourriture. Immobile, rassis sur sa chaise, comme ça plusieurs minutes, quand il a fini. Finalement, il enlève le bandeau.

De là, un haut-le-cœur. Les yeux qui se figent, grands ouverts, le corps crispé. Une demi-douzaine de corps. Des amis. Ceux de la fête, une partie. Il peine à ne pas vomir ce qu'il vient d'ingérer, le goût au fond de sa gorge qui prend d'un coup une teinte amère. Ca monte vite. Trop vite. Terrifié, perdu, des tremblements, il darde les corps, immobile, le regard nerveux qui passe partout sur la scène. « J'ai fait quoi, j'aifaitquoij'aifaitquoi j'aifaitquoij'aifaitquoi » Panique. Il se lève d'un coup, soubresaut. Il ne bouge pas une fois debout. Un instant comme ça, comme hors du temps. D'un coup, ça coule. Le visage qui se plie en quatre, les traits tordus, les larmes abondantes. Il retombe au sol,adossé à un mur, la tête cachée dans ces bras pleins de rouge. Ses joues aussi se teintent vite de rouge. Des larmes carmines. Et il pleure, encore et encore, sans s'arrêter. Trauma, peur, colère, peine. Tout se croise, se repousse ou s'assemble. C'est beaucoup en trop peu de temps. De longues minutes sans bruit, à sangloter. Et la lucidité revient. Avec elles, les questions qu'il aurait préféré ignorer encore de longues heures.

Je vais faire comment ?
Et papa ? Maman ? Charles ? Et eux... Leurs parents, leur...
Et moi ? Moi, c'est quoi, ça, pourquoi ? Qui ? Comment ?
J'vais faire quoi...

J'vais...

**

Fuir. Plus rien d'autre à faire. Il avait été déplacé dans cet appartement désaffecté, avec ces corps à ses côtés. Tout ça... On lui a fait. Quelqu'un. Il n'y a que six corps, ici, et une trentaine de gens à la fête. Quoi, quelqu'un de son entourage ? Non... Non. Pire, peut-être qu'il n'est pas le seul à avoir subit ça. Peut-être que...

Pas le temps. Plus de questions, il faut agir. Il sort, la pluie battante dehors qui le lave un peu de ce sang partout sur lui. Il arrive chez lui, silencieux. Quelques économies, quelques affaires, un sac de sport rempli. Dans sa chambre, il entend des bruits de pas dans le couloir. Saut à la fenêtre, fuite. Pas maintenant. Il... « Je peux pas leur dire ». Comment il expliquera ça ? « C'est pas de ma faute, je suis la victime » ? Il ira dire ça aux parents de ces jeunes ? Il en auront quelque chose à faire ? Non. Il a tué, il a... « Qu'est-ce que je suis devenu... » Il le sait très bien. Mais il refuse de se l'avouer. Le poing qui se serre, une colère qui lui prend les tempes et le torture. Un « pourquoi » qui se répète, une rage rancunière. Envers qui ? Même ça il ne le sait pas... Sa vie, son monde, son avenir. Tout ça, envolé en quelques coups de crocs. Cauchemar...

**

Une semaine. Il a faim. Depuis l'incident, pas un en-cas, rien. Il a vite compris. Il a essayé de sortir de jour, pour s'en assurer. Il a eu mal, très mal. Il a fait plein d'autres tests pour confirmer. Oui, c'est sûr. Il est devenu « ça ». Une semaine. Tout le temps qu'il lui a fallu pour sombrer. Pour perdre l'adrénaline des premières heures après son festin, perdre de cette urgence qui lui a permis de bouger. Sept jours de remise en question, de dépression, de questions sans réponses. Toujours ce « pourquoi » qui résonne. Et avec, la faim qui recommence à lui torturer les entrailles.. Il refuse. Plus jamais. Ce dégoût qui lui a pris à la gorge quand il a vu les corps de ses amis... Il y repense là, sous son pont, et ça fait couler de nouvelles larmes. Le sol rougie de celles-ci à ses pieds. « Ils doivent savoir, maintenant. » Ou se douter. Les corps ont sûrement été trouvés. Ils vont vite comprendre. Les morts à sa fête, et lui qui disparaît dans le même temps... Ils vont peut-être penser à une septième victime sans corps retrouvé... Il préférerai encore ça, à vrai dire. Plutôt qu'ils se disent que leur fils est devenu « ça, », que son frère sache qu'il est l'origine de ce bain de sang.

Alors la suite ? S'il savait.. Plus de toit, plus de famille, et sûrement que quand on aura fait le lien, il sera traqué.

Il y a même pensé. Au troisième jour. Il a observé le large couteau qu'il a récupéré dans son sac. La pointe sur sa gorge, tremblant hésitant. Il a pas osé. Mais quoi, alors ? Qu'est-ce qu'il va devenir ?

J'ai faim...



Bienvenue en Enfer
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#7319
Re: Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
Message Mer 10 Aoû - 19:20
Bienvenue !

Un vampire ! Tout jeune en plus !
Si tu as besoin de quelqu'un pour t'aider dans ce nouveau monde vampirique je serai ravi ! =D

Petite présentation !
Mikaël Crown, vampire de 180 ans, membre de a guilde St Pierre, agent de terrain et médecin urgentiste en devenir ~ ! Assez taciturne et solitaire, aimant traîner dans les bibliothèques o3o !
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Emploi: Mercenaire
#7322
Re: Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
Message Mer 10 Aoû - 22:41
Yop'

Bienvenue parmi nous, jeune vampire!

Je tiens à te dire que j'aime beaucoup ta plume, et j'ai vraiment hâte de voir évoluer ton personnage à Londres!

Bref, personnellement je ne trouve rien qui cloche, superbe fiche! Je te donne ma validation dès maintenant! Reste plus qu'à attendre la dernière accord, et on est parti!

Sur ce, petite présentation: Bryan Grey, 24 ans, mercenaire pour la brigade de l'ombre. Lycan depuis peu, mon poste est en jeu, mais pour le moment ma priorité se tourne encore sur la protection de la ville. Avec ce qui t'es arrivé, je te souhaite de ne pas tomber sur moi, sinon je ferai tout pour t'arrêter!

Allez, bon courage parmi nous, et bonne continuation pour le reste! ^^
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#7323
Re: Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
Message Jeu 11 Aoû - 5:17
Hellow toi ~


Voilà voilà, j'ai terminé !
Que dire à part que j'ai adoré héhé ? J'aime énormément ta plume, d'un style qui donne juste envie de tout dévorer d'un coup ! ... Wait. C'est ce que j'ai fait o/

J'veux être Preum's pour RP avec toi ! Sinon tu me briserais le cœur ... Sad



Doooonc ... Je te présente rapidement mon personnage : June Valanthiriel. Vampire de 250 ans, origine française qui a du fuir suite à la révolution française ... Elle a connu de grands drames dans sa vie, l'un des pires peut-être étant sa transformation. De nombreux massacres sur la conscience ... De retour à Londres depuis peu, elle vient juste d'arriver.

Peut-être pourra-t-elle aider le jeune Andrew au vu de son âge ? Razz
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Âge réel: 235 ans
Emploi: Assassin
#7326
Re: Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
Message Jeu 11 Aoû - 8:45
Bienvenue à Londre!

Je suis Evy, pour les plus intimes... Maintenant, sur un sujet plus sérieux!

Tout comme Bryan, j'aime beaucoup ta plume. J'ai hâte de voir évoluer un tout jeune vampire fraîchement transformé. Je te lève mon chapeau par la même occasion, tu auras beaucoup de contenue avec ce personnage qui devra apprendre à vivre avec sa nouvelle condition!

Tu as mon accord. Puisque Bryan t'a déjà validé, je me permets de verrouiller ta fiche et de la classer!

Bon jeu!
Evelyne De Valencia
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Emploi: Assassin
#7327
Re: Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
Message Jeu 11 Aoû - 8:46

Tu es validé!



Bienvenue parmi nous! Le pire moment est fini. Courage, on a presque terminé!

Maintenant, c'est l'heure de la paperasse et le bout ennuyant :
✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici;
✦ Il faut recenser son avatar ➤ ici;
✦ Recenser son nom, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici
✦ S'il y a un emploi, il faut le recenser ➤ ici
✦ Créer votre carnet de connaissances et de relations et le maintenir à jour ➤ ici
✦ Créer votre carnet d'évolution des RP et le maintenir à jour ➤ ici

Et n'oubliez pas: Amuses-toi bien parmi nous!

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Re: Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
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Andrew Meldwin, tout frais mordu [Terminée]
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