Victoria Vankov ( Terminée)

Le physique qui me différencie
Le vent joueur, calmement se glisse dans ses longs cheveux teinté de rose. Ces derniers dégradés de rose dragées plus pâle et plus rose Fushia foncé.  On dit souvent, que les épreuves du passé, peuvent se lire sur le visage ou encore sur le corps d'une personne. Mais le beau visage serein de cette jeune femme ne dévoile aucunement la douleur de son enfance. Ses lèvres roses affichent en permanence un petit sourire. Parfois joyeux, parfois mystérieux. La jeune fille , était rapidement devenue une belle femme d'1 mètre 65 aux courbes généreuses qui ne laissaient personne indifférente. Mince et gracieuse, elle adorait afficher son tatouage fait sur son flanc gauche, qui lui remontait non loin de la poitrine. Elle qui avait une peur bleue des aiguilles, avait tout de même supporté, trois heures de désagrément afin de remporter un défi stupide.

Du premier regard, ce tatouage ne ressemble qu'à un dessin tribal qui part non loin de ces hanches, mais en prenant le temps d'analyser chaque courbe et tracées, on peut y voir plusieurs petites écritures, texte tirée d’une bible écrite en latin, selon ses parents, ces écritures seraient une protection contre le mal. Seuls les connaisseurs peuvent comprendre ce qui est représenté sur ce corps légèrement musclé par un entrainement de souplesse de cette jeune fille rousse de nature.

Malgré sa forte poitrine, ses hanches invitante et sa taille de sablier, rien ne vaut son intensité dans le regard. Ses yeux couleurs saphir, parlent d'eux-mêmes. Lorsqu'elle vous fixe, c'est comme si elle pouvait lire en votre âme. Le peut-elle ? Son visage doux et très expressif et trahis souvent ses émotions, si cette dernière est contrariée, son nez se retroussera légèrement, même quand elle est triste, ses lèvres afficherons constamment un petit sourire qui ne quitte jamais son emplacement.

Même si elle n'aime pas la couleur naturel de ses cheveux, Victoria les portes longs jusqu'à la naissance de ces fesses. Parfois noué par un ruban de soie, sombre comme ses vêtements, la plupart du temps libre d'entrave bercé par le vent frivole.

Cette jeune femme de 24 ans est propre de sa personne, son odeur corporelle rappel les fleurs d'été et sa peau satiné est douce au contacte. Son habillement provocateur dévoile facilement son corps agile et svelte. Il fut dit, que l'arme d'une femme est son apparence, une fois l'homme aveuglé par la beauté d'une nymphe ce dernier est facilement manipulable.

Cette jeune fille est parfaitement consciente de sa beauté et utilise souvent cette dernière pour se tirer de mauvaises situations dans lequel elle se plonge facilement. Il lui arrive aussi de porter des vêtements plus sobres, des jolies robes ou encore des trucs un peu moins visibles.

Le psychologique qui m'habite
Femme secrète et réservée, elle apparait souvent comme une personne énigmatique. Une aura de mystère émane de son regard, qu'elle entretient plus ou moins volontairement. Victoria est vive, alertes, enjouée et particulièrement communicative. Charmante et élégante, elle cherche à plaire ainsi qu'à faire plaisir. Cette jeune femme, apparaît extravertie et a besoin des autres pour se sentir exister. Douée de facultés d'élocution et d'expression, elles adorent être en représentation, parler et échanger ses idées. Gamine, elle éprouve un plaisir certain à amuser son entourage, mais c'est souvent dans ce moment que son coter sadique et froid se fait ressentir. Sensuelle et gourmande, Victoria aime mordre la vie à belles dents et jouir de tous ses plaisirs. Elle a de l'humour et aime faire rire, étant amateur de jeux de toutes sortes. Elle manie pourtant l'humour, bien que parfois dans un sens unique. Sceptique, méfiante et prudente, elle use fréquemment d'ironie, sinon de sarcasmes, s'appuyant parfois trop sur les démarches de son jugement.

Excellente comédienne, adaptable, capable de mimer les défauts d'autrui, elle possède un esprit critique et un sens aigu de l'observation. Rapide et maligne, elle sait facilement se tirer d'embarras. Cet humaine est curieuse et intéressée par tout, ce qui peut la conduire à une certaine instabilité. À l'affût d'horizons nouveaux, elle a toujours le goût des voyages. Cette fille ambitieuse aime le jeu et les amusements et déteste l’ennui. Derrière ces grands yeux, ses rires et ses sourires charmeurs, se trouve plusieurs défauts qui lui attirent souvent des ennuis.

Notre jeune Victo est une grande dépendante affective qui cherche l'approbation des gens qui l'entourent. De plus, sa curiosité la pousse souvent dans des situations risquées. Diriez-vous que cette jeune fille est facilement manipulable ? Où est-ce vous, qui vous laisse berner par ses beaux sourires et ses gestes gracieux ?

Elle supporte difficilement les besognes inutiles et routinières qu'elle exécute rapidement, avec une grande habileté, pour passer à ce qui l'intéresse. Elle est souvent douée manuellement et peut se révéler une parfaite bricoleuse, maniant tout aussi habilement l'aiguille que l’art des cocktails, ou encore l’art du massage... Raffinée, élégante, Victoria a l'instinct de la qualité et fera preuve d'un goût certain dans son habillement. Elle se montre particulièrement sélective dans ses choix de tenu qui ne sont pas uniquement classe, mais chaque tenue choisie doit être également pratiques.  

**Victoria est une jeune fille curieuse, cette curiosité la poussée à enfreindre les lois cruciales de son clan. Et encore aujourd’hui, ce défaut la pousse à combattre ces peurs. Cette jeune humaine, à terriblement peur du noir et des êtres démoniaques qui l’habitent. Cherchant à devenir plus forte, elle affichera toujours son petit sourire habituel, même si la peur lui dévore les tripes. L’origine de ses peurs n’est pas un mystère pour cette femme, tirés de son enfance, les images du passé la hantent encore une fois la nuit tombée. Il est bien dur de savoir ce qu’elle pense des autres races, car au premier regard elle semble s’entendre avec tout le monde. Mais ne vous laissez pas berner, il n’y a aucune place dans son cœur pour ces créatures démoniaques.

Elle les méprises, elle les déteste, mais elle se déteste également. Ne la voyez pas comme une personne raciste, car elle déteste également les humains et à honte de faire partie de ce monde. Ces sentiments, elle les cache derrière ses rires, ses sourires. Ce qui nous emporte à une dernière peur qui habite le cœur de notre charmante demoiselle, la peur de perdre le contrôle, la peur de sombré dans le néant et d’avoir du sang sur les mains. La limite est si facilement franchissable, il est si facile de prendre une arme et de se faire justice. Lorsqu’elle sent monter en elle cette rage, ses mains alors en tremblent. Est-ce normal, de ne voir personne réagir devant tant de violence? Est-ce normal de ne rien faire et de laisser le monde sombrer dans le vice et la déchéance ? Elle n’a pas encore la force de prendre opposition dans ce monde de damné. Mais un jour viendra, ou notre jeune Victoria devra faire un choix. **

Le passé qui m'a construit
Chaque matin, je récite Les règles du village avec mes frères autour de la table, ses règles sont simples; Ne sort jamais du village une fois la nuit tombée, les deux portes resterons fermées jusqu’au lever du jour. Les hommes protègent une fois la nuit complète et les femmes restent dans les maisons. Aucune lumière ne doit être ouverte, les appareilles électrique doivent être débranchés. Le clan est ton unique famille, tu dois respect à tes ainés et en tout temps tu te dois de suivre les règles. Si tu quittes le village, tu dois d’être accompagnée.  Jamais tu ne dois parler du Clan Vankov aux étrangers. Si tu suis les règles, tu ne seras pas jugée par les anciens.  Remercie le créateur du clan, qui eut l’idée de créer ce havre de paix perdue dans les forêts de Russie. Ce petit village coupé du reste du monde ne tombera jamais sous le néant qui ronge la race humaine.  Lève-toi chaque matin avant le soleil, entraine toi pour ta survie, une fois épuisés, travaille la terre pour faire pousser à manger, occupe-toi des enfants comme s’ils étaient tient et aide ton voisin avec le sourire.  Nous sommes tous enfants de dieu, tous humains égaux dans la mort. En aucun moment, tu te dois de trahir le clan, si un jour les démons te prennent, la mort sera ta libération. Si un jour tu sombres, le clan se doit de te purifier. La mort est l’unique porte de sortie pour les êtres contaminés.  

Ces paroles, sont gravées en moi. Qui depuis l’âge de raison les récite à chaque levé du jour. Oh soleil protecteur, permet moi en ce jour de survivre une nuit de plus. Je suis née quelque part en Russie, dans un petit village cachée dans les montagnes. La peur des démons avaient poussé un groupe de Russe avait quittés Moscovie afin de former un clan pure et dépourvu d’esprit malin. C’est comme cela que le clan Vankov avait vu le jour. Ces hommes pensaient que de mettre des murs autour du village, surveillé 24 heures sur 24 par des soldats entrainé dans l’ancien art du combat, serait une bonne idée. Pour ma part, je ne voyais qu’une boite de chocolat tremblant attendant alors le jugement dernier.  Je grandis donc sous l’influence de ces règlements. Au lieu de m’apprendre les mathématiques, le matin j’avais des cours d’auto-défense.  Même si j’étais une fille, je devais apprendre la base de la défense et de l’attaque.  Lorsque je me couchais le soir, âgée de 5 ans, on ne me comptait pas de belle histoire de fée et de princesse. Ma mère avait un penchant pour les contes des autres nations. Je me souviens encore de son histoire, qu’elle adorait nous murmuré dans notre sommeil. Il y a longtemps, vivant en ce mur un enfant, aux grands yeux curieux et au sourire d’ange. Cette jeune fille était aimée de tous mais sa curiosité était pour elle vilain défaut. Un jour que les portes du village étaient grande ouverte, la gamine c’était alors aventuré hors du clan. Sans personne à ces coter, la jeune fille c’était aller dans la forêt. Ses pieds l’avaient conduite à la tombée du jour, dans un village bien connu. L’enfant fut alors trouvé par des humains. Elle leur fit alors confiance et cet homme contaminé par le mal fit de cette pauvre enfant une esclave. Enchainé elle fut exposé aux yeux de vampire venu pour enchérir. La jeune fille qui n’avait pas suivie les règles fut alors vendue tel un morceau de viande. Cette histoire avait été créée afin de nous faire comprendre, que même les hommes étaient contaminés et qu’ils pouvaient s’en prendre aux enfants.

Mon enfance fut bercée par une peur du néant, la peur des êtres qui vivaient la nuit et même des humains. Mais ma famille me donnait beaucoup d’amour et la vie était calme dans ce petit village ou aucune noirceur ne semblait ternir la lumière. Je grandis donc sans contourner les règlements du clan, apprennent à me battre avec mes frères et mon père. Selon lui, une jeune fille se devait d’être vite et agile dans la défense. Même si selon les règlements du clan, les femmes devaient entretenir la maison et s’occuper des enfants.  Cependant, j’inspirais à plus, j’adorais apprendre comme les garçons, le maniement des armes d’autrefois, les sabres et dagues étaient si brillants dans les rayons du soleil. Leurs lames froides autrefois d’acier étaient désormais mélangées avec de l’argent afin de couper la peau des vampires et des Lycans.

Ma, mon regard une fois la nuit tombée, se perdait dans le vaste ciel étoilé, par la fenêtre de ma chambre a peine fermée, je rêvais de pouvoir m’allonger dans l’herbe afin de voir ce soir, si vaste et brillant. Mais il était interdit, de sortir une fois le ciel devenu noirceur. Plus je grandissais, plus mon esprit rêvait de sortir de ce village, qui selon moi devenait de plus en plus un cercueil. J’étais née ici et selon mon père j’allais mourir ici. Est-ce vraiment le destin qui m’était écrit? De venir au monde dans la peur de la noirceur et de mourir dans la même peur. Je ne pouvais m’y résoudre.

L’âge du mariage arriva à grand pat, mais étant un peu différente des autres femmes du village personne ne souhaitait être mon époux. Cela me faisait un grand plaisir je n’étais pas encore prête à vivre cette vie monochrome. Une nuit, je me souviens encore, je venais d’avoir 17 ans et je souhaitais sortir une seule nuit de ce petit village. J’étais sortie par la fenêtre glissant doucement sur le toit, les pieds nus ne faisait point de bruit sur les vieilles planches de bois qui craquelaient légèrement. Sautant dans l’herbe humide je m’étais mise alors à courir, le cœur battent, le sourire aux lèvres devant cette liberté éphémère. J’avais poussé mon audace jusqu’à sortir du Village par un trou dans le mur qui devait nous protégé.  Aujourd’hui, je repense à ce moment, je n’aurais jamais dû sortir de ce village. Mais comment j’aurais pu deviner, que de l’autre coter se trouvait des êtres du néant qui surveillaient notre village depuis longtemps. Mais moi, je n’avais rien vu, couché dans l’herbe hors des limites de notre village, je regardais le ciel remplis d’étoile. Ce fut les cris, s’élevant dans la nuit qui me fit revenir vers le village. Les vampires, étaient entrés par le trou dans le mur.

La guerre, était autour de moi, les hurlements, le sang et les rires. En une nuit, le clan fut complètement détruit. Malgré mes efforts, je ne réussis à sauver personne. Mes frères, ma mère et mon père, tous fut tués devant mes yeux. L’être humain est faible, malgré les entrainements, les règlements et les plans de fuites, on termine toujours pas mourir. Je ne comprends pas pourquoi, ils m’ont épargnés.  Mais leurs regards rouge sur moi, leurs larges sourires dégoulinent de sang, me hanterons à jamais. Encore aujourd’hui, je me réveille en sursaut, les images toujours en mémoire.  

J’ai quitté le village.. Gardant quand même le nom du Clan, peut-être aurais-je la chance de croiser un jour des survivants de ce massacre. Mais les années ont passé comme le sable dans le sablier.  Et personne n’a croisé ma route. Me plongeant dans une solitude et dans la peur. Au fond, j’avais la mort de ma famille sur la conscience et avec le temps je réalisai pourquoi on m’avait laissé vivante. Afin que mon manque au code d’honneur me tourmente à jamais. J’ai 24 ans et la douleur est toujours présente dans mon esprit. J’ai fait graver à l’encre son mon corps la loi du clan. Cette loi fait partie de moi, protégeant mes nuits sombres. J’ai voyagé longtemps dans le but d’oublier, j’ai même changé la couleur de mes cheveux, mais rien à faire, je suis une personne contaminée et je ne pourrais jamais trouver le sommeil. Mon voyage me portait donc ici, aussi seule mais le sourire toujours présent aux lèvres.

Je me trouvais rapidement un travail, rien de bien valorisent, un petit travail de soir dans un Bar ‘’ Le dernier Rampart’’ Je me suis rapidement fait des amies, derrière mes rires et mes sourires se cache un lourd passé. Mais c’est le cas de chaque personne sur cette terre non ? J’ignore ce qui se trouve au bout de mon chemin, mais je cherche un simple moyen de réparer mes bavures. Même si à mes yeux, mon existence ne vaut rien. Trouverais-je un jour, un phare dans cette obscurité, une main tendue pour me sauver des démons qui me ronge le cœur. Si seulement, je pouvais voir dans le regard d’une personne, briller pour moi de l’amour, je suivrais cette personne jusqu’au bout du monde.