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Adam Lepommier, l'homme qui ne fut jamais retrouvé

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Invité
Invité
Anonymous
#42106
Adam Lepommier, l'homme qui ne fut jamais retrouvé
Message Mar 22 Jan - 9:50


Dernière édition par Shun Steel le Mar 22 Jan - 10:13, édité 2 fois
Journal de
Shun Steel
Introduction
Fiche de présentation
Fiche de relation
Fiche de suivie RP

Un mot d'introduction : N'est pas plus égoïste que l'altruiste qui crois bien faire
J'ai commencé ce journal le : 03/04/1999
Invité
Invité
Anonymous
#42108
Re: Adam Lepommier, l'homme qui ne fut jamais retrouvé
Message Mar 22 Jan - 10:01
1er Août 1999
1954, Algérie

Et les flammes de l’incendie deviennent brasier incandescent, putride, et si longtemps enfermé dans ma mémoire. L’odeur morbide de la chair brûlée est accompagnée des fumées noires et toxiques, grasses, parant mon visage et celui des autres de masque mortuaires funèbres. La chaleur brûle ma face, mes poumons, faisant cracher et tousser l’horreur, alors que les macchabées, peaux, os et âmes fondent à plus de mille degrés.

Jetais les corps est une tâche harassante, même lorsqu’ils sont amaigris et sans vêtement. La nudité squelettique ne choquant même plus mes traits, à bout de force, continuant inexorablement mon devoir, ne rêvant pas même de m’arrêter, craignant que dans ma fièvre qui ravage corps et esprit, je n’abandonne réellement le travail.

Sous un soleil de plombs et pourtant un froid mordant, je me tue à la besogne, comme un ouvrier dans les usines de production d’arme, sachant que je rejoindrais bientôt les cadavres fumants dans la fosse, une fois devenu incapable de continuer à accomplir ma peine. Et l’intense chaleur burine mon épiderme marqué de suie, creusé et suintant, sueur s’évaporant aussitôt qu’elle roule sur la chair devenue parchemin, sèche comme le désert.

Bien loin est l’homme d’affaire que je suis, alors que mon corps dans la réalité perd pied, oxygène manquant me faisant suffoquer. Mon cœur bat le tambour et mes oreilles bourdonnent de dizaines d’abeilles. Je ne me rends plus compte de quel réalité je fais parti, ma tête, mélangeant passé et présent comme un seul, me donnant la folie de croire que ce qui est chimère est vérité, et que rien d’autre n’a jamais existait.

Du regard des autres je le sais, mon corps est raide, rigide, tendu, mais ma respiration viens du fond de ma gorge, comme un être qui s’étouffe, donnant l’alerte à l’oreille attentive. Rapide et irrégulière, elle saccade comme un coup de mitraille. Mes yeux trahissent les fantômes que moi seul peux voir, alors que la matérialité du monde autour de moi s’envole. Et si immobile est mon corps, ce n’est pas le cas de mon esprit, chauffant autant que les flammes infernales qui me hantent.

Le charnier brûle, brûle sans s’arrêter, jours et nuits, empoisonnant l’air, le rendant irrespirable. La simple vu des pupilles rougeoyantes des braises m’insufflant frissons, horreur et terreur. Être assigné à ce labeur, c’était être condamné sous peu, les conditions de travail n’étant pas même humaine.

Et la cendre tombe, tombe en pluie dans un ciel gris et aigris, plus rien n’existe se déluge apocalyptique, ou les âmes martèles des prières dans leurs têtes, réclamant que chaque seconde de souffrance soit la dernière. Le crépitement des flammes, mugissement à mes oreilles, fais vibrer mes tympans, comme un escadron de Luftwaffe, les stukas avec leurs trompettent de Jéricho, sonnant la fin du monde, ultime provocation avant la mort. Et les larmes coulent, coulent, les yeux irrités autant dans mes bribes de mémoire que dans la réalité.

Et si le vent ne ramène pas sur moi l’odeur macabre de la mort, je m’estime heureux, sachant que d’autre ne sont pas aussi chanceux, le feu grognant d’un air menaçant, comme cherchant à échappé des murs du charnier. Inlassablement sous le poids des corps que je transporte je ploie, tirant parfois sans plus de dignité les corps sans vie, trop épuisais pour en avoir cure. Je les traîne de la charrue au feu, en espérant que chaque cadavre soit le dernier.

Les cheminés des fours crématoires fument, fument, sans discontinuer, à tel point que je ne sens plus rien, pas même l’odeur du brûlé. Brûlé que mon corps sent dans notre monde, ravivant et secouant mémoires douloureuse comme un spectre maudit vous poursuivant à jamais. Ici bas, plus rien n’as de sens, et le sens n’est rien, du moins, à cet instant, c’était ce que je croyais.
02 Septembre 1999
1941, Russie

Je les ai entendu chanter, ces orgues maudites, aux vibrations graves, mais sifflements suraiguës. Le sol se creuse et s’enfonce, les roquettes mugissent dans le ciel en s’écrasant sur la ville que fut autrefois Leningrad. La fumée noire qui s’élève au loin, est fantôme de celle qu’elles produisent en plongeant sur le béton, débris et ruines volant en éclat dans toutes les directions, comme autant de fragments de vies brisées par la guerre.

Lancées en rafales, elles crachent les flammes infernales, formant arc-de-ciel mortel dans les cieux, comme une promesse de mort brûlante et explosive. Une pluie sans fin, jour et nuit, les grondements des roquettes faisant trembler terres et Hommes, arrachant autant d’âmes qu’elles le peuvent, les allemands courent comme des lapins apeurés, cherchant refuge, sans rien trouver, tout n’étant que poussières et corps.

Le désarroi est aussi puissant que la force ennemi, rouleau compresseur gigantesque, qui n’offre ni pardon ni pitié. Sous les coups de canons anti-aériens les derniers avions de Luftwaffe tombent, les stukas fierté de l’aviation allemande, ressemblent davantage à des mouches. Les fumées et vapeurs toxiques, se rajoutent à la pestilence des rangs, maladies rongeant le courage des soldats comme une mite ronge le bois.

Et jamais ne s’arrête le son terrible de ces lance-roquettes, soufflant la mort comme on respire sous la neige qui tombent. La Volga est une patinoire géante, où personne ne s’aventure, craignant de prendre une balle entre les deux yeux, snipers cachés parmi les décombres. La morsure du froid est tout aussi monstrueuse que la peur qui fait trembler les os et la chair, le sommeil étant absent de leurs regards qui vagabondent comme des âmes perdus, à la dérive.

Et les vagues ennemis se succèdent comme celles de la colique et de la diarrhée, frappant les rangs avec la dureté de l’hiver. C’est mourir de froid ou de balles, les soldats passant la moitié de leurs temps à courir pour aller déféquer dans la neige pour ne pas salir les seuls habits qu’ils possèdent.

« C’est comme un orchestre » me dit un jour un soldat, alors que je regardais le ciel noir et gris, toujours menaçant mais sans jamais de soleil, comme refusant d’offrir un peu d’espoir. « Un orchestre de mort », me répéta-t-il comme si je n’avais pas entendu. Je ne trouvai rien à lui dire, cette musique là n’étant pas dans mes accords de piano.

Deux minutes après c’était la débandade, le chant morbide des orgues ayant repris leurs refrains. Je ne pus m’empêcher de penser tout le reste de la journée à l’hymne française « La Marseillaise », essayant en vain de me sortir de la tête la sinistre musique que je m’était imaginé aux son des canons et des avions survolant du matin au soir, et parfois au-delà, les plaines arides et désertiques glacées que représentent la vaste mère Russie.

Quand ce n’était pas l’artillerie qui chantait sa musique dissonante, c’était les soldats, gémissants et grognant, cherchant à dormir sans jamais trouver le sommeil, fuyant autant que faire ce peu le froid qui se glisse même dans les estomacs, les maigres rations autorisées, vidant toujours plus l’énergie des combattants. Ils essayaient de ce détendre comme ils le pouvaient, mais rare, ces temps-ci, était les rires ou les sourires, les cadavres gelés à même le sol, restés dans leurs positions où ils furent abattus, jetant le moral des troupes au fond des abysses.

Et pourtant sans s’arrêter, assauts après assauts ils encaissaient, luttant pour chaque centimètres de sol comme si c’était la chose la plus précieuse qui leurs étaient donnés. Jamais je ne trouva plus pathétique, que de voir les Hommes ramper sur la terre poussiéreuse comme des vers, en voyant dans leurs yeux l’espoir de peut-être, cette heure là, gagner deux centimètres de plus sur leurs zones de combat.

Et si ma mission de base fut ici, de trouver les russes qui avaient décodé Enigma, je n’étais pas habitué aux sons des mitrailleuses et des artilleries lourdes canardant dans toutes les directions sans but précis, tant il était impossible de viser. Grenades étaient balancées dans les airs les unes derrières les autres, cherchant à faire sauter ça et là quelques bolcheviques.

Les chars d’assauts monstres de métal surpuissants, maître du sol et des combats dans cette ruine décadente, n’étaient plus que cibles mouvantes, et en sursis. Les communistes étaient si désespérés qu’un jour, j’assista à un spectacle qui me désola. La gente canine, nos cousins les chiens étaient utilisaient par les russes comme bombe vivante, les envoyant sous nos chars, pour les faire exploser, ces derniers n’ayant que peu de protection par-dessous. Des véritables mines mouvantes, qui créèrent une paranoïa réelle dans les rangs, fusillant tous chiens passant par là, de peur qu’il ne saute parmi les soldats.

Alors que j’étais en train de chercher des informations dans un des corps de snipers retrouvé, porteur d’un message des lignes ennemis, les orgues se mirent à nouveau à chanter non loin de moi – une centaine de mètres tout au plus – le son était reconnaissable, aussi facile à apprendre que celui des trompettes des stukas ou de V1, furies volantes dont le son hantent vos oreilles et votre mémoire comme un esprit vengeur, encore plus sinistre et traumatisant que le silence qui en suit.

Lorsque je vis les camions lance-roquettes, je me disais que ces dernières allées perdre de leurs superbes, ayant trouvé là source de ces gigantesques bombes volantes. Mais rien n’en fus, au contraire même, ce fut encore plus saisissant, leurs corps fuselées passant au-dessus de moi – le toit du bâtiment où j’étais étant éventré– vrombissant comme un seul être, essaim de frelons par millions. Et la vitesse de lancer était telle, que je ne pouvais compter le nombre de roquettes envoyées, et cela semblait duré indéfiniment. Je préférai vite quitter les lieux, n’ayant aucune envie de rencontrer nos adversaires, connus pour leurs cruautés, bien qu’en toute honnêteté, elle était de bonne guerre avec la notre, et ce, sans mauvais jeu de mot.
Invité
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#42119
Re: Adam Lepommier, l'homme qui ne fut jamais retrouvé
Message Mar 22 Jan - 17:09
23 Janvier 2000
France, Résistance, 1942

Le champ d’herbes vertes dansait sous le soleil de midi, chatouillant dans les buissons, la peau de Chloé qui n’arrivait pas à retrouver une position confortable. Le ciel dégagé, l’odeur de printemps laissant place à l’été, la bise fraîche passant dans nos manches relaxées, les miennes, retroussées jusqu’au coude, m’octroyais d’être plus libre de mes mouvements. Fusil en main je gardais l’air vigilant, tandis que ma comparse, sous un grand chêne dont les feuilles tanguaient aux grès du vent, bruissait d’une douce mélopée dans la canopée. Les oiseaux gazouillaient de leurs chants étonnés et parfois même, renards ou lapins effarés par la présence de notre odeur canidé, s’enfuyaient dans la plaine émeraude.

Bâton de charbon en main et feuille blanche sur les genoux, renforcé d’un morceau d’écorce, la jeune femme s’apprêtait sur son dessin, qui sans nul doute, serait d’une très grande précision et d’un réalisme époustouflant. Pour ma part, j’étais préoccupé par notre repas, car depuis que nous avions rejoins la Résistance française, nous n’étions plus à même de toujours avoir de quoi manger lorsque nous partions en mission. Tirer des gibiers était cela dit, tout aussi pratique si ce n’est plus, bien que le bruit de l’arme pouvait attirer les allemands s’ils stationnaient dans les parages. Pour l’occasion, j’avais ressortis mon uniforme de la Wehrmacht, ainsi, si nous nous faisions remarqués par ses derniers, nous aurions toujours une couverture valable.

J’avais conservé la lettre d’Himmler que nous étions censé avoir brûlée et que nos accompagnateur aurait du envoyer dans les flammes. Mais je leur avais juste donné une copie. Ils n’y avait rien vu d’anormal et ne portant pas d’importance au détail, ils avaient ainsi réduit en cendres leurs seules chances de ne pas nous avoir en ennemis. Désormais, en tant que résistants, nous formions des pions puissants mais qui avait besoin de direction, nous n’étions pas habitués de cette organisation qui, il fallait le dire, n’était pas toujours à la pointe en terme de hiérarchie. Le souffle bas mais rapidement d’un animal sauvage attira mon oreille, reportant mes yeux sur l’herbe agité à désormais une centaine de mètres de moi. Chargeant la balle dans la chambre, je prenais en joue la petite créature, m’aplatissant au sol.

Le canon braqué sur sa forme, œil droit fermé, respiration lente et contrôlée, lentement, le doigt se dirige vers la gâchette, appuis, doucement, de manière mesurée. Le coup part, tonnerre dans le silence. Les oiseaux sont silencieux, une volée en panique prend son envol dans les airs, plumes et cris surpassé par l’omniscience du bruit, qui résonne et percute, presque autant que la crosse du fusil contre mon épaule. Lentement le corps se relaxe, la proie s’effondre et tandis que le prédateur se redresse, yeux pétillant, le loup à l’intérieur de moi, surexcitée, s’agitait, voulant mordre et secouer le lièvre, le réduire en charpie. Je me redressais de ma position, pour me mettre à genoux, cuisse appuyées sur les mollets. Appuyant la crosse contre mon flanc droit, éjectant la cartouche de la chambre, pour en remettre une nouvelle.

J’épaulais mon arme, avant de me lever. Deux heures plus tard, dans ce moment d’éternité, les rares qui nous étaient encore offert, Chloé me donnera son dessin.

Adam Lepommier, l'homme qui ne fut jamais retrouvé Shun111
04 Février 2000
Algérie, 1958

C’est une étendue ocre et jaunâtre, le désert, avec un ciel bleu sans nuage, et un soleil qui brille si fort que même la sueur ne suffit pas à faire descendre la température du corps. C’est un endroit plat, sans perspective, un peu comme le destin des soldats ici, qui s’en vont au combat, sans savoir qui va rentrer. C’est une guerre de char, sur les grandes plaines de sable, où ont peux même y faire cuire de la nourriture sur les moteurs en surchauffes des blindés.

La poussière ce soulèvent de tout côtés comme un gigantesque mur dorée, mordant et brûlant la peau, s’introduisant sous les vêtements, piquant et irritant.
Lancés à toutes allures sur leurs destriers mécaniques, les deux camps ce tires dessus à longueur de temps, dans le mugissement des moteurs et les coups de tonnerres des canons qui crachent leurs ogives avec agressivité. L’infanterie court derrière les bêtes d’acier, ce protégeant des tirs ennemis grâce aux blindages des chars.

Par quarante degrés le jour, et parfois moins dix à moins quinze la nuit, le climat est aussi insupportable que la puanteur des corps sous le soleil. C’est une fournaise permanente, ou l’eau est une denrée aussi rare que précieuse, les bouches parfois aussi sèches que les peaux.

Les armes sont incapables de tenir la cadence, chauffant et s’enraillant en permanence. L’huile de nettoyage des fusils fait coller l’épaisse poussière jaune, bloquant les balles dans les canons.

Les maisons sont aussi réclamées que les heures de sommeil, où chaque homme sous le bruit des bombes parfois, essaye de trouver un repos qui ne viens pas, et lorsqu’ils dorment, ils ce réveillent aux moindres bruits. Les avions survolent et passent, comme autant de mouettes sur les côtes, personne ne lève les yeux pour les regarder.
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Re: Adam Lepommier, l'homme qui ne fut jamais retrouvé
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