Il leva doucement son masque pour laisser paraître un pâle visage sans traits particulier, comme si celui-ci avait été sablé de près pour être uniforme. Le masque libera ses longs cheveux noir qui reposèrent sur son visage. Un sourire corrompu possédant de longues canines s'approchais doucement de mon visage. Il était dur de croire à ses excuses avec un sourire de plaisir aussi marqué. Ses yeux d'un rouge palpitant me firent des frissons dans le dos alors que mes forces m'abandonnèrent. L'homme venait de me mordre au cou, laissant par le fait même ma vue dans le néant. C'était finalement la fin de cette vie misérable.