| #44783 Maddy Rivers Dim 16 Juin - 18:45
Dernière édition par Madison Rivers le Lun 8 Juil - 14:01, édité 6 fois
Madison Rivers« La vie, ce n'est pas d'attendre que les orages passent, c'est d'apprendre à danser sous la pluie. »
Date de naissance: 17 mai 2012 Âge d'apparence: 20 ans Sexe: Féminin Orientation sexuelle: Hétérosexuelle Race: Humaine Groupe: Libre Supérieur immédiat: Le propriétaire de la galerie ? Emploi: Artiste peintre Pays d'origine: Angleterre, Londres. Choix de jeu: [X] Avec destin | [ ] Sans destin
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Physique Tu observes ta toile avec une attention toute particulière, tes sourcils se froncent naturellement comme chaque fois lorsque tu regardes le résultat de plusieurs heures de travail. On ne saurait dire si tu es satisfaite ou si au contraire, tu aimes ce que tu as sous les yeux. Ce dont on peut être sûr, c'est que tu y as mis toute ton âme. Tu as beau avoir relevé tes cheveux blonds comme le blé en deux petits chignons sur le sommet de ton crâne, tu as tout de même réussi à les tâcher de peinture. Une petite mèche rebelle s'échappe de ton élastique et retombe au milieu de ton visage et voilà que tu souffles instinctivement sur cette dernière pour l'en chasser. Tu aimes avoir une vue dégagée, c'est pour cela que tu prends soin de retenir ta crinière de diverses manières. Tantôt macarons, tantôt queue haute et simple, ce qui t'importes c'est de pouvoir peindre sans être gêner par le moindre brin doré qui compose ta chevelure.
Tu mordilles l'extrémité de ton pinceau, toujours plongée dans une intense réflexion dont tu ne sembles pas être proche de sortir. Ton regard balaye ton travail lentement, tel un chat qui suivrait sa proie des yeux sans pour autant s'apprêter à lui sauter dessus. Tes deux iris noisettes, tirant vers l'ambre brillent de détermination et d'une farouche envie de te surpasser encore d'avantage pour la prochaine exposition à laquelle tu participes. Tes bras croisés sur ta poitrine assez généreuse, tu souffles et échappe un soupire boudeur. Ton index vient tapoter le bout de ton nez nerveusement. Tu en suis la pente droite et douce, légèrement retroussée en fin de parcours et laisses finalement retomber ta main le long de ton corps. Tu fais un pas en avant, puis un second, pour approcher de ce tableau achevé il y a quelques minutes et tes dents capturent naturellement tes lèvres roses et pulpeuses alors que tu libères enfin le bout de ton instrument à poils.
Finalement un petit sourire se dessine sur ton visage, tu aimes ta production, tu en es plutôt fière et tu te détends aussitôt. A tel point que tu te décides à ôter tes vêtements. Tu ne portes pas grand chose à vrai dire, surtout lorsque tu peins seule chez toi. Tu aimes le tissu léger, non oppressant, coloré. Des choses dans lesquelles tu te sens bien, ni plus ni moins. Tu n'as pas de style particulier à vrai dire, tant que tu aimes la texture sous tes doigts, la teinte et la coupe de la pièce en question, tu n'es pas du genre difficile. Il t'arrive de pencher pour la féminité, lorsque tu te décides à sortir de ta bulle pour rejoindre des amis, mais en règle générale tu optes pour ce qui te plait, lorsque tu te lèves, au gré de ton humeur du jour.
Tu défais le bouton de ton petit short en jean, le laissant tomber à tes pieds et passes ton haut par dessus ta tête. Les bretelles de ton soutien gorge glissent le long de tes épaules et tu dégrafes ton dessous d'une main distraite. Un regard vers ton ventre plat et tu réalises que tu n'as pas encore mangé. Tu as faim, comme d'habitude et tu te décides à filer en direction de ta cuisine pour récupérer ta boîte de bonbons préférés. Tu portes un twizzlers à ta bouche et le croque avec gourmandise avant de filer jusqu'à ta salle de bain. C'est là bas que tu te débarrasse de ton dernier vêtement, qui dévoile un fessier ferme et rebondi, surplombant tes jolies petites gambettes toutes fines. En relevant le nez vers la glace qui te fait face, tu t'observes un instant. Ta peau sans défaut est presque aussi dorée que tes cheveux, à l'exception de tes joues rosées. Tu ne cherches ni à bronzer, ni à fuir le soleil et ta peau de pêche n'est imparfaite que lorsque la couleur de tes palettes se retrouve à sa surface. On ne peut pas dire que tu ais une vie très saine, tu dors peu et manges ce qui te tombe sous la main en trop grande quantité, mais par miracle cela n'en pâtit pas sur ton poids, ta santé ou ton épiderme.
Tu te dépêches d'entrer dans ta douche, trop impatiente de sentir l'eau ruisseler sur ton corps engourdi par le temps passé à peindre sans pause. Et tu tires le rideau de ta douche d'un coup sec, ouvrant le robinet d'eau en soupirant d'aise. Psychologique Lentement tu ouvres les yeux et t'habitues peu à peu à la luminosité ambiante, le soleil semble briller assez haut dans le ciel et tu grimaces à moitié en t'étirant. Cette habitude que tu as de dormir les volets et rideaux ouverts, par peur de te retrouver plongée dans l'obscurité, te confronte inévitablement à un éblouissement matinal. Tu bâilles en passant une main dans tes cheveux, tu sembles encore totalement endormie et tu peines à te redresser dans ton lit. Tu es pourtant rentrée à une heure raisonnable hier soir, tu n'aimes pas vraiment traîner dans des bars tard le soir, c'est sans doute pour cela que tu as préféré écourter la soirée. Après tout, tu te sens toujours plus à l'aise chez tes amis qu'à l'extérieur.
Finalement, tu jettes un œil à ton réveil avant d'écarquiller les yeux aussitôt. Il est presque 11h et tu devais absolument passer à la galerie pour apporter ta dernière oeuvre en date. Ta manie d'être constamment en retard t'attirera forcément un jour de gros ennuis. Rageusement, tu attrapes ton portable et vérifies l'alarme que tu pensais avoir préparée pour 9h. Visiblement, tu ne l'avais pas activé pour le bon jour, pas étonnant qu'elle n'ait donc pas sonné. Repoussant vivement la couette au pied du lit tu te lèves en manquant de trébucher et fonces à la salle de bain. Voir ton reflet dans le miroir te confirme que tu ne seras pas à l'heure. Tu brosses tes cheveux à la hâte en couinant presque lorsque tu en arraches la moitié. Tu veux toujours aller trop vite, ce trop plein d'énergie peut être bénéfique mais parfois, il faudrait que tu apprennes à te poser deux minutes. Après avoir enroulé un élastique autour de ta tignasse blonde, tu te passes un peu d'eau fraîche sur le visage et cours en sens inverse, en direction de ta cuisine.
Tu n'as peut être pas de temps devant toi mais tu ne peux pas faire l'impasse sur le petit déjeuner. En plus d'être le repas le plus important de la journée, c'est surtout une occasion de grignoter et manger, tu adores ça. Heureusement que ta gourmandise ne te fait pas prendre de poids. Tu fouilles tes placards un par un, cherchant visiblement quelque chose à te mettre sous la dent. Il semblerait que tu ais oublié de faire des courses dernièrement et il ne reste plus grand chose à consommer. Par chance tu tombes sur des pancakes de la veille dans ton frigo et tu croques à l'intérieur sans attendre. La porte du réfrigérateur claque derrière toi alors que tu te précipites de nouveau dans ta chambre, afin d'enfiler des vêtements pour partir. Pancake entre les dents, tu sautes dans une salopette en jean et enfile des petites baskets blanches afin de pouvoir courir plus facilement dans la rue.
Tu récupères ton cellulaire et te rues de nouveau à travers ton appartement, afin de gagner ton salon. Il te faut tes clés de voiture et ce n'est clairement pas gagné, vu le bazar monstrueux qui règne autour de toi. Tu es du genre.. quelque peu bordélique et un brin désordonnée. Les papiers posés sur la table basse vole dans tous les sens à mesure que tu farfouilles un peu partout pour retrouver tes précieuses clés. Une enveloppe glisse et tombe à tes pieds, tamponnée de rouge elle ne présage rien de bon. Un moment de lucidité et tu t'abaisses pour la saisir, l'ouvrant avec empressement pour en découvrir le contenu. Tu as encore oublié de payer tes factures et tu ne peux t'empêcher de te laisser tomber dans ton canapé, sans lâcher cette lettre des yeux. C'est un problème plus que récurent mais tu es si tête en l'air que tu oublies tout le temps de remédier au problème. Tu vas finir par sérieusement crouler sous les dettes et même si cela ne t'empêchera certainement pas d'être toujours autant de bonne humeur, tu risques de gros ennuis.
Quoi qu'il en soit, tu n'as pas le temps d'y porter plus d'intérêt et tu reprends alors ta recherche intensive, laissant derrière ton passage un bazar plus monstrueux qu'initialement. Lorsque tu mets enfin la main sur tes clés de voiture, tu sautes presque de joie, cela n'a pris que 10 minutes, pour une fois. Ne te restes plus qu'à prendre ta toile sous le bras et tu attrapes enfin ton sac à main en filant vers la porte d'entrée. Tu verrouilles rapidement la porte de ton logement et t'empresses de prendre les escaliers. Tu ne te trouves qu'au deuxième étage et il y a sûrement des gens qui ont d'avantage besoin de s'épargner les marches. Tu as tendance à penser aux autres avant tout, de la bienveillance naturelle, de la gentillesse ? Ni plus ni moins que du bon sens à tes yeux. Te voilà parvenue au hall d'entrée et ta maladresse légendaire te rattrape soudain, te faisant chuter sur le sol fraîchement lavé et toujours glissant. L'intégralité de ton sac se déverse sur le carrelage et tu ne peux t'empêcher de sourire en fourrant un twizzler dans ta bouche. Ces bonbons t'ont rendu totalement accro à tel point que tu as toujours un paquet avec toi, comme si tu craignais d'en manquer.
Une fois le ramassage terminé, tu peux enfin affronter le monde extérieur et chercher ta voiture, garée un peu plus loin. Tu déposes tes affaires à l'intérieur mais au moment de monter dans l'habitacle, tu aperçois ta vieille voisine de palier au bout de la rue. Elle porte des sacs de courses tellement remplis qu'ils menacent de craquer. Ni une, ni deux, tu claques ta portière et va aussitôt l'aider. Quelques minutes de plus ou de moins, de toutes façons... Et puis tu connais cette dame depuis que tu as emménagé et elle est toujours aussi souriante et joviale que toi. Après avoir déposé les sacs dans l'ascenseur tu t'éclipses non sans avoir pris rapidement les nouvelles du jour et tu fonces enfin à la galerie où tu es sans doute attendue depuis un moment maintenant.
Heureusement, lorsque tu en franchis les portes, le vieil ami de ta mère est debout et t'observes, l'air totalement exaspéré. Mais ta toile à le mérite d'éveiller son attention et il se détend plus rapidement que tu ne l'aurais imaginé. Il aime ton travail et tu peux être satisfaite de ce que tu as produit. Tu es toujours assez confiante et bien trop positive pour te laisser submerger par le doute lorsque le résultat te plait. Lorsqu'il te confirme que ton tableau rejoindra la prochaine exposition tu lui sautes aussitôt au cou, tu es toujours très démonstrative et débordante d'énergie et ta sincérité tant dans l'expression de tes émotions que dans la franchise de tes paroles est bien souvent appréciée.
Tu t'autorises un petit tour des lieux afin de regarder tes précédentes toiles, déjà collées au mur. Souvent bien sombres, elles n'en sont pas moins belles et elles laissent transparaître ta curiosité et ta fascination pour les créatures surnaturelles. Ainsi que ton adoration pour les films d'horreur, bien que ces derniers te font imaginer les pires scénarios possibles lorsque tu traverses la ville toute seule en pleine nuit. Tu es ouverte d'esprit, tu es loin d'être réfractaire au changement mais ton trop plein d'imagination te cause parfois certaines frayeurs. A moins que ce ne soit toi qui effraies les gens avec tes bavardages incessants, ton entêtement et ta crédulité à toute épreuve? Ce n'est pas pour rien que l'on dit que tu es bruyante et bornée.
A présent tu peux rentrer chez toi et retourner peindre comme tu aimes tant le faire, avec ce petit air si sérieux et concentré sur ton visage comme chaque fois lorsque tu tiens un pinceau entre les doigts. S'il y a bien une chose que l'on ne pourra jamais t'enlever, c'est ta créativité sans limite.
Autres traits de caractère dominants chez toi : Solaire - extravertie - excentrique - douce - altruiste - généreuse - avide de découverte - sensible - passionnée - rêveuse - empathique - débrouillarde - maline - pétillante - boudeuse.
Tu es également acrophobe, en d'autres termes tu as peur des hauteurs, tu as le vertige. Histoire
Tu n'as pas un passif particulièrement douloureux ni même compliqué, au contraire tu as une histoire assez banale pour une habitante de Londres. Tu es le fruit de l'amour de deux humains passionnément amoureux et ton enfance à été plus qu'heureuse. Toujours joyeuse et pleine de vie, tu as apporté le bonheur par ta simple présence à tes deux parents. Tu faisais beaucoup de bêtises mais dans le seul but de les amuser et de les voir rire, un véritable petit clown. Les disputes étaient rares et tu as été élevée dans un foyer respirant l'amour et la sérénité. C'est sans doute cette atmosphère si paisible et ton éducation qui ont fait de toi ce que tu es aujourd'hui, une jeune femme toujours aussi bienveillante et souriante qu'autrefois.
Concernant ta passion pour l'art, elle te vient de ta mère. Elle qui travaillait dans un musée en tant que conservatrice, t'a transmis son amour pour ce domaine si riche et si varié. Tu te souviens encore de ces après midi que tu passais à arpenter les allées remplies de toiles aux vives couleurs, plus impressionnantes les unes que les autres. Et puis ses yeux arboraient toujours une lueur si vive lorsqu'elle abordait le sujet où t'enseignait de nouvelles connaissances sur des périodes de l'histoire ou des artistes incroyables qu'elle appréciait. Un brin déjantée, vous faisiez souvent de la peinture ensemble, le week-end dès lors que vous aviez du temps mais cela virait généralement en barbouillage de visage à coup de pinceau. Sans doute pour cela que ton père se tenait à l'écart dès que vous vous plantiez toutes les deux devant une toile.
Malheureusement, cette femme aimante qui t'avait donné la vie était malade et elle succomba en laissant un vide immense au cœur de la demeure familiale. Et puis elle laissa autre chose, un bon paquet de petites dettes, de factures impayées qui vous resta sur les bras, à toi et ton père. Ça aussi, il semblerait que tu tiennes ça d'elle. C'est à cette époque que tu as commencé à vendre tes tableaux dans la rue, afin de récupérer un peu d'argent pour aider à subvenir aux besoins de ta famille. Famille ou ce qui s'en rapproche le plus car il n'y avait que toi et ton paternel. Ni oncle, ni tante, ni grands parents, ni frère ni sœur, vous n'étiez plus que tous les deux. Tu n'en as jamais été affectée, après tout tu n'as jamais manqué de rien ni souffert d'un manque d'affection ou de présence à tes côtés. Le seul sentiment d'injustice qui te gagna un jour fut lorsque ton père mourut à son tour. Une crise cardiaque plutôt foudroyante. Mais ta rancœur se volatilisa bien rapidement lorsque tu compris que les choses arrivaient sans que l'on ne puisse en changer nécessairement le cours.
Désormais seule dans l'appartement qu'ils t'avaient laissé, tu as rapidement déménagé, vendant la plupart de leurs effets personnels, en ne gardant que quelques souvenirs qui te tenaient à cœur. Ainsi, tu t'es établie dans un plus petite logement qui te correspondait davantage, dans un immeuble plutôt correct. Tu continuais de vendre tes toiles dans la rue, jusqu'à ce qu'un jour, un ancien ami de ta chère mère repère en toi l'artiste que tu étais et qu'il te propose d'exposer tes œuvres dans sa galerie. Inutile de préciser que tu as aussitôt sauté sur l'occasion, elle était bien trop belle pour la laisser passer.
Ta routine était plutôt paisible, jusqu'au jour où tu as rencontré une petite boule de poils en te promenant dans le Richmond Park. Minuscule et visiblement seule, tu as décidé de la ramener chez toi. Et pourtant tu ignorais totalement si l'idée était bonne, un animal sauvage n'a rien à faire dans un appartement en pleine ville. Mais rapidement, l'un comme l'autre vous êtes pris d'une affection mutuelle et ton petit Hélios est resté à tes côtés. Un joli renard accueille donc tes invités de ses glapissements dès lors que ceux-ci franchissent le seuil de la porte. Une fois la surprise passée, tes amis apprécient toujours ce phénomène à quatre pattes, énergique et joueur à souhait. Il égaye ton quotidien et t'évite de t'ennuyer lorsque tu es seule entre les murs de ton cocon.
Derrière l'écran Surnom: Maddy ça me convient Âge: + de 20 ans ! Autres personnages: Aucun fréquence de connexion: Le plus souvent possible Comment avez-vous découvert le forum?: En traînant Commentaires: Euh... non ?
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| #45022 Re: Maddy Rivers Sam 13 Juil - 6:04 Tu es validée ! Bienvenue parmi nous ! Le pire moment est passé. Courage, c'est presque terminé ! Maintenant, c'est l'heure de la paperasse : ✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici✦ Il faut recenser ton avatar ➤ ici; ✦ Recenser ton nom, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici✦ Recenser le double-compte, si c'en est un ➤ ici✦ Recenser ton emploi (même si tu n'en as pas) ➤ ici✦ Penser à indiquer ton niveau de popularité / discrétion au sein de Londres ➤ ici✦ Une section sera crée à ton nom pour y faire ton carnet de relation et suivi de RP à faire personnellement ➤ ici✦ Tu peux également poster une demande (Rp, lien, logement, etc) ➤ ici✦ N'oublie pas d'inscrire le lien de ta fiche dans ton profil et de générer et compléter ta feuille de personnage ! Et n'oublie pas le plus important : Amuses-toi bien parmi nous ! Et si tu as la moindre question, n'hésite pas à t'adresser à l'équipe du staff, il y aura toujours quelqu'un pour te répondre. Que ce soit par MP ou dans la section FAQ. |