| #238 Jasper en quelques mots ^^ Sam 14 Mar - 18:05
Dernière édition par Jasper Cyres le Mar 16 Fév - 21:12, édité 7 fois
Nom et PrénomIdentification
Nom: Jasper Prénom:Cyres Surnom: Snow Âge: 24 ans Sexe: Masculin Orientation Sexuelle: Gay Pays d'origine: Plymouth Lieu de naissance: grande bretagne
Ma Race Race: Lycans Groupe: Meute ^^ Type de naissance: Famille riche Intentions: Maintenir les humains le plus en sécurité des vampires, possible Supérieur immédiat: La meute est ma lois et loyauté Emploi: Chef Cuisinier Autres*: Fais de son mieux pour limiter les action porté pas sa famille. Être lycans est d’une grand aide a cette effet
| Vous-même
Nom*: Maxime Surnom: Max ou ce qui vous plairas Âge: 22 Découverte du forum: seb Fréquence de connexion: Une fois ou plus par jour Autre trucs sur vous*: Aime jaser des heures Commentaires*: A vous de demander
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De l'extérieur Description physique: D’une apparence douce et tendre, mais surtout fiable. Je fais tout pour que les gens prennent plaisir à être en me présence. Du haut de mes cinq pied huit, je ne suis pas très imposant. C’est bien entendu à mon avantage, mais j’y prends plaisir quand même. Mes yeux sont du même bleu que le ciel, en plus d’être d’une limpidité presque troublante. Par contre, ils peuvent changer selon mes humeurs. Bleu, si tout va bien et que les choses son calment. Mauve améthyste, si les gens m’énervent ou que la situation tourne dans des proportions indésirable. Dans le cas où une personne ce fait la langue trop pendante, je ne réponds plus de mes actes. Un physique plus basé sur l’athlétique que sur la musculature, tout cela en gardant une peau douce et parfumé. Enfin, je fais du mieux que je peux, car les poils c’est plus difficile à garder au parfum. Je prends quand même une certaine attention dans la douche pour être sûr d’être propre quel que soit la forme que j’ai. J’ai les cheveux blonds très clairs, presque platine et très fin. Je les garde donc assez court pour qu’il ne se brise pas et assez long pour les mettre en valeur. Portant toujours des vêtements clairs, doux et bleu, de préférence. Si non le vert est un choix qui a tout mon respect. Six petites attache tienne l’une de mes mèches, elle tombe devant mes yeux si non. Pourquoi six, plutôt qu’une seul? Parce que j’aime en faire trop et ça me distingue des autres lycans. Sans parler que le chiffre six est mon préféré.
Sous la forme du loup, j’ai une fourrure blanche, comme une neige très propre. Je gagne en taille et en musculature sans perdre de flexibilité. Malgré l’évidente masse musculaire offerte par la transformation, je suis toujours resté un-peux moins grand et fort que les autre lycan. Quoi que je puisse faire je suis toujours resté l’un des plus faible physiquement, mais si je ne suis pas le plus fort je suis sans conteste le plus rapide. Mon agilité a fait ses preuves et, grâce à ma plus petite taille et finesse, j’arrive à me déplacer plus rapidement et avec plus de précision que mes confrère.
Mes yeux devenu d’un rouge presque noir, ne laisse rien paraître de la personne douce d’origine. Cependant, ce qui me fait le plus mal est de voir toute la colère qui apparaît, les dents capables de déchiqueter pratiquement tout et les griffes coupante comme des couteaux. Je ne vois pas comment quelqu’un pourrait faire un lien entre ma forme humaine et le loup qui sommeille en moi, car que ce soit du côté de la pilosité ou de la grandeur rien ne concorde entre nous.
J’ai été mordu à quatorze ans, mais j’ai continué a changé jusqu’à mes vingt ans, ainsi je ne suis, au moins, pas coincé dans le corps d’un jeune de quatorze. Quoi que les changements auraient pu être plus majeurs qu’ils ne l’ont été en réalité. Porte toujours six épingles tenant la même mèche de cheveux, des cheveux d’un blond pure et plusieurs bijoux, toujours du platine. J’ai aussi toujours un crucifix au coup, même quand je dors. Pas la penne de retirer un collier la nuit après tout et puis ce crucifix m’a accompagné durant de très douloureuse épreuve, alors il a une certaine importance pour moi.
De l'intérieur Description psychologique: Extravertie, naïf, insouciant… j’en passe beaucoup, car tout c’est adjectif me fond comme des gants. J’aime me montré et donné bonne impression, car après tout, c’est ainsi que le bon dieu m’a fait. J’ai toujours aimé regarder le ciel comme s’il y était spécial, une protection pour les gens. Rêveur et très actif, j’ai toujours une activité en tête. La natation, la course, le badminton, le tennis et j’en passe, car bougé est un besoin pour moi et surtout quand personne n’est avec moi. Le soir, j’aime bien sortir avec ou sans amis, pour me changer les idées. Car pour mon âge, j’ai beaucoup de problème sur les épaules.
J’ai une éducation dite de la haute société, qui a mes yeux est d’être snob et ennuyeux le plus possible. C’est malgré tout important de savoir ce tenir, car j’ai parfois à rencontrer des personnalités importantes et tout ça par cause de mes parents et de tout ce qui fait leur fortune, leur travail est un exemple.
Depuis que j’ai été mordu par un loup, j’ai remarqué que j’ai beaucoup moins de patience. Des situations qui avant n’avait pas la moindre incidence sur moi, m’irrite facilement et parfois me choc carrément. J’ai dû apprendre à tempérer mon caractère pour survive, car j’aurais été tué bien avant sinon. Il y a malgré tout une limite et parfois j’entends des commentaires qui m’enrage a telle points que je pars et si la cause de ma rage me tenait à cœur, je ne répondrais plus de mes actes. La loyauté est pour moi d’une importance crucial, j’ai passé trop de temps sans ami qu’aujourd’hui il m’est très important de protéger est de soutenir tous les lien que j’ai pu faire. Bien sûr je ne suis pas assez fou pour me lancé vers la mort pour une raison qui reste impossible. Je réfléchie généralement avant d’agir, car avec une famille qui vend des armes, je marche souvent sur le fils d’une aiguille.
Cela me vient probablement du passé, mais je déteste les vampires a l’extrême. Je ne compte plus tout ce que c’est gens mon volé, a commencé par ma vie. S’il n’en tenais qu’a moi il serait tous exécuté, mais c’est chose plus facile a dire qu’a faire. Je suis assez réfléchi pour être capable de passé sur mon caractère quand la meute ou une situation le veux, mais si j’ai le choix alors je leur choisi la mort.
Je suis un passionné de cuisine et cela au grand déplaisir de mes parents. J’ai passé des heures à écouter et à aider le cuisinier de la maison de mes parents. Donc, parmi mes nombreux cour et étude j’ai placé un cour de cuisine avancé et plusieurs formation majeur dans ce domaine. J’ai consulté plusieurs grand chef que ma famille avait engagé et c’est eux qui mon conseille les lieux d’étude a fréquenter et les cour à prendre. Ça n’a pas été dur d’être accepté aux multiple cours, car j’ai toujours eue des note au déçu des normes. Il faut dire que mes amis d’enfance ce résume a des professeur privé. Quoi qu’il en soit, je ne veux pas d’un grand restaurant. Juste un petit endroit où je puise me faire de vrai amis et faire plaisir aux gens en cuisinant.
La vie qui m'habite depuis toujours Passé: Selon bien de gens, je suis née sous une bonne étoile. Ou plutôt, dans une bonne famille. Mes parents possèdent une très grande richesse et de ce fait j’ai presque toujours eu tout ce que je pouvais bien avoir, sauf la présence de mes parents. Mon grand-frère a toujours fait en sorte d’être là, à leur place pour me rendre heureux du mieux qu’il le pouvait. Je n’ai jamais été à l’école, à la place, mes parents trouvait plus sécuritaire pour moi d’avoir des professeurs privés réputés. À huit ans, j’avais déjà finis les études du primaire et entamé le prochain cycle d’études. Mes parents en demandaient toujours plus à mes professeurs et je faisais tout pour réussir, car je croyais que si je réussissais, mes parents finiraient par s’occuper de moi. Je me suis tellement trompé, ça ne devenait que pire à chaque fois.
À douze ans j’avais finis mes étude de base, j’étais dans les études supérieurs, j’étais devenu un expert au tennis et au badminton, mon temps au cent mètre rendait jaloux les autres, j’avais battu mon propre professeur d’escrime au sabre, j’étais capitaine de l’équipe de natation de ma ville et j’étais le violoniste d’avant-scène de l’orchestre dirigé par mon professeur de music. Le violon étant devenu une vraie passion pour moi et la musique elle-même, un des rares plaisirs de ma vie. Selon mon professeur, j’aurais pu être d’une grande aide aux autres élèves grâce à ma vaste connaissance et compréhension musical, mais jamais mes parents ne le permettraient. J’ai aussi suivie plusieurs formations de chef en cuisine, devenant plus connaisseur que les chefs que mes parents embauchaient pour nous faire le repas, mais encore une fois ce n’était pas assez bien pour mes parents.
Malgré tous mes accomplissements, je ne voyais mes parent que deux ou trois fois par semaine et cela juste lors de soupé qu’ils organisaient. Je n’avais pas d’ami, car cela ne me servait à rien à leurs yeux. Mes seuls amis devaient être le savoir et mes victoires.
J’ai toujours détesté mes parents qui ventaient mon succès sans même vouloir me voir à l’œuvre. Seul mon frère me suivait, me supportait et m’aidait quand rien n’allait plus. Ils ont finis par l’envoyer dans un autre pays pour devenir un contact avec leurs installations. Il a disparu un mois après et malgré cette perte la seul chose qu’ils ont demandé c’est de savoir si les travaux étais finis. Mon frère était perdu, mais ça n’avait pas de valeur à leurs yeux.
Je croyais que rien ne pouvais aller plus mal, encore une fois je me suis amèrement trompé. À mes treize ans ma mère a été reconnu coupable de trahison et condamné à mort. Pour moi c’est comme si une inconnue avait été exécuté, ça ne m’a rien fait et mon père, lui n’a même pas assisté. Il avait du travail et c’est comme si rien ne c’était passé. Trois mois plus tard c’était à son tour. Un conducteur saoul ne l’a pas vue et lui a foncé dessus alors qu’il marchait sur les bordures du fleuve. Il est mort à l’impact, son corps a été repêché sous la voiture du conducteur. L’homme en question a voulu me faire des excuses publiques lors du procès. J’ai vue cet homme pleurer et me supplier de lui pardonner, chose que j’ai faite. Il n’y a pas eu de poursuite de moi, il avait fait une erreur, mais je ne voyais pas en quoi j’aurais à le punir d’avoir pris un inconnu, fut-il mon père, de ma vie.
Une semaine plus tard je réalisai, j’avais maintenant toute la richesse et les profits de mes parents, mais j’étais maintenant seul au monde, plus personne n’avais la moindre place dans ma vie. J’ai pleuré chaque nuit après cela, car à chaque fois que je fermais les yeux je ne voyais que moi dans le noir, sans rien n’y personne. J’ai décidé de changé de décor pour m’aider, donc j’ai acheté une belle demeure au sommet d’un grand édifice à Londres. Pourquoi Londres? Parce qu’aux yeux du monde c’est une ville reconnu et que cela me permettait de quitté mes racines sans quitté la terre qui m’a vu naître. J’ai fait des voyages dans bien des villes du monde et il n’y a qu’ici que je me suis sentie chez moi. La vue de la ville est à couper le souffle, surtout la nuit.
J’étais établi et j’avais enfin un but dans la vie. Il était plus que temps que je puise parlé avec les gens pour autre chose que l’argent ou la réputation. Je voulais avoir une vie normale parmi ces gens qui avance un jour à la fois, qui n’ont pas à se méfier de chaque personne qui leur parle et surtout je voulais des amis, de vrai ami de mon âge. Tout ne s’est pas passé comme je l’aurais voulu.
C’était le samedi soir de mes quatorze ans, j’étais à la piscine, comme à chaque samedi et seul comme d’habitude. À cette heure l’édifice n’est pas ouvert, mais j’ai été en mesure de trouver un compromis avec le propriétaire de la piscine et avoir mon propre double des clés. À presque chaque soir j’allais nager pour me purifier et me changer les idées.
Je faisais mes longueurs de piscine comme à mon habitude quand j’ai remarqué la présence d’une personne aux abords de l’eau. Je suis sortie et me suis dirigé vers la personne en question, car après tout je suis supposé être seul ici. Il me dit que la porte était ouverte et qu’il était entré ce demandant qui pouvais être ici à cette heure. Nous avons parlé quelque instant sans que rien d’utile ne fut dit alors je me suis retourné et lui ai demandé de partir. Je sentis sa main sur mon épaule, une mains froide et branche. Je la saisis avant de me servir de son poids pour le mettre au sol. Il se mit à rire, je venais de le mettre au tapis et il riait, il n’était pas bien. C’est à ce moment que j’ai vue deux longues dents sortir de sa bouche. Je n’eus même pas le temps de réagir qu’il était debout, encore une fois derrière moi. J’ai voulu me retourné, mais je sentis une horrible douleur au bras droit avant que je ne sois capable de le faire.
Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il c’était passé. J’ai regardé mon bras et je vis qu’il était cassé, mais comment, quand? Le temps que je pose à nouveau mon regard sur l’homme en face de moi, je reçus un coup sur le thorax. Je ne sais pas qu’elle distance j’ai faite avant de retombé au sol, mais je sais que je suis retombé sur mon genou gauche, que j’ai entendu et senti mon os ce cassé à son tour. J’avais plus de souffle et horriblement de difficulté à respirer. À chaque expiration je crachais un-peu plus de sang. Je n’arrivais pas à me relever, alors il arriva à côté de moi puis Il me souleva par la gorge. Je n’arrivais pas à le croire, après mon père c’est mon tour, moi qui n’ai rien fait encore de ma vie, non ça ne pouvait pas finir là.
J’ai voulu me débattre mais j’avais de plus en plus de mal a respiré. Alors que je croyais qu’il allait me tué, il me lâcha, me laissant tombé face contre sol. J’entendais des cris étranges et des jappements d’un animal. Je réussi à lever la tête vers le haut et a utilisé mon bras gauche pour rampé vers l’eau. Après un effort, que je cru avoir pris des siècles, mon bras toucha enfin l’eau, mais le corps de l’individu qui m’avait attaqué tomba dans l’eau, sans sa tête. Je vomis du sang à la vue du corps, mais malheureusement l’autre ne m’avait pas oublié. Je sentis son pied ce pausé sur mon dos comme pour me retenir, mais son pied avais une forme étrange un instant et totalement normal le suivant.
-Vue le sang que tu craches, tu as un poumon perforé si ce n’est plus, des côtes cassées évidement et deux membres sur quatre de cassé. Les médecins ne pourront rien pour toi mon pauvre garçon. Tu as déjà le pied dans la tombe, désolé.
Non, non, non je ne veux pas, ça ce peux pas, je veux vivre. Je pleurais les dernières larmes de mon corps, me rendant compte que je n’avais pas réalisé le moindrement mon rêve. De mon poing encore valide de donna un coup au sol, détruis de voir tous mes espoirs partir dans le néant sans que je ne puise rien y faire. Je donnerais tout pour avoir une chance de vivre et de connais le vrai monde.
Je sentis à nouveau son pied changé et une main velue me saisir. Il me souleva et me tourna vers lui. Je vis alors une créature qui me donna froid jusqu’au fond de mon cœur battant pour tenter de continuer à battre. Je laissai perler ma dernière larme juste avant de voir le monde devenir noir et ses dents s’enfoncé dans ma chair.
Déjà mon corps me faisait mal, mais la douleur que j’ai ressentie durant l’instant de sa morsure n’est juste pas possible à décrire. Il m’aurait arraché l’épaule entière que je n’aurais pas eue plus mal. Il prit le temps de me poser sur le sol, puis sans que je ne comprenne pourquoi il prit plusieurs pas de distance. Pourquoi ce tenir loin alors qu’il vient d’empirer mon état. Je suis déjà mort et lui s’offre de me faire souffrir encore plus. J’étais de plus en plus irrité, voir même, carrément insulté par lui et plus le temps avançait plus j’étais en colère. J’aurais bien aimé lui crier après mais parler était encore plus difficile que de respirer.
En attendant la mort j’ai commencé à me sentir étrange, comme si ma tête allait éclater. D’un seul coup je me suis mis à avoir chaud, tellement que je ne me supportais plus. Mon cœur battait tellement fort que j’arrivai à voir à l’œil les battements au mouvement de ma peau. Sans prévenir tout c’est arrêté, comme pour me rassuré, mais la douleur qui s’est présenté à moi l’instant suivant m’arracha le pire des cris malgré les difficultés respiratoires.
Mes os ce brisait les uns après les autre prenant une forme différente, ma peau me donnais l’impression de brulé à petit feu, car à chaque mouvement de concussion, ma peau ce déchirais un-peu plus pour refermer mes multiples blessures. Une fourrure blanche comme neige a commencé à couvrir mon corps. Je grandissais a vue, chaque mouvement causait le mouvement d’un ou de plusieurs os en moi. Cependant, le pire ce fit sentir alors que tout était bien avancé. J’ai senti mon crane de briser é prendre une nouvelle forme. Chaque os prenant une nouvelle position, chaque forme devenant plus massive, laissant ma mâchoire devenir bien plus grand que jamais.
Il parut surpris de ma transformation, mais telle qu’il le dit, il n’y a pas beaucoup de loup blanc et puis malgré la transformation il me trouvait plus petit que je n’aurais du l’être. La conversation n’a pas été longue, car il s’est transformé aussi, juste avant que je ne l’attaque, malgré mon état. Le souvenir de cette bataille c’est perdu dans la douleur et les blessures, ne m’en laissant pas le moindre souvenir.
Je me réveillai dans une pièce toute blanche, dans un lit douillet et avec le soleil venu me saluer. Un homme entra dans la petite chambre, visiblement surpris et étrangement soulagé de me voir assis dans le lit. Il me dit que mon état était si lamentable que même sa morsure et ma nouvelle force de régénération n’avaient presque pas réussi à me sauver. Je ne pouvais avoir une autre réponde que celle de l’incompréhension. Il me parla de morsure, de régénération, de blessure, mais de quoi peut-il bien parlé et de quel sorte de médecine a-t’il bien pu se servir pour me sauver. Il m’a demandé de resté un moment et en échange il a promis de tout me dire. Bien que je ne savais pas où je étais en plus de ne pas savoir comment retourner chez moi, je fis comme si et accepta sa demande comme si j’avais vraiment eu le choix.
Nous avons parlé très longtemps et bien entendu je ne l’ai pas cru quand il m’a parlé de lui comme d’un loup garou, mais il savait comment me convaincre. Il s’est transformé et j’ai tout de suite reconnu celui qui m’avait soulevé à la piscine cette nuit-là. À partir de ce moment-là nous avons commencé à progresser, car je n’avais plus vraiment le choix de le croire, mais savoir que je étais maintenant moi aussi un loup, comme lui, fut le coup le plus dure que j’avais subis dans ma vie.
Il finit par me reconduire chez moi, au grand bonheur de mes gardes qui me croyait mort et qui se préparait déjà à ce trouver un nouveau travail. A partir de ce jour, il venait souvent chez moi me montrer les changements qu’être un loup allais occasionner dans ma vie. Ma première pleine lune il m’emmena dans un sous-sol où il a été avec moi durant toute la nuit pour me guider et tempérer cette rage qui s’insinuait petit à petit en moi. J’appris petit à petit les lois que je devais maintenant respecter et sur la guerre qui règne la nuit. Bien que ma patience en ait pris un coup, j’arrivais à me contrôler au mieux dans les situations le demandant et à partir quand s’en était trop.
Après tout j’ai souhaité avoir une chance de vivre, quel quand sois le prix, alors je n’ai pas vraiment à me plaindre et puis je n’ai pas à me nourrir de sang comme un vampire alors les choses ne vont pas si mal.
Cela fait maintenant dix ans depuis cette nuit fatidique, j’ai maintenant vingt-quatre ans et j’ai une famille qui est vraiment là pour moi quand ça va mal, cette fois. Ma richesse sert maintenant un collectif en plus de moi-même. J’ai même passé ma fortune sur un nom fictif pour me détacher d’elle et pouvoir agir et travailler comme tout le monde sans que personne ne puisse savoir qu’en réalité je suis riche. Je la dirige toujours, mais j’ai créé une autre identité pour la représenté, à savoir Samael. Donc quand je suis dans mes finance je m’appelle Samael et quand je suis dans ma vie c’est Jasper. Samael étant le nom de mon frère.
J’ai terminé toute mes études et je crois que je vais me trouver un petit restaurant ou je vais pouvoir travailler et parlé avec du vrai monde. Ma vie a pris un gout pour la première fois et j’ai l’intention de savouré chaque instant de ma nouvelle vie. Il ne me reste plus qu’à me rapprocher des gens, et qui sais, peut-être me faire un ami.
Bienvenue en EnferCodage par Damian Black |