| #42018 Rose Monier aka Soeur Catherine Ven 18 Jan - 5:21 RoseMonier Identification Nom: Monier Prénom: Rose Surnom: Soeur Catherine ou Cathy Race: Humaine Sexe: Féminin Âge physique: 31 ans Date de naissance: 25/12/2001 Orientation sexuelle: Hétérosexuelle mais dévouée à Dieu Pays d'origine: France, Paris, 4e arrondissement, La Sorbonne Groupe: Libre Emploi: Postulante à la Congrégation notre Dame d'Espérance Supérieur immédiat: Notre Seigneur
Choix de jeu: [X] Avec Destin [ ] Sans Destin
| | Derrière l'écran Prénom: I'm Surnom: Walkin Âge: âgée Découverte: on Fréquence de connexion: sunshine Autres personnages: Je suis faible, cherchez. Autres trucs sur vous: WHOOOO Commentaires: HO
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Le physique qui me différencie Sans habit Je suis une femme brune, d'une taille sans doute moyenne puisque je mesure 1m67. Mes cheveux tombent un peu plus bas que mes épaules. Bouclés, je n'ai jamais voulu les lisser définitivement malgré cette tignasse qui entoure mon visage. Mes yeux sont bleus, comme l'hiver, qui est d'ailleurs ma saison préférée, mais j'y reviendrais plus tard. Auapravant, j'aimais beaucoup me maquiller : yeux, lèvres et même sourcils. Tout y passait. A vrai dire, j'aime encore ces artifices, mais je n'en use que peu aujourd'hui, couvent oblige. Vestimentairement parlant, je suivais la mode. J'adorais même cela à vrai dire, toujours à l'affût de la moindre nouveauté. Fausse fourrure (éthique oblige) et talons hauts étaient mon adage, tout comme les robes courtes. Un vrai changement a dû être opéré lors de mes voeux. Pourtant, si cet aspect a été l'un des plus difficiles, je ne fais que m'en remercier chaque jour. Avec l'habit Un voile blanc couvre désormais mes cheveux, souvent attachés en queue de cheval, me permettant une meilleure visibilité, il va sans dire. Mes vêtements ? Je n'en ai plus beaucoup lorsque je suis "en service" puisque je n'ai qu'une robe blanche très simple. Lorsque je suis de sortie, néanmoins, nous avons la possibilité de nous habiller d'une longue jupe marron, d'un chemisier blanc, d'un foulard noir au col, de chaussettes hautes blanches et de petits mocassins noirs terriblement confortables. Plus de maquillage, plus d'artifice, une fois l'habit et les vœux prononcés, nous renonçons à toutes ces choses futiles de la vie commune. Quel que soit l'habit Une chose qui ne change pas, outre ma taille et la couleur de mes yeux que j'ai déjà - et fautivement - abordé dans le premier paragraphe, c'est ma corpulence. Je n'ai jamais été une grosse mangeuse et depuis mon vœu de pauvreté, j'avoue que j'ai encore perdu u peu de poids, rien de bien inquiétant, mais les soeurs de mon entourage veillent à ce que je m'alimente correctement. Nous faisons de plus beaucoup de sport, ce qui m'oblige à faire attention à cette partie. Enfin. Je suis donc particulièrement menue, un peu trop pour certains, mais je me moque de ce que les autres peuvent penser car le Seigneur m'accepte telle que je suis. Le psychologique qui m'habite L'on pourrait me qualifier de travailleuse, acharnée même du travail, adaptable, douce, aimante... Enfin. Bon nombre de qualificatif qui me font plaisir, il va de soi, mais quei me gênent tout autant. Ma vie est depuis huit ans déjà dévouée à notre Seigneur. Il m'a appelé à lui et je suis venue. De fait, le premier qualificatif qui pourrait me seoir serait celui de dévouée. Je me dévoue effectivement corps et âmes à ce qui me semble juste, auparavant l'enseignement, aujourd'hui le Seigneur. Je n'ai néanmoins pas abandonné mon amour des enfants et de l'enseignement en prenant ordre puisque je donne des cours de français dans les établissements catholique de Londres ainsi que des cours de catéchisme tous les mercredi et samedi soir. Je suis aussi une femme très douce et compréhensive, j'aime chaque personne en ce monde, persuadée qu'il doit y avoir du bon en chacun d'entre eux. C'est pourquoi je n'ai aucun préjugé sur chacune des races, il y a, de toutes les manières, une part d'ombre dans chacun d'entre nous, il en va de la vie humaine et je ne saurais, moi humaine, le renier. De fait, je rend souvent visite aux vampires, privés de leur foi, pour les accompagner malgré tout sur le Chemin de Dieu. Patiente et souriante, beaucoup de personne apprécient m'avoir sur leur route car je fais tout pour égayer leur vie ou ne serait-ce que les courts instants que je peux avoir en leur compagnie. Instruite, je veille à apprendre chaque jour au moins une nouvelle chose sur moi ou sur le monde qui m'entoure. Etant, malgré ma condition de nonne, une femme moderne, je me dois de maintenir un niveau d'instruction élevé pour m'affirmer seule sans l'aide de mon couvent. Je suis d'ailleurs très poche des soeurs de ce dernier. Elles sont ma famille de coeur, même s'il me reste toujours ma famille de sang, bien évidemment, que rien ne remplacera jamais. Pour autant, je suis une femme avec ses défauts. Ainsi, de ma vie assez fêtarde, j'observe de temps en temps des manques quant à cette ancienne vie, des manques qui finiront, bien entendu par disparaître, mais il est vrai que certaines fois et certaines fois seulement, je rêve un peu trop, j'espère m'évader, retrouver une vie plus frivole, plus facile. Rassurez-vous, lorsque cela m'arrive, je me confesse bien entendu. Je ne veux certainement pas remettre en question ma vocation car je sais qu'Il me veut à lui. Par ailleurs, je pense être une personne peut être un peu trop franche et sûre de mes convictions. Bien sûr, je respecte chacune des autres convictions, j'adore, d'ailleurs, discuter avec toute personne n'ayant pas la même idéologie que moi car j'estime que nous devons tous apprendre les uns des autres pour faire évoluer nos croyances. Pour autant, je refuse que l'on dénigre ma - ou les autres - convictions et devient plus ferme lorsqu'il s'agit de me défendre. Je n'aime pas me battre, je ne sais pas vraiment me battre d'ailleurs, mais je ne suis pas une jeune femme innocente et naïve, je connais les difficultés du monde, je connais les guerres et je ferais tout pour les arrêter. Pour autant, j'ai peur de voir le monde se détruire petit à petit, j'ai peur de voir ma foi en Notre Seigneur s'éteindre au fur et à mesure, avec les déceptions, les morts et les crimes de Londres...
Le passé qui m'a construit Je suis née le 25 décembre 2001, à Paris dans le quartier de la Sorbonne, dans le quatrième arrondissement de la capitale française. Mon père, Jean Monier, était professeur à l'Université, ma mère, Laurence Dumoulin, avocate. Une famille somme toute aisée pour une grande capitale. J'ai un frère, Thomas et une sœur, Méline, tous deux plus âgés que moi. Dès deux ans, j'ai intégré une petite classe dans une école catholique. Mon parcours, à partir de cela, fut tout tracé, du moins Il me l'a tracé. Bonne élève, studieuse et calme, je franchissais toutes les classes sans soucis. Je n'étais pas petit génie ou virtuose, non, mais j'avançais dans ma petite vie aussi bien que je pouvais le faire. Par tradition familiale, j'entrai chez les Scouts dès mes six ans. J'y suis restée quinze ans, jusqu'à mon départ pour Londres, mais j'y reviendrais plus tard. Mon éducation s'est énormément basée sur l'instruction et la religion, ainsi n'ai-je connu seulement que les écoles catholiques et ce jusqu'à l'université. En Juin 2019, j'ai obtenu mon baccalauréat en Littérature et j'ai terminé une licence en Lettre Classique, passant mon CACES en fin de parcours. Je suis alors partie enseigner dans un collège français de Londres, dès mes 21 ans. A cette époque, j'étais une jeune femme vivante, fêtarde même. Bien sûr, je respectai les préceptes catholiques, j'allais à l'église, tous les dimanches, pendant les fêtes... Et j'en oubliai certains. J'eus mon premier et mon seul copain à cette époque, mes soirées beuveries aussi, quoique j'en ai eu bien plus qu'une. Je sortais avec mes copines pour faire les magasins, je dansais, je chantais, je m'amusais. C'est en 2024 que ma vie bascula réellement. Je faisais partie d'un groupe catholique à Londres et j'avais accepté un voyage de pèlerinage à Lourdes, en France. Cela me permettait de rentrer dans mon pays natal, je n'y rentrais que pour voir ma famille et cela me manquait, c'était un fait. Je ne vous ferais pas le descriptif de tout mon séjour, mais seulement du moment où Il m'est apparut. Nous nous rendions à la grotte de Massabielle pour notre dernière journée de séjour. Je me trouvais dans la grotte, entourée de tous les pèlerins, ces frères et soeurs, les mêmes que moi. Devant l'autel, je m'étais mise à genoux, un cierge béni à la main en mémoire de l'apparition de la Vierge Marie à Bernadette Soubirous. Les yeux penchés vers le sol, je récitai intérieurement le Je vous salue Marie. La prière terminée, le signe de croix effectué, j'allais pour me relever quand mon esprit et mon corps se stoppèrent. Il était là. Je Le sentais autour de moi, comme une lumière irradiant la grotte, une lumière qui émanait de toute part et qui me transpercer comme des flèches. Mais ce n'était pas des flèches de guerre, non, c'était l'amour. Je me sentais bien, je ressentais l'amour qu'il avait à nous donner, je savais que je devais l'aider à propager cet amour, que je devais l'aimer Lui et personne d'autre et aider les autres à trouver leur voix. C'est ainsi qu'à cet instant Dieu décida de mon Destin. Je le servirai.
Dès lors, dès mon retour à Londres, je signai le début de mon stage dans la Congrégation notre Dame de l'Espérance. Bien sûr, je continuai mon emploi d'enseignante en français. Les soeurs et l'Eglise désirait avant tout que je sois sûre de mon choix. Mais j'étais sûre de moi. Et cela se remarqua dans ma façon de vivre. J'arrêtai les soirées et mis un terme à la relation avec mon petit ami. Mes amis et ce dernier eurent du mal à comprendre ma vocation mais la plupart finirent par comprendre m'acceptèrent tel que j'étais devenue.
Mon stage dura six ans, six ans à l'issu duquel je devins Novice. Je ne portais pas encore l'habit et je m'appelais toujours Rose Monier, mais j'habitai désormais à plein temps dans le couvent. Les soeurs, par soucis de sociabilisation, me permirent de continuer mon emploi puisque je ne portais pas l'habit. L'enseignement était ma passion, ce fut un réel soulagement de savoir que je le pouvais. Enfin, il y a deux mois, après deux ans de statut Novice, je me suis agenouillée face au Seigneur pour prononcer mes vœux, devenant ainsi postulante, prenant l'habit et le nom de Sœur Catherine. J'ai fini par démissionner de mon emploi au collège français, ce fut sûrement le plus grand regret que j'eus. Aujourd'hui, je suis donc postulante à la Congrégation Notre Dame de l'Espérance, je viens en aide aux pauvre, en les éduquant, en les soignant et en les nourrissant. Mes soeurs et moi même désirons plus que tout inclure le Seigneur dans la vie de tout un chacun. Bien sûr, je sais que les créatures n'ont pas tous accès à la spiritualité, mais je ferais toujours tout mon possible pour les aider à trouver la voie du Seigneur. Fiche faite par Bryan Grey (Law) pour le forum Londres et Ténèbres. |