Lexy O. Tremblay [Over}

Le physique qui me différencie

Plusieurs personnes pensent que la première impression n’est jamais la bonne et qu’il faut laisser la chance au coureur. Mais lorsque vous regardez cette jeune femme, vous voyez une personne au physique délicat et fragile. En effet, Lexy est petite; Mesurant 1M60, elle ne pèse pas beaucoup également. Toutefois elle est loin d’être en sous poids, les médecins disent qu’elle est dans son poids santé, pour le moment.  Plutôt faible, elle n’arrive pas à soulever de lourde charge et s’épuise rapidement lors des sports. Pour c’eux qui pense qu’elle manque d’entrainement, détrompez-vous cette jeune femme reste toutefois active le plus souvent de son temps. Malheureusement c’est la maladie qui l’empêche de prendre des forces.

Malgré sa faible constitution, son physique n’en reste pas moins agréable au regard. La nature lui a donné de jolie courbe au niveau des fesses et de la poitrine, chose que les hommes ne manquent pas d’observer. Outre son corps, ce qui attire le plus le regard chez cette jeune femme, sont ces eux. Deux iris aux différentes teintes de bleu, tel un océan parfois orageux ou encore un ciel d’été chaleureux et serein. Les gens s’y perdent parfois, fixent les notes de bleu plus foncés et plus pâle. Cela ne la dérange pas du tout elle adore même quand les gens la fixe sans rien dire –Sauf bien sûr si c’est avec un regard de tueur ou encore un regard qu’elle ne comprend pas, là c’est un gros malaise qui va s’emparer d’elle.-

Sa peau autre fois couleur pèche, blanchi avec le temps, lui donnant l’air d’une poupée de porcelaine qui risque de se briser à tout moment. Ses longs cheveux bruns châtains arrêtent leurs courses jà la naissance de ses fesses, ondulant légèrement vers la pointe dans de belles boucles naturelles.
En regardant de plus proche, on peut remarquer dans le creux des coudes de cette jeune fille, plusieurs marques bleutés, du aux nombreuses prises de sang et tubes de plastiques qui ont été introduit dans sa délicate peau, sans parler des petites cernes qui semblent avoir pris maisons sous ses jolies yeux, elle qui ne dort pas souvent.

Malgré la douleur qui l’inflige souvent, cette jeune femme porte des robes de couleurs, des chapeaux pour la plage, des vêtements féminins qui dévoile son corps juste assez pour attirer le regard, coquette elle adore faire les boutiques pour trouver des bijoux ou des vêtements qui surprennent parfois. Comme des chandails de Geek !

Le psychologique qui m'habite

Lexy est une jeune fille surprenante, souriante, dynamique et positive; elle cherche toujours à voir la lumière dans l’obscurité. La vie est pour elle, une aventure qu’elle souhaite explorer sans limite. Chaque problème est un défi qu’elle se doit de relever!

Ambitieuse, gamine et tête en l’air; il lui arrive souvent de se perdre dans ses nombreux projets ou encore de changer d’idée à la dernière seconde. Versatile, elle vit au jour le jour suivant ses émotions. Peu importe le malheur qui traverse sa vie, cette jeune femme gardera le sourire. Forte et charitable, elle prendra les problèmes et la douleur d’autrui sur ses épaules simplement pour voir les gens sourires atour d’elle.

Rêveuse, lunatique et créative; cette nouvelle adulte n’a pas délaissé sa partie enfantin, elle rêve de voir le monde depuis longtemps! Elle tire sa créativité dans les nombreux tomes de manga qu’elle dévore et s’endort en inventant des scénarios de jeux vidéo. Geek à ses temps perdu, elle s’affirme haut la main. Lexy est un rayon de soleil, une personne qui sait donnez le sourire et qui voit le monde d’une façon complètement unique et elle adore dévoiler ce monde aux gens qui l’entourent. Voir la vie sur un autre angle est pour elle une chose importante afin de bien comprendre les situations.

Enfantine, traineuse et mauvaise perdante; Une bonne blague ou encore un petit coup fait sous la vengeance pour avoir perdu à un jeu de carte, elle n’en manque pas une pour bien rire. Toujours partante pour des soirées thématiques ou encore simplement pour faire la fête, Lexy sera au centre des conversations et semblera connaitre tout le monde! Parfois c’est le cas, du à son sourire apaisant et ses regards tendres elle sait se fait rapidement des amis.

Loyale et directe; elle respecte ses engagements même si cela lui fait du tort et n’a jamais peur de dire les vrais choses, car selon elle le mensonge est le pire fléau de ce monde. Toutefois elle sait très bien garder les secrets et même sous la torture elle ne dira rien….Sauf si sa vie en dépend et que le secret est question est le mot de passe d’une page facebook.

Curieuse, manipulable et impressionnable; Elle s’attire souvent des ennuis dû à sa grande curiosité, Lexy joue avec les règles si cela lui permet de voir quelque chose qui pique sa curiosité. Elle est plutôt naïve et croix les belles histories que les gens peuvent lui racontés, cela la place souvent dans des fâcheuses situations.  De plus, sa plus grande peur est d’être seule, c’est pour cette raison qu’elle sen le besoin de plaire à tout le monde.

Lexy connait ses qualités comme ses défauts et malgré tous les efforts du monde elle n’arrive pas à changer. Donc elle continue de sourire, avançant dans la vie  comme si demain n'existait pas.

Selon elle il n'hésite personne sur terre, humain , vampire ou Lycan qui ne mérite de mourrir. Il y a du bon dans tous. De plus le mal est également visible chez l'homme alors elle préfère laisse la chance aux êtres non humain avant de lancer une pierre ou de prendre position.

Le passé qui m'a construit

Je suis née pour mourir…. Fin de l’histoire, court et pratique vous ne trouvez pas ?
Combien de fois j’ai écrit cette phrase, puis effacée pour fixer la page blanche. C’est vrai, ma vie est depuis mon enfance comme cette page blanche, le spaceur est au début et il flash sans arrêt attendant que mes doigts frappent les touches du clavier pour y écrire ma vie. J’ignore encore si je dois parler de ma vie ou écrire mon testament, c’est vrai on n’est jamais prêt à mourir vous savez pourtant c’est inévitable on meurt tous un jour, c’est juste qui des gens qui ont la chance d’avoir une longue et heureuse vie et d’autre qui son condamné dès leurs 5 ans.

Que dire sur ma jeunesse, les médecins avaient dit que je ne vivrais pas plus longtemps que 8 ans, que le cancer allait m’emporter dans la tombe bien avant. Ce fut la panique chez mes parents qui avaient peur de perdre leur unique enfant. En même temps je les comprends, à cet époque j’étais jeune je ne comprenais pas la signification de la mort, j’étais simplement triste pour mes parents qui allaient devoir attendre avant d’avoir un nouvel enfant. Mais comment en parler, comment parler de la mort avec ces parents quand eux même refuse de voir l’évidence?

Évidence qui n’arriva point, à mes 7 ans, après plusieurs chimio thérapie, des centaines de piqure et de visite chez les médecins enfin une lumière vue le jour dans la noirceur de ma vie. J’avais vaincu le cancer, ce combat rempli de larme et de douleur venait de s’achever. Ma vie prit alors de l’avant, oubliant la menace d’une mort qui planait au-dessus de ma tête tel une épée Damoclès. J’eue alors, une vie normale, du moins presque normale. Toujours le sourire aux lèvres j’avais la chance d’avoir des amis, des gens qui m’aimaient avec qui passer mes journées et mes soirées après les cours. Mes parents semblaient également plus heureux, mais gardaient quand même un contrôle sur mes agissements, pas de sport trop dur pas de sortie trop tard, une routine qui dura longtemps.
J’eue, à mes yeux une vie calme et normale, des rêves d’enfants, des tristesses habituelles qu’une gamine de 10 ans peut avoir. À cet époque, je souhaitais devenir vétérinaire, afin d’aider les animaux en détresse… Mes parents n’aimaient pas vraiment lorsque je rapportais des chiens errants à la maison ou les chatons que je trouvais dans les ruelles! C’était une supère belle époque!

Puis, vint le temps de choisir une école, il était temps pour moi de quitter la maison, de volée de mes ailes et de voir le monde, monde qui m’avait été interdit dès lors de ma condamnation à mort par le ‘’dieu’’ des hommes. Dieu que je n’avais jamais prié, chose que ma mère faisait souvent.

Si je me souviens bien, c’est à ce moment que mes parents et moi avons eu une discussion sur les lucifériens…. – Bon je disais plus haut que ma mère priait souvent, j’ai omis de dire que mes parents étaient de fidèle catholique pratiquant ! Vous voyez le genre, l’église tous les dimanches…. Les mess et le blabla du prêtre et bien c’était pour cela que je voulais partir bref… un Lucifériens est ce qui n’est pas humain, un enfant de Satan… - Selon eux, je devais les éviter, si je leurs parlaient, ils prendraient mon âme et je serais puni par dieu et irait en enfer. – Ouais ouais… Pourquoi pas… C’est bien l’enfer c’est comme un pays chaud non?- Néanmoins, je fis ce que mes parents me disaient, rester à distance, les éviter et si j’en croisais un, aller rapidement vers un agent de police ou entrée dans le premier commerce que je croisais.

Donc! Il était temps pour moi de choisir une école pour mon futur travail de vétérinaire – Et oui, ce fut ce rêve qui resta jusqu’à mes 17 ans!- Mes parents n’avaient pas approuvé ma demande à l’école à Londres selon eux plusieurs écoles ici étaient parfaite pour moi – Surtout l’école religieuse… Ou il n’y avait que des filles…-

Je me souviens encore, le jour où j’ai eu ma réponse de l’école. C’était le même jour où je suis rentrée à l’hôpital d’urgence, le cancer était revenue et beaucoup plus fort qu’avant. Le destin est joueur, il aime taquiner les gens qui sont de simple marionnette. Néanmoins je continue de sourire, les médecins mon annoncé qu’il me restait 2 ans… De souffrance et que les derniers mois ne seraient qu’agonie. 2 ans, c’était suffisant pour moi, assez pour débuter mes études, assez pour voir Londres… Et revenir mourir chez mes parents…

La lutte pour avoir le droit de partir fut grande, mais je réussi tout de même à les convaincre. On me trouva un médecin à Londres et un appartement plutôt proche de l’hôpital et je pris l’avion pour cette dernière ligne droite de ma vie. J’avais battu une fois ce monstre pourquoi cette fois je n’y arriverais pas encore. Loin de mes parents, je souhaitais voir le monde, voir les partiels de lumière, mais aussi les ombrages qui le composaient. Depuis longtemps j’étais curieuse de ce monde de noirceur, ces vampires et ces lycans qui avaient fait la une des journaux, qui sait ce qui m’attendait dans ce nouveau monde qui m’accordait deux ans de vie.