| #41856 La peau est le meilleur outil pour exercer son art. [Terminée] Mer 9 Jan - 18:54 AlexiaCarne Identification Nom: Carne Prénom: Alexia Surnom: Choupa Race: Humaine Sexe: Femme Âge physique: 25 ans Date de naissance: 17 Juin 2007 Orientation sexuelle: Bisexuelle Pays d'origine: Angleterre Groupe: Humain Libre Emploi: Tatoueuse Supérieur immédiat: Effy
Choix de jeu: [X] Avec Destin [ ] Sans Destin
| | Derrière l'écran Prénom: owo Surnom: Plume Âge: 21 ans Découverte: owo Fréquence de connexion: Quand je peux Autres personnages: Lina Delmald - Elyan Chendell Autres trucs sur vous: owo Commentaires: owo
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Le physique qui me différencie Je suis une jeune femme normale. Banale. Excepté au niveau de ma peau et de mes cheveux. Je suis tatouée sur une grande partie de mon corps qui est mince avec quelques formes là où il le faut. Ma peau a beau être un peu pâle, mes épaules, mes bras, mon dos et mes jambes sont recouvertes d'encre noire, rouge etc. Je mesure un petit mètre soixante-cinq et pèse seulement 55kg. Sinon, au niveau de mon visage.. j'ai des yeux d'un joli bleu, assez clair. Un petit nez, des lèvres légèrement pulpeuses auxquelles il y a un percing assez discret, des sourcils assez fins. Pour terminer, ma chevelure, qui est assez longue, arrivant un peu en dessous de mes épaules. De base, je suis très blonde, ayant des origines allemandes, mais comme je hais cette couleur, je me fais des teintures et ma préférée est la violette. Donc j'ai très souvent les cheveux violets, parfois bleus ou rouge sanguin.
Concernant la façon dont je m'habille... C'est divers et varié. Je peux m'habiller comme une hippie, une fan de rock ou de metal. Ou alors tout simplement normalement. Je porte souvent des élastiques à mes poignets, des bracelets ou des colliers fantaisistes. Mais la seule chose qui reste inchangée sur moi c'est... les bonnets. Je suis complètement et totalement fan des bonnets. J'en ai toute une collection et je change selon mes humeurs. Je crois que c'est tout... Ah si, une dernière chose. J'adore le violet. Mais je pense que je l'ai déjà assez dit comme ça... La psychologique qui m'habite Je suis une humaine fragile. J'ai peur de beaucoup de choses dans ce monde et je suis souvent en proie à la panique alors qu'il n'y a absolument rien. J'ai vécu des trucs traumatisants dans ma jeunesse et au lieu de m'endurcir comme le ferait la plupart des gens, je me suis laissée détruire. Je me suis laissée marcher dessus parce que je n'étais pas comme les gens voulaient que je sois. Je pense souvent que le problème vient de moi alors qu'il vient souvent de mon environnement. Je n'ai pas vraiment confiance en moi et les gens peuvent facilement le voir. J'essaye de me cacher derrière un masque mais ça ne marche pas bien puisque je suis un livre ouvert et qu'il est très facile de lire mes émotions au fond de mon regard. Pour autant, je ne suis pas tout le temps une biche apeurée. Quand je suis avec des amis qui me connaissent bien, je suis détendue, souriante, sûre de moi. J'ai acquit une certaine assurance avec le temps grâce à eux mais le plus gros vient du métier que j'ai décider d'exercé. Tatoueuse.
Le dessin a toujours été ma plus grande passion et quand les choses tournaient mal, je me réfugiais dans l'atelier où je peignais et dessinais. J'ai toujours eu l'âme d'une artiste et un esprit très créatif. Cela m'a sauvé même si je reste assez faible psychologiquement, surtout dès qu'il y a de la violence ou de la haine. Je déteste ça plus que tout au monde, cela me donne envie de me cacher au fond d'un terrier et ne plus en bouger. Les tatouages sont devenus ma vie, en étant quasiment recouverte et exerçant ce métier. C'est dans un salon que je me sens le plus en sécurité. J'ai beau rencontré des vampires ainsi que des lycans, je me sens à l'aise avec eux, comme si j'oubliais qu'ils pouvaient me tuer d'un seul coup. Mais je sais qu'il ne m'arrivera jamais rien tant que je fais ce qu'ils me demandent et vu que je suis toujours en vie, je n'ai jamais déçu personne. D'ailleurs, je n'ai aucun sentiment envers eux. Tant qu'ils ne rentrent pas dans ma vie privée, je continuerai de faire comme si ils n'existaient pas.
Aujourd'hui encore j'essaye de devenir plus forte même si j'ai énormément de mal puisque avec toute la violence qui règne parfois dans les rues de Londres me terrorise mais j'apprends, doucement, lentement. Je vois même un psy qui m'aide à m'en sortir, à faire ressurgir mon passé pour mieux de l'écraser. Je veux gagner le combat constant que je mène pour ne pas sombrer. Alors on peut dire que je suis quand même une sacrée combattante malgré tout et que j'ai envie d'aller de l'avant. Comme quoi, je suis quand même assez intelligente pour savoir ce qui est bon pour moi.
Une dernière chose.. Je n'ai envie d'avoir personne dans ma vie. J'ai peur qu'un jour cela me tombe dessus, que je laisse quelqu'un rentré dans mon intimité. Je doute que l'on puisse m'aimer et moi, je n'ai pas envie de briser mon cœur. Alors je suis extrêmement distante avec les hommes comme avec les femmes qui essaient de m'approcher. Je suis sociable, je peux avoir des amis mais ils ne sauront pas plus que ce que je leur dirai. Ils ne sauront jamais la vérité sur moi. Le passé qui m'a construit Je suis née le 17 juin 2007, dans la campagne londonienne, dans la mauvaise famille. Pourquoi faut-il que dès la naissance, notre jeunesse soit prédestinée ? Quel destin cruel réserve la vie aux plus pauvres d'entre nous. Enfin bon... Ma mère et mon père se sont plutôt bien occupé de moi au début même si l'on ne croulait pas sous l'or. J'avais rarement des nouveaux vêtements mais je savais me satisfaire du nécessaire. A l'école, je me faisais un peu embêté mais ce n'était que des bêtises d'enfants et je pensais avec mon petit cœur naïf que ça allait passer dès que j'entrerai au collège. Erreur fatale puisque ce fut dès mon entrée en sixième que tout dérapa dans ma vie, me détruisant à petit feu. Et ce fut également à cette période que je commençais à m'enfoncer dans ma bulle où seul le dessin et la peinture pouvaient m'aider.
En effet... l'adolescence commençait tout juste à me toucher que je dus grandir prématurément sans comprendre la plupart des choses. En même temps, je ne restais qu'une enfant, innocente, pure et naïve. Mes parents s'engueulaient de plus en plus souvent devant moi. Il s'était mit à la frappé devant mes yeux terrorisés. A la battre mais pas assez pour l'envoyer à l'hôpital. Cette conne était amoureuse alors elle restait avec lui à chaque fois et me laissait assister à tout ça sans rien dire ni rien faire alors toute ma vie commençait à brûler doucement dans les flammes de la violence et de la haine. Au collège, c'était l'Enfer. Je me faisais insultée, persécutée sans que les profs ne daignent les rembarrer ou m'aider. Puis il y avait aussi mon oncle. Il était bizarre et je ne l'aimais pas car il me regardait trop souvent avec une lueur bizarre dans les yeux. Je fuyais souvent dans ma chambre quand il était là et m'y enfermait à double tour.
Cette première année au collège, alors que je n'avais que 12 ans, avait beau être désastreuse quand un évènement imprévu survint. Mes parents voulaient déménagés avec mon oncle en France, à Paris. On partit dans le mois suivant la décision et on s'installa dans une petite banlieue mal fréquentée de la capitale où malheureusement pour moi.. les cauchemars reprirent. Je n'étais pas taillée pour dominer mais pour plier l'échine et c'est ainsi que la maltraitance envers moi reprit. Et maintenant que mon oncle vivait avec nous, je subissais toujours plus ses regards lubriques sur moi et j'avais peur qu'un jour il me fasse du mal. J'espérais du fond du cœur que ce jour ne vienne jamais. J'avais trop peur.
Malheureusement... mon corps se mit à se développer, me dotant de nouvelles formes plutôt jolies et un jour, dans l'année de mes 14 ans, il me coinça alors que je tentais de fuir dans ma chambre. Il n'y avait personne à la maison. Ma mère était aller faire des courses (acheter sa drogue) et mon père était probablement au travail. Je perdis ma virginité dans un premier viol. Oui, un premier. Il s'était mit à me violer souvent après ce coup bas. Et moi je restais silencieuse, tombant d'avantage dans les abîmes mais le dessin et la peinture me maintenaient un peu la tête hors de l'eau.
Durant mes années lycée... mon père s'était mit à me battre parce que ma mère l'avait quitté et m'avait laissé avec lui. Elle m'a abandonné lâchement. Je voulais absolument éviter d'être à la maison, entre lui et mon oncle qui m'attendaient. Alors je me suis trouvée un petit boulot en tant que serveuse dans un bar et quand je reçue ma première paye qui était assez bonne, je me dirigeais vers un salon de tatouage. Il était trop tard pour sauver ce qu'il y avait en moi et je m'étais résignée mais j'étais décidée à tatouer ma souffrance sur ma peau autant de fois qu'il le faudrait car je refusais de m'abaisser dans la scarification. Un jour, je serai comme mes dessins. Je serai une jeune femme colorée, toujours remplie de joie et de bonheur ! Mon premier tatouage se passa bien et le gars n'avait rien dit sur le fait que j'étais trop jeune. Pour lui, je faisais pas mes 16 ans alors il s'était tout de suite mit au travail en comprenant parfaitement bien mon projet. Plusieurs heures après, je ressortis avec deux nouvelles choses: mon bras droit qui était presque quasiment couvert d'encre noir et rouge dans un mélange complexe, harmonieux et magnifique et l'envie de devenir tatoueuse.
Le lycée était une horreur. J'avais retrouvé d'anciens élèves de mon collège et ce fut pire cette fois-ci. Ils s'étaient mit à me coincer dans les toilettes pour me toucher partout où ils en avaient envie mais sans jamais franchir la limite. J'étais devenue une petite chose toute apeurée et je les laissais faire, des images de dessins se formant dans mon crâne. Mais cela dégénéra d'avantage quand je fus invitée à une soirée par une fille que je pensais être mon amie (et qui était la seule). Ils m'ont drogués. Ils m'ont violés. Un par un. J'avais perdu le compte des gens qui regardaient, qui filmaient en rigolant ou qui passaient sur mon corps souillé. Mais je n'étais toujours pas décidée à mettre fin à ma vie. Un jour, ils paieraient, que ce soit par ma main ou celle d'un autre qui apprendrait cette histoire. Sauf.. que cela n'arriverait jamais parce que je ne mis jamais personne au courant. J'étais détruite. Ils gagnaient. Mais cela m'a pas empêché de passer mon BAC à mes 18 ans et de prendre la poudre d'escampette pour commencer mes études de dessin dans le sud de la France, loin de ceux qui m'anéantissaient. J'avais gagné assez d'argent pour partir sans un regard en arrière mais cela se voyait qu'ils m'avaient bouffés.
Un tatoueur assez réputé me prit sous son aile pendant que je faisais mes études, vers Montpellier. Il m'avait apprit à exercer mon talent avec liberté, sans me soucier de ce que pensait les autres. Tant que cela plait aux clients, c'est l'essentiel et le reste, on s'en fou. J'avais bien rigolé ce jour-là et j'avais décidé de me faire une teinture violette pour lui montrer qu'il avait raison. Il avait alors rigolé en me voyant le lendemain. Il était un peu comme le père que je n'ai jamais eu mais je l'empêchais de trop s’immiscer dans ma vie. C'était hors de question. Et il ne disait rien quand il voyait des larmes couler sur mes joues et se contentait de me prendre dans ses bras. C'était un véritable mentor sur qui je pourrai toujours compter, je le savais. Il m'avait permit de m'ouvrir assez pour que je puisse devenir moi aussi tatoueuse, m'avait aidé à composer un masque professionnel et à perfectionner ma technique. Un jour, je le dépasserai, j'en suis certaine, mais je n'en avais pas encore envie. Alors sans rien dire, quand j'ai obtenu mon diplôme pour enfin exercer ce métier qui me tenait tant à cœur, je suis partie. J'avais alors atteint mes 22 ans.
Aujourd'hui, j'en ai 25 et je reviens en Angleterre après m'être déplacée de salons en salons dans le monde entier pour apprendre différents styles. J'étais intelligente et j'étais douée alors je pu en assimiler un nombre assez incroyable. Mais je restais toujours aussi détruite et bouffée à l'intérieur même si travailler me permettait de combler quelques trous. Ma peau s'était de plus en plus recouverte d'encre et je m'étais même fait un percing. J'avais peur de m'installer à Londres mais il y avait un salon qui recherchait un/une tatoueu(se)r pour ouvrir le salon de jour. Oui, parce qu'il ouvrait aussi la nuit pour les vampires. Pourquoi j'en ai pas parlé ? Parce que je m'en fou et que je traite tout mes clients de la même façon. J'espère juste qu'ils ne me mangeront pas ou ne m'achèveront pas puisque les lycans et les vampires sont très présent dans cette ville. Je suis effrayée mais je suis prête à tenter le coup. Pour moi. Fiche faite par Bryan Grey (Law) pour le forum Londres et Ténèbres. |
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| #41955 Re: La peau est le meilleur outil pour exercer son art. [Terminée] Lun 14 Jan - 16:11 Bonsoir ! Après lecture et réflexion très intense de 30 secondes... BIENVENUE ! Tu es validée ! Bienvenue parmi nous ! Le pire moment est passé. Courage, c'est presque terminé ! Maintenant, c'est l'heure de la paperasse (toujours et encore l'administration !) : ✦ Valider les règlements, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici; ✦ Il faut recenser son avatar ➤ ici; ✦ Recenser son nom, si ce n'est pas déjà fait ➤ ici✦ Recenser le double-compte, si c'est le cas ➤ ici✦ S'il y a un emploi, il faut le recenser ➤ ici✦ Créer votre carnet de connaissances et de relations et le maintenir à jour ➤ ici✦ Créer votre carnet d'évolution des RP et le maintenir à jour ➤ ici✦ Créer ton coffre fort (facultatif) ➤ ici✦ N'oublie pas d'inscrire le lien de ta fiche dans ton profil et de générer et compléter ta feuille de personnage ! Et n'oublie pas: Amuses-toi bien parmi nous! |